Voici les déclarations marquantes du 17e jour de la campagne en prévision du référendum sur le projet d'amendement de la Constitution, prévu le 1er novembre prochain : - Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Youcef Belmehdi, depuis M'sila : le projet de révision de la Constitution constitue "un nouveau départ vers l'édification de l'Algérie nouvelle" et le vote en faveur de ce projet "contribuera au renforcement de la sécurité et de la stabilité". - Le médiateur de la République, Karim Younes, depuis Constantine : le projet d'amendement de la Constitution permettra à l'Algérie d'ouvrir "une nouvelle page sur la voie de l'édification et consacre la souveraineté et la volonté du peuple dans le cadre de l'égalité et de la justice loin des dépassements et de toute forme de corruption". - Le président du parti El-Karama par intérim, Mohamed Daoui, depuis Relizane : le référendum du 1er novembre constitue une "nouvelle étape et une Algérie nouvelle, faisant du peuple le décideur de la Constitution de son pays, et la consécration de la volonté populaire au changement". - Le président du Front national des libertés (FNL), Mohamed Zerrouki, depuis Oran : le projet d'amendement de la loi fondamentale constitue une occasion pour "remettre le pays sur les rails du développement, car il offre les moyens juridiques nécessaires pour régler les problèmes de l'Algérie et des algériens". - Le secrétaire général du parti du Front de libération nationale (FLN), Abou El Fadhl Baadji, à partir de M'Sila : le projet d'amendement de la Constitution "a besoin d'un soutien populaire. Il s'agit d'une Constitution consensuelle dès lors que les amendements introduits tiennent compte de la plupart des propositions émises par la classe politique". - Le président du Front national pour la justice sociale (FNJS), Khelif Redouane, depuis Saïda : le projet d'amendement de la Constitution comprend dans ses textes "deux dimensions, politique et sociale, consacrant l'unité du peuple algérien".