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LES CRIMES AU SEIN DES FAMILLES PRENNENT DE L'AMPLEUR : Egorgés, poignardés, … Des exemples qui font frémir la peau
Publié dans Réflexion le 18 - 01 - 2010

Un père a égorgé sa fille étudiante âgé à peine de 22 ans,un jeune homme de 21 ans a mortellement poignardé son on clé âgé de 36 ans ,et pire encore une mère enceinte âgée de 27 ans a été égorgée par son frère.
Odieux, crapuleux, ignominieux, horribles, aucun adjectif aussi « puissant » fut-il peut qualifier la série de crime enregistrée récemment à travers les différentes localités du pays. Des drames qui laissent perplexes, qui engendrent des séquelles à vie qui défait des familles entières dont l'homogénéité est déjà sérieusement entamée. Des crimes « familiaux » dont les causes et les desseins sont multiples voire franchement « absurde ». Il ne se passe pas un jour en effet que la presse nationale rapporte au chapitre des faits divers des crimes du genre rien que pour les deux dernières semaines, pas moins de 20 crimes ont été signalés à travers le territoire national. Un constat qui en dit long sur l'éclatement de la cellule familiale. La recrudescence de la violence en son sein. Revue décembre 2009 conséquence d'un divorce mal digéré, un père d'une cinquantaine d'années a égorgé sa fille étudiante de son état avant âge à peine de 22 ans. De lui assener plusieurs coups de couteau au niveau de la poitrine un crime « horrible » qui a laissé pantois toute la population de la commune d'Oran. Le 23 du même mois c'est la commune de mesdour dans la wilaya de Bouira qui a été secouée par un énième crime familial un jeune homme de 21 ans a mortellement poignardé son on clé âgé de 36 ans pour cause d'un différend sur une parcelle de terrain. Le lendemain, la presse a rapporté un autre ‘ cas similaire » à El Ouadia dans la commune de Mila. Une prise de bac entre la victime, un homme âgé de 65 ans et son beau frère autour d'un lopin de terre en litige a abouti à la mort du premier cité après que son agresseur lui dit asséné à l'aide d'un objet contendant un coup mortel à l'issu duquel, il rendra l'âme peu à prés à l'hôpital de Ferdjouna. Pire encore Bensekrane dans la wilaya de Tlemcen une mère enceinte âgée de 27 ans a été égorgée par son frère à l'aide d'une épée. L'enquête menée par les services de sécurité a montré que la victime a été d'abord défigurée avant d'être froidement assassinée. Deux jours plus tard, dans le quartier Essanouber à Oran, un jeune homme a commis un acté « odieux » en assassinant son frère en lui assenant plusieurs coups de poignard au ventre et d'autres avec une barre de fer au niveau du crâne le laissant agonisant dans une marre de sang jusqu'à ce qu'il a rendu l'âme à l'intérieur du domicile familial. Ce fratricide est intervenu suite à un grand malentendu à propos de qui des deux « prendra sa douche le premier » le début du mois de juin de l'année dernière est beaucoup plus « prolifique » en atrocité. Les crimes y ont tendance à redoubler d'intensité et de sauvagerie, une famille entière relativement aisée a été décimée le mois dernier dans la localité de Merouana dans la wilaya de Batna. Un quinquagénaire son épouse et les deux fils âgés de 19 et 12 ans qui ont été sauvagement assassinés » par un membre de leur famille et ses acolytes. La veille dans la commune de gué de Constantine à Alger, un quadragénaire dépressif a tué à coups de couteau son père âgé de 65 ans pendant son sommeil parce que ce dernier l'avait chassé de son domicile, la wilaya de Bouira a connu trois autres drames successifs en juillet dernier. Dans la commune de Ain El Turck, un jeune adolescent de 17 ans a assassiné son cousin pour une banale affaire de « téléphone portable avant de le jeter au fond d'un puits. Deux jours plus tard dans la commune Taguedit un homme de 60 ans tue sa femme à l'aide d'un marteau et s'en va chercher une pioche pour l'achever. Le mari ayant perdu son emploi est marié à une autre femme et, est père de 11 enfants. A la fin du mois écoulé, soit le 31 décembre 2009, un septuagénaire a été sauvagement assassiné par son neveu à l'aide d'une arme blanche autant de crimes, autant de raisons ou desseins abjects, l'on assassine à tous les bras pour des affaires d'héritage, de litige sur « les banalités » pour des affaires de « trahison conjugale » pour rien ! La société algérienne est-elle à ce point « criminelle » y a t-t-il moyen encore d'y remédier lorsqu'on sait que le poids de tradition et la structure même de notre société patriarcale y sont pour beaucoup ? Il faudrait y penser sérieusement et en haut lieu, les violences familiales ne se répercutent-elles pas sur l'école, à la rue, le lieu de travail ? A Batna, un homme et son épouse et deux de leur enfant ont été tues à la hache probablement par un membre de la famille. Ce drame a mis en émoi toute la région, les tenants et aboutissants de cette horrible affaire ne sont pas encore élucidés compte tenu du silence radio observé dans la localité. Les informations glanées ne sont pas unanimes que sur les péripéties du massacre.

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