Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.
«Le gouvernement français prolonge et aggrave la crise avec l'Algérie !» Après avoir autorisé une organisation terroriste à se réunir sur son territoire :
Croyant à un éventuel apaisement entre les deux pays après le départ de l'ex-ministre de l'Intérieur M. Bruno Retailleau du gouvernement, d'un côté et la libération de M. Boualem Sansal de l'autre, des membres des associations pour l'amitié ''Algéro-Française'' des deux rives se sont réveillés brutalement en constatant avec beaucoup de regret que le gouvernement français a, une fois de plus, aggravé et prolongé la crise avec l'Algérie. En effet, à la veille de la cérémonie que devait tenir les représentants dudit Mouvement pour l'Autonomie de la Kabylie (MAK) à Versailles, le préfet des Yvelines a notifié un arrêté préfectoral interdisant la tenue de cette rencontre. Le message a été reçu par certains membres du groupe d'amitié ''Algéro-Français'' comme étant encore ''Un pas en avant'' pour un éventuel dégel de la crise entre Paris et Alger. Les membres de ce groupe avec qui nous nous sommes entretenus à ce sujet ont indiqué que les gouvernements des deux pays devraient éviter les sujets qui fâchent dans l'intérêt des deux Etats et surtout des peuples français et algériens. Malheureusement, les membres de ce groupe trouvent que le gouvernement français a fait certes ''Un pas en avant'' et en même temps ''dix pas en arrière'' et ce, en permettant à une organisation classée terroriste par l'Algérie de se réunir sur son territoire. « Les autorités françaises auraient dû au moins rester neutre et de ne pas exporter les problèmes internes à l'Algérie en France, ont-ils déclarés ». Nos interlocuteurs ont indiqué que le gouvernement français s'est trompé énormément, lorsqu'il parle de « Liberté d'expression ». Les membres de ce groupe mixte Algéro-Français ont indiqué que par le fait d'accorder l'hospitalité aux membres d'une organisation classée terroriste et leur permettre de se réunir en France dans le but de nuire à la sécurité, à la sérénité et la souveraineté de l'Algérie sera compris comme étant une énième provocation ou un défi mais une politique d'hostilité de la part du gouvernement français, ont-ils expliqué. Toujours et en réaction à la tenue de la réunion des membres dudit ''MAK'' dans un hôtel luxueux situé dans le 8ème arrondissement de Paris, les membres du groupe « Algéro-Français » ont fait savoir que le gouvernement français aurait été (peut-être) influencé par les politiciens de l'extrême droite qui sont connus pour leur haine contre tout ce qui est Algérien. Sinon, comment les membres de ce gouvernement peuvent-ils expliquer, qu'un homme et ses acolytes recherchés par la justice algérienne pour des faits de terrorisme, se réfugient non seulement en France mais de tenter de nuire à l'Algérie à partir de ce territoire, ont-ils affirmé ? Les membres du groupe d'amitié « Algéro-Français » n'ont pas également caché leurs craintes de voir la crise entre l'Algérie se prolonger mais de s'aggraver encore plus. Toujours en réaction à la réunion du ''MAK'' à Paris, les membres du groupe «Algéro-Français», ont ajouté : « Premièrement, le gouvernement algérien que malgré qu'il sache que l'annonce faite par le chef de l'organisation de ce mouvement n'est que du « Théâtre » et un coup d'épée dans l'eau et que nul ne peut toucher à un centimètre de son territoire, il ne restera pas les bras croisés. La réplique du gouvernement algérien va se faire incessamment et ne sera pas certainement un « Bouquet de rose » qui sera offert au gouvernement français, ont-ils expliqués. Ce ne sera qu'un prolongement de la crise entre les membres des gouvernements des deux pays et dont le seul perdant ne sera autre que les deux peuples algéro-français, ont-ils fait savoir. Selon nos interlocuteurs, le gouvernement français devrait en principe éviter à se « Mouiller » surtout par les affaires qui ne concernent ni la France et ni les Français. Le gouvernement de M. Macron doit rapidement réviser sa copie en matière de politique envers l'Algérie si bien sûr, il veut mettre fin à la crise qui empoisonne les relations entre les deux pays. L'Algérie ne va pas déménager et la France également, il convient donc aux deux gouvernements de trouver des consensus d'ententes pour le bien et pour l'intérêt des deux peuples, ont-ils conclu.