Depuis, le crédit bancaire tant attendu de la BADR n'a pas atterri dans les poches de ce jeune investisseur dans un créneau aussi important pour ne pas dire stratégique. Les multiples réclamations faites auprès de cette institution financière de développement de l'agriculture sont restées sans suite. Epuisé par l'attente qui dure, ce jeune fellah, qui possède 8 ha et deux écuries d'une capacité de 50 têtes bovines à Hamma Bouziane assorti de son apport personnel, n'a pu décrocher le crédit bancaire. Pis, dans sa dernière réclamation au responsable de la BADR sise à la zone industrielle La Palma, l'intéressé demande une simple réponse, même négative.