La violence contre les femmes reste le crime le plus répandu et le moins puni à travers le monde. Elle s'exprime sous tous ces aspects sans relâche : viol, trafic sexuel, mariage forcé, meurtre, enlèvement pour raison sectaire ou criminelle, prostitution forcée, tout cela accompagné d'une augmentation de la violence au sein de la famille et l'augmentation des « crimes d'honneur », commis en toute impunité. Le viol est un crime qui doit être puni et ce aux yeux de tous, si l'on veut mettre fin au cycle de la violence sexuelle. Ce phénomène prend de l'ampleur au cours de ces dernières décennies, des centaines de milliers de femmes ont été violées, battues, réduites en esclavage ou tuées écoulée sans que quiconque n'ait été puni ou presque. Il y a une semaine, une femme originaire de colo wilaya de Skikda, âgée de 27 ans a été sauvagement violée et égorgée. Son cadavre a été découvert la semaine dernière par un paysan, en fin d'après-midi, dans un fossé gisait non loin d'une route, près de Hamam Ouled Ali Commune de El Fedjoudj, Wilaya de Guelma, a-t-on appris d'une source proche. La victime a été égorgée par son agresseur après avoir été violée. Elle avait le visage et le corps mutilés. Aussitôt avisés les éléments de la gendarmerie nationale sont descendus sur les lieux. Devant la sauvagerie de cette agression, ils ont prévenu leurs collègues de la police judiciaire afin de faire leurs premières constatations. Selon les premiers éléments de l'enquête, la victime a été violée puis torturée avant d'être tuée par arme blanche. Les rumeurs enflaient désormais et provoqua l'effroi dans la population et fit la une dans la ville.