L'antisémitisme, même s'il n'existait pas, il faudrait l'inventer, semble suggérer le sionisme génocidaire contemporain. Même au prix de la publication d'une fausse statistique d'actes qualifiés d'antisémites. À cet effet, tout un chacun aura relevé que les autorités et les médias français emploient le terme «acte», mais jamais les termes «crime» ou «délit» pour décrire les supposés faits qualifiés d'antisémites. Et ce, pour des raisons de droit et de légalité que les politiciens et les journalistes n'ignorent pas. Car, en France, d'une part, il est interdit d'établir des statistiques selon l'origine ethnique ou religieuse. Et, d'autre part, tout incident n'acquiert sa qualification d'antisémitisme que par décision judiciaire, autrement dit, par le tribunal. Aussi, les statistiques ethniques étant interdites en France par la loi dite Informatiques et libertés, ce faisant, le ministère de l'Intérieur ne peut transgresser celle-ci en publiant des chiffres sans fondement, par principe illégaux. De fait, les chiffres d'actes qualifiés d'antisémites avancés par les autorités et publiés par les médias sont, à double titre, frappés de vice de forme. Pour ne pas dire fallacieux. La qualification d'antisémitisme ne peut résulter que d'une instruction et d'un jugement De manière générale, tout acte enregistré par la police, autrement dit toute plainte recueillie par un commissariat, n'acquiert jamais, sur la base des déclarations du plaignant, le chef d'accusation d'antisémitisme. Le seul dépôt de plainte ne peut être invoqué pour caractériser un incident d'antisémitisme, à plus forte raison de la part du ministre de l'Intérieur, censé ne pas ignorer la loi. Tant que l'incident n'a pas été jugé par un tribunal, seul apte à définir et formuler un chef d'inculpation, il ne peut être considéré comme antisémite. La qualification d'antisémitisme ne peut résulter que d'une instruction et d'un jugement rendu par un tribunal. Mais jamais à la suite d'un simple dépôt de plainte.Autrement dit, tous les actes catégorisés comme antisémites par le ministre de l'Intérieur et les médias français aux ordres sont juridiquement factices, fabriqués artificiellement pour les besoins de la cause génocidaire sioniste. Ils n'ont aucune valeur. Ni légale, du point de de vue de la loi en vigueur, ni juridique, du point de vue du droit Par ailleurs, qui fournit quotidiennement les chiffres des actes qualifiés d'antisémites ? En tout cas, pas la police, étant donné qu'elle ne procède à aucun recensement par confession religieuse. Alors, qui fournit ces chiffres ? Etonnement, ceux-ci ne sont pas recensés par des organismes officiels étatiques, mais par des associations de défense de la communauté juive de France, notamment le CRIF et la LICRA, connus pour leur défense inconditionnelle de l'Etat israélien et leur propension à s'aligner sur le narratif militariste sioniste, en particulier dans les périodes de conflits armés. Autrement dit, ces chiffres sont fournis par des instances qui ont partie liée avec le sionisme et l'Etat nazi d'Israël. Comment accorder foi à des chiffres qui, outre qu'ils sont établis en infraction avec la loi, sont fournis par des organisations liées au sionisme génocidaire ?Par ailleurs, quand bien même certains actes revêtiraient un caractère expressément antisémite, il ne faut jamais perdre de vue que, comme l'histoire nous l'a enseigné, certains sont souvent commis par des agents provocateurs sionistes. Comme l'affaire des étoiles de David taguées dans Paris l'avait illustré. C'est une opération commanditée par une personnalité moldave, qui avait reconnu que les tags visaient à «soutenir les juifs». C'est un acte philosémite et non antisémite A ce jour, depuis bientôt deux ans, si les actes qualifiés d'antisémites sont, du point de vue du droit, fictifs car non jugés, en revanche, les actes terroristes commis par l'Etat nazi israélien contre les sémites palestiniens sont totalement réels et authentiques, car vérifiables en direct, via les informations ou les réseaux sociaux. De surcroît jugés et condamnés par la Cour pénale internationale (CPI). Nous en sommes à des milliers d'actes de barbarie et de génocide commis contre les sémites palestiniens : 60 000 morts et 150 000 blessés. Parmi les morts recensés à ce jour figurent majoritairement des enfants et des femmes. Une récente étude indépendante situe ce décompte à 100 000, en incluant les morts violentes et les morts non violentes liées à la guerre.Autrement dit, l'Etat nazi d'Israël a délibérément massacré des milliers d'enfants et de femmes sémites innocents. Un véritable crime contre l'humanité Pourquoi donc cet orchestration et instrumentalisation de l'antisémitisme en France ? C'est justement pour détourner l'attention de la population des actes de barbarie commis à Gaza par les maîtres des gouvernants français, les Israéliens, les bouchers de Gaza. Pour occulter les actes d'épuration ethnique perpétrés par l'armée israélienne pour procéder à l'annexion de Gaza, puis de la Cisjordanie. Pour rappel, dès le début de l'opération de la guerre d'extermination menée par l'Etat nazi israélien contre le peuple palestinien, les sionistes de France (d'Europe et des Etats-Unis) se sont activés sans relâche, avec l'aide du gouvernement Macron et les médias stipendiés, pour enrôler la population française derrière Israël et «rouler» les juifs français dans la farine faisandée de l'antisémitisme fantasmagorique lucratif et distractif. Tous les moyens auront été mobilisés. A suivre…