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De la révolution à l'insurrection
Publié dans Réflexion le 03 - 12 - 2012


Depuis la nuit des temps, la religion et la politique n'ont jamais fait bon ménage car si on venait à faire la genèse et l'historique de ses deux voies, on constate qu'elles étaient toujours en guerre, car chacune d'elle voulait s'imposer et diriger les nations mais à chaque fois ce fut le chaos. Ouvrant une parenthèse sur la définition de la politique, je me remémore une de nos belles plumes qui n'est autre que notre défunt confrère journaliste en l'occurrence feu BENYAHIA ABDELKADER que DIEU ait son âme qui lorsqu'on lui parlait de politique, il nous répondait avec humour que « la politique c'est comme l'accordéon, quand on tire à droite, cela siffle à gauche et lorsque que l'on tire à gauche elle siffle à droite et au centre, il n'y a que du vent ». Dans ce même contexte, il y a lieu de préciser que la religion et la politique ont deux fonctions différentes et leurs rôles ne sont pas les mêmes mais plutôt complémentaires. Le rôle de la religion c'est d'éduquer les peuples, éveiller leurs consciences, leur inculquer l'amour de DIEU, en faire des frères et non des ennemis et les pousser à aimer leur pays et surtout mettre les points sur les i aux dirigeants quand ils dévient. Le rôle de la religion c'est un mode de vie. En principe, les hommes de culte et les religieux devraient être apolitiques et de ne jamais adhérer à aucun parti quel qu'il soit. Quand à la politique, elle gère les biens publics et privés du pays selon le droit positif et suivant des tendances et des courants politiques différents. Dans ce cas bien précis et à titre d'exemple l'Egypte qui voulait à tout prix une révolution qui en définitive est devenue une révolution inachevée car les prémisses et les jalons d'un Etat islamique est loin d'être le rêve des égyptiens car le nouveau gouvernement soit disant islamique repose sur le feu sous les cendres de la mal vie et des problèmes de société dont les nouveaux dirigeants ont hérité de l'ancienne dictature de Moubarek qui persiste et dure jusqu'à l'heure actuelle. Le problème de la camorra religieuse égyptienne qui dirige le pays n'a même pas été capable de stabiliser le pays qui est un creuset où une foultitude de tendances aussi bien politiques que religieuses cohabitent ensembles mais ne peuvent s'entendre car une haine tenace les envoutent à savoir les coptes et les musulmans qu'une guerre fratricide déchire depuis des lustres et que l'actuel gouvernement n'a même pas pu se constituer et que son chef d'Etat a monopolisé les pouvoirs exécutif et législatif et veut réviser la constitution en s'accaparant une fois de plus le pouvoir judiciaire qui devrait en principe être indépendant des autres pouvoirs comme cela se fait dans les vraies démocraties occidentales. Ce genre de décisions de la part du chef de l'Etat égyptien ne pourra qu'attiser le feu sous les cendres non encore éteint qui pourrait les ramener à la case départ à savoir la dictature mais religieuse cette fois ci et l'on ne peut diriger un peuple par la tyrannie.

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