L'examen du baccalauréat de cette année, malgré que toutes les dispositions ont été prises à l'avance, il n'en demeure point que beaucoup d'étudiants malhonnêtes se sont bien préparer à la tricherie afin de décrocher ce fameux titre. Tous les moyens sont bons s'adonner à toutes sortes de tricherie, même au péril d'être appréhendé et exclu de l'examen. Les examinateurs ont appréhendé dans l'un des centres d'examen à Oran durant le premier jour de ces épreuves, des candidats mal avertis en flagrant délit en train de copier, selon les sources d'informations qui n'ont pas dévoilé l'identité de l'établissement en vue de ne point ternir son image de marque.D'après les mêmes sources, il s'agit d'une candidate libre ayant rejoint le centre d'examen où elle était affectée. Cette dernière aurait passé la première épreuve « l'arabe », sans le moindre problème, et sans la moindre suspicion, étant donné qu'elle ne porte pas de « hidjab ». Dans l'après midi, cette candidate s'est présentée à l'heure comme le reste de ses collègues, pour concourir à l'épreuve de la langue anglaise, mais à la différence qu'elle s'est fait habillé en « hidjab ». Cette nouvelle démarche aurait rapidement attiré le soupçon des examinateurs, sans pour autant attirer la moindre attention de la candidate. Quelques temps après, que l'épreuve ait due commencer, le soupçon des examinateurs devenait plus grandissant, ce qui leur ont exhorté à l'interrompre et la faire sortir de la classe. Une fouille s'en est suivi, ou à la grande surprise de tous, un téléphone portable fut découvert sur elle en marche, lié par « bluetooth » à l'extérieur du centre d'examen, ou elle recevait des informations concernant l'épreuve d'anglais. La preuve de son indélicatesse était incontestable, car les examinateurs ont décortiqué plusieurs SMS, faisant état de ses contacts avec une autre personne sur cette épreuve d'anglais. Selon le directeur de l'éducation de la wilaya d'Oran, a déclaré que tous candidat qui tentera de tricher, sera présenté devant une commission de discipline sur la base de rapports des examinateurs et du responsable du centre, afin que soit statuer sur leur sort, il reste entendu que le fauteur peut encourir l'exclusion à ce genre d'examen pour une durée de cinq ans. Ce même responsable a ajouté que ce genre de tricherie n'en est pas à sa première découverte et que par le passé des scènes similaires ont été dévoilées impliquant que des candidats libres, ce qui rend la situation moins problématique. Dans ce même contexte, il y'a lieu de signaler que la cellule de suivi de cet examen, n'a relevé aucune anomalie majeure, alors que l'examen du baccalauréat tire à sa fin.