Une situation qui, au demeurant, ne laisse pas indifférent le consommateur qui se voit privé de ces denrées qui étaient naguère à la portée des petites bourses. Ainsi, la ménagère se trouve contrainte de gérer de manière draconienne ses ressources financières en se rabattant sur d'autres produits. Le poulet est cédé à présent à pas moins de 280 DA/kg, le poisson (grandes pièces) à 300 DA/kg au moment où la sardine s'affiche à pas moins de 120 DA, alors que les œufs sont cédés à 13 DA/l'unité, soit 390 DA/ le plateau. Même les légumes frais et les fruits à l'image de la pomme de terre, des choux-fleurs et des poivrons caracolent à des prix hors de portée.