Le mouvement Ennahda réaffirme sa participation au prochain scrutin présidentiel    Ouverture des travaux du 13e congrès de l'UNEA    Les vivres alloués à la distribution dans le sud de Ghaza seront épuisés dimanche    Championnats arabes U20 d'athlétisme: l'Algérie décroche dix nouvelles médailles dont quatre en or    Ligue 2 amateur : l'Olympique Akbou acte son accession, le RC Kouba et l'ES Mostaganem se neutralisen    Découverte d'un document historique authentique rare appartenant à un déporté algérien en Nouvelle-Calédonie    Hamzaoui met l'accent sur "le rôle important des jeunes en vue de la prochaine échéance électorale"    L'Algérie a franchi un pas important sur la voie d'un nouveau mécanisme pour les pays de la région    Algerian Union Bank : lancement de quatre produits de la finance islamique en Mauritanie    Tassili Airlines : renforcement des vols domestiques par deux nouvelles lignes vers le Sud    Nous œuvrons à développer le pays sur des bases solides et les prémices du décollage économique commencent à apparaître    Alger : le plan de prévention contre les feux de forêts activé le 1e mai    Ghaza: le bilan de l'agression sioniste s'élève à 34.971 martyrs    A l'initiative de l'Algérie, le CS demande une enquête indépendante sur les charniers de Ghaza    Secousse tellurique de 3 degrés dans la wilaya de Chlef    L'Assemblée générale de l'ONU soutient la demande d'adhésion de la Palestine    Clôture du méga-concert Rai : des figures légendaires du genre enchantent le public algérois    80 000 personnes quittent Rafah après l'intensification des attaques de l'entité sioniste    Le ministère des Finances à la recherche des administrateurs indépendants    Quels impacts de la proposition d'achat de la société espagnole Naturgy par le groupe Emirati TAQA où Sonatrach est un acteur majeur de l'approvisionnement en gaz naturel du marché espagnol ?    Le leader en appel à Khenchela, duel à distance pour le maintien    Ligue 2 amateur : Le NA Hussein-Dey écope de deux matchs à huis clos    La société Evol Sport réclame 200.000 euros à la FAF    25 mis en cause placés en détention provisoire pour actes de vandalisme    Une formation au profit des médias sur la couverture de l'élection présidentielle    Préservation de la souveraineté nationale    Les laboratoires Salem lancent deux nouveaux dispositifs médicaux    Les représentants de la communauté nationale à l'étranger saluent la décision du chef de l'Etat    Alimentation en gaz à Mostaganem 460 foyers raccordés à Safsaf    Faid insiste sur l'amélioration de la qualité des données    L'AGNU votera une résolution soutenant la reconnaissance de la Palestine en tant qu'Etat membre à part entière    «Cheikh Larbi Tebessi, un chahid sans sépulture» projeté à l'APN    Le projet d'un recueil des données linguistiques en voie de finalisation    Soraya Mouloudji inaugure la 9e édition    La mémoire et l'histoire, source de fierté et facteur de mobilisation autour des projets nationaux    Ligue 1 Mobilis: MCA-USMA fixé au vendredi 17 mai au stade 5-juillet (LFP)    Le droit de massacrer, de Sétif à Gaza    La protesta estudiantine occidentale face aux lobbies sionistes.    ALORS, MESSIEURS LES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX : NE POUVEZ-VOUS TOUJOURS PAS VOIR LES SIGNES ANNONCIATEURS DUN GENOCIDE A GAZA ?    Megaprojet de ferme d'Adrar : « elmal ou Etfer3ine »    Témoignage. Printemps Amazigh. Avril 80    Le Président Tebboune va-t-il briguer un second mandat ?    L'imagination au pouvoir.    Prise de Position : Solidarité avec l'entraîneur Belmadi malgré l'échec    Ils revendiquent la régularisation de la Pension complémentaire de retraite: Sit-in des mutualistes de la Sonatrach devant le siège Aval    Coupe d'afrique des nations - Equipe Nationale : L'Angola en ligne de mire    Suite à la rumeur faisant état de 5 décès pour manque d'oxygène: L'EHU dément et installe une cellule de crise    Pôle urbain Ahmed Zabana: Ouverture prochaine d'une classe pour enfants trisomiques    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



Les réseaux maffieux d'un commerce informel
Publié dans Réflexion le 24 - 08 - 2010


L'Algérie est désormais gangrénée par la contrefaçon. Beaucoup de produits, équipements et matériels, circulent encore librement et exposés à la vente au public. Comme nous l'avons constaté, ce sont de véritables réseaux maffieux, qui se sont chargés de l'importation des produits de la contre façon, dans tous les créneaux : Electricité, où nous trouvons beaucoup d'équipement très dangereux misent toujours à la vente, allant du câble électrique dit 1/5, 2/5 etc qui n'est nullement fabriqué à base de cuivre, des interrupteurs, des disjoncteurs, des lampes, des néons, des briquets, des coupes courrant, toute une série de produits, la plupart ‘Mad in China', qui présentent de hauts risques pour leurs utilisateurs. Alors que des pilles de très mauvaises qualités, des interphones très ordinaires, des douilles à vise pour lampes sont toujours importés, et c'est le consommateur qui paye la facture et l'enrichissement de ces importateurs véreux sans aucun scrupule, demeurent toujours dans ce créneau très juteux. Selon les résultats de l'enquête du ministère du commerce, qui ont révélé qu'il existe trois types de produits contrefaits en Algérie. 18 % des produits sont d'origine inconnue. 40,98 % sont des produits contrefaits fabriqués localement et 41, 34 % sont importés. Les cosmétiques, les pièces de rechange, l'électronique, l'agroalimentaire, l'audiovisuel, l'électroménager et les produits pharmaceutiques, allant du Dentifrices aux autres pommades, comprimés sirops etc… Les dangers liés à l'imitation frauduleuse sont grands, compte tenu du développement technologique que connaît le monde. Et aussi le manque à gagner de centaine de millions de dollars, avec une perte de 300 à 500.000 emplois, sont enregistrés annuellement dans le monde. La contrefaçon de l'électroménager et des équipements électriques ont trouvé un terrain fertile à Oran La contrefaçon, qui est fortement écoulée dans les pays tiers-mondistes, où la majorité consommatrice, ne cherchaient que le moins cher sans se casser la tête pour la qualité, qui est aussi le cas en Algérie, en particulier à Oran, qui semblaient son marché parallèle de la contrefaçon n'est point touché par une crise autoritaire. Il suffit de visiter ce qui est exposé à la vente. Même certains médicaments n'ont pas échappé à cette dangereuse contrefaçon. Qui représente un véritable danger pour la santé du consommateur. C'est ainsi, l'investigation proprement dite, selon M. Hali, représentant le Centre algérien du contrôle de la qualité et de l'emballage, doit se porter sur plusieurs axes afin de contrecarrer ce phénomène. Il est question d'identifier les différentes unités de production, d'engager des mesures administratives et de mettre en place des brigades mixtes pour le contrôle. Le dispositif a porté également sur l'actualisation de la liste des produits à contrôler, l'élaboration d'un plan de formation pour les agents du commerce et la mise en place d'une banque de données qui donna des informations capables de renseigner sur le produit, le service et la licence accordée par une marque protégée en Algérie. Mais la seule lutte efficace contre ce fléau qui ne cessait d'activer en toute liberté, il faut le préciser, demeure le boycott du consommateur, de sensibiliser par la télévision nationale qui doit jouer son rôle en informant les citoyens, de ne pas acheter les produits de contrefaçon. Surtout à Oran où le marché de la contrefaçon a trouvé un terrain très fertile, pour se propager. Des pseudos commerçants de l'extrême Est du pays se sont mis dans ce créneau très juteux et parfois sans registre du commerce. Certaines demeurent en construction,et même des villas construites, leurs propriétaires ont préféré les donner en location au profit de chaînes de productions clandestines et de la contrefaçon, dans plusieurs domaines, même celui du textile et du prêt-à-porter, en particulier dans les villages et les nouvelles cités, ou ils passaient inaperçus Ceci s'est développé et a pris de l'ampleur durant les années quatre-vingt-dix, où le laisser-aller battait son plein dans la seconde capitale de l'Algérie, qui a vue une sorte de ‘'débarquement'' de type fraudeurs sans scrupule avec l'aide d'une certaine complicité, le marché de la ville s'est transformé en un temps record en un marché des ‘'dupés'' où la contrefaçon régnait en Seigneur.. Oui nous sommes toujours les dupés !

Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.