A Oran, depuis que l'on s'initie à des actions d'envergure en relation avec les potions de l'environnement, planter des pelouses n'est pas une fin en soi. L'homme est une entité capable de vivre sous toutes les contraintes, son intelligence fait de lui une espèce privilégiée par rapport à celles autour des quelles il gravite. Il évolue donc dans tout un environnement, le crée, le modifie ou le détruit ainsi à l'instar de cette question une priorité axiale dans son programme d'action 2011. L'environnement qui est « l'ensemble des éléments biotiques qui entourent un individu et qui s'intéressent à la nature au regard des activités humaines et aux instructions entre l'homme et la nature » n'est pas un vain mot. Toute la stratégie environnementale nécessite l'état des milieux naturels pour mieux cerner l'impact humain ainsi que la démarche à adopter afin de provoquer les éléments réducteurs à cet impact dans son volet négatif. Est unanimement connu et reconnu que la dégradation du milieu naturel au sens écologique reste invariablement sous une culpabilité humaine. Le conseil national de l'environnement crée cette année là, a vu après sa dissolution trois années plus tard le transfert de ses attributions au profit du secrétariat d'Etat aux forêts et la mise en valeur des terres, une agence nationale pour la protection de l'environnement (ANPE) fut crée en 1983 en soubassement à ces missions. C'est-à-dire que l'effort n'est point figé. Le souci de cet aspect de l'environnement est que la législation nationale rentrait en symbiose avec les exigences universelles en la matière et se mouvait dans une flexibilité apte à satisfaire le besoin factuel. Pour l'exemple d Oran, ville carrefour avec ses douze millions d'habitants, la tâche quant à sa protection n'est pas un centre d'enfouissement technique (CET) au niveau de la commune d'El Ançor érigée en entreprise à caractère industriel et commercial dépendant du secteur public et fonctionnant en conseil d'administration dont le wali assure la présidence est une réponse adéquate et spontanée à une forte demande en la matière. Pimpante vient tout juste de se mettre en place située à une trentaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya et à une trentaine de kms du site balnéaire d'el Ançor dispose déjà d'une unité de tri. L'acharnement de quelques travailleurs nouvellement recrutés vient en assistance à la petite machine de presse acquise par la direction de l'environnement pour nous afficher tout leur challenge à relève que s'impose à tous mieux sous un climat saint.