,Le journal égyptien Youmz s'inquiète pour notre équipe nationale. C'est la reine des règles élémentaires. On ne peut que les remercier. Ils tirent la sonnette d'alarme pour alerter le staff de l'équipe nationale sur le cas de l'Algérien Wahab Rais Mbolhi, gardien de but actuellement à Manchester en essai qui n'est autre que juif. Fort heureusement que la presse égyptienne existe. Qu'allons-nous devenir sans elle ? Mais le mal semble ne pas les libérer, il piétine toute logique sportive. Se préparer au mieux pour servir leurs confrères juifs dans cette histoire de lutte contre l'Algérie jusqu'au retour du Mondial. Peut-être que cela peut servir d'antibiotique pour s'attaquer au virus égypto-juif qui les perturbe. Le peuple est dans la rue, manifeste son mécontentement devant un tel choix fait par Saâdane et Raouraoua. Des manifestations plutôt de soutien et d'encouragement aux Verts. Nuance. Le mal restera locataire des espaces et de l'environnement qui enflamment une certaine classe blessée à tout jamais. On ouvre une fois de plus le bal de la provocation. Une provocation qui n'aura pour conséquence que d'enchaîner les révélations sur les différents dossiers qui pourrissent ce pays. Faut-il faire rappeler à une certaine presse égyptienne qu'elle n'aura pas à commenter les rencontres de leur équipe nationale au Mondial ? «Une Coupe du Monde où l'Egypte, malgré sa puissante CAF, ses joueurs type Duracell qui ne se fatiguent jamais même après 7 matchs par 40°, genre Ben Johnson au jeux Olympiques de Séoul, malgré ses sponsors qui arrosent les chaînes privées arabes, ne sera pas présente, parce qu'à Oum Durmane, au Soudan, avec un arbitre juste, l'Algérie s'envole vers l'Afrique du Sud. Que vous restent-ils sinon vos chaises pour regarder le drapeau algérien flotter au haut du mat du Mondial en l'absence du vôtre et de celui de vos amis israéliens de cœur. Le mur de lamentation n'est pas fermé à ceux qui s'attaquent aux dirigeants du sport algérien, il est donc aussi valable pour les Egyptiens qui refusent de croire qu'ils n'iront nulle part. Que reste-t-il donc à cette classe égypto-juive sinon que de sécher leurs larmes et prendre place dans leurs salons feutrés pour voir évoluer les grandes équipes un certain 11 juin prochain ?