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Des dizaines de milliers d'élèves éprouvés
Publié dans El Watan le 12 - 09 - 2012

L'internat comme solution à Batna ?

Le dernier conseil exécutif de wilaya, tenu jeudi passé et consacré à la rentrée scolaire, a permis au wali de Batna, El Hocine Maâzouz, de rappeler l'utilité de l'internat, seule voie, selon lui, de faire face au problème du transport scolaire. En effet, avec un parc de 200 véhicules dont profitent seulement 42 732 élèves (tous paliers confondus) sur un nombre total de 271 930, soit 15,72%, les capacités du transport sont très loin de satisfaire la demande. Et c'est à juste titre que le wali a insisté sur la nécessité de tabler sur le régime d'internat ou celui de la demi-pension. Bien que la suggestion soit la meilleure issue pour résoudre une fois pour toutes cet épineux problème à l'origine de l'absentéisme et autres désagréments vécus par les scolarisés le long de l'année, il n'en demeure pas moins que parents et élèves restent réticents et beaucoup d'entre eux préfèrent de loin le régime d'externat en raison d'une appréhension justifiée certainement par tout ce que pourrait engendrer ce genre de promiscuité.
Face à cette situation, la direction de l'éducation se devrait d'user de stratagèmes afin de convaincre parents et élèves sur les côtés positifs que recèle le régime d'internat, en mettant en exergue les efforts consentis par l'institution pour l'amélioration du cadre de vie et des conditions de travail qui seront mis au service des élèves avec tout l'apport en matière d'éducation et de prévention de toutes les dérives juvéniles qui peuvent être générées par la rue. Quant aux efforts, selon Sonia Magra, responsable du service programmation et suivi auprès de la direction de l'éducation, 12 internats ont été restaurés et aménagés au niveau du secondaire et un treizième est en voie de finition.
Concernant le cycle moyen, ce sont cinq écoles qui bénéficient du régime d'internat, alors que deux autres sont en cours de réalisation, selon la même responsable. Il s'agit donc, pour les responsables de l'éducation et, pourquoi pas, pour les élus, de trouver les meilleures formes de communication à même non seulement de convaincre les parents sur les avantages de l'internat, mais également de les rassurer sur la sécurité de leurs enfants, surtout lorsqu'il s'agit de filles. Lounes Gribissa


Protestations à Tiaret

Plusieurs dizaines d'élèves de Madna, l'une des 42 communes les plus déshéritées de la wilaya, ont boudé les classes hier matin, refusant d'aller étudier à Sidi Abderrahmane, à 30 km de chez eux, faute de transport scolaire. La mairie de Aïn Kermès a, auparavant, repris son bus, d'où les désagréments constatés au niveau de cette localité.
Pas très loin de Madna, à Medrissa, le collège qui devait être annexé au lycée Adaoui Habib n'a pas fonctionné, car parents d'élèves et enseignants ont refusé ce transfert, préjudiciable d'après eux. Une situation inédite pour dire que ce problème de transport se pose avec acuité. 80 bus seulement pour le ramassage scolaire à destination de 253 établissements, c'est trop insuffisant pour assurer ce service pour les élèves qui étudient loin de chez eux.
Les localités concernées sont pour la plupart déshéritées. Les assemblées élues et le secteur de la solidarité n'ont pu combler le vide criant en la matière.
Dès la rentrée, dimanche dernier, la contestation a repris au niveau de la commune de Tagdemt. Dans ce petit village, situé à 7 km de Tiaret, les parents d'élèves se plaignaient de l'absence ou de l'insuffisance du transport scolaire. Pour que les enfants puissent se rendre à l'école, il faudrait se lever très tôt le matin pour espérer accéder au transport.
L'APC aurait inscrit l'achat d'un bus pour le ramassage scolaire, mais un seul bus reste insuffisant quand on sait que ceux existants font des rotations avec à bord, pas moins de 75 élèves. S'agissant des cantines scolaires, neuf nouvelles cantines devraient ouvrir leurs portes aux 95 000 enfants, cette année, et viendront s'ajouter aux 349 existantes. Le chargé de la communication de l'académie parle d'un repas à 35 DA, soit avec une augmentation de 5 DA pour améliorer la qualité. Une qualité dont il faut douter, jusqu'à preuve du contraire !  A. Fawzi


Déficit criant à Chlef et Mostaganem

Le transport scolaire est sans cesse négligé, voire délaissé, par les pouvoirs publics, bien qu'il constitue un aspect important de l'amélioration des conditions de scolarisation des élèves. Le constat est reconnu même par les autorités locales et les services de l'éducation. On se rappelle que dès son installation en 2008, le wali de Chlef avait, à maintes reprises, promis d'y remédier en renforçant le parc des véhicules du transport scolaire. Cependant, cette promesse tarde à se concrétiser, selon des sources proches du dossier, qui affirment que la wilaya ne compte que 65 minibus, pour la plupart acquis et distribués par le ministère de la solidarité nationale. Or, non seulement ce nombre est jugé très insuffisant, mais en plus, ces bus sont souvent affectés à d'autres activités par les collectivités locales, déplorent des chefs d'établissement.
Le problème se pose avec acuité surtout dans les zones rurales, où les enfants sont souvent contraints de parcourir plusieurs kilomètres à pied pour rejoindre leur établissement. Ce manque criant en moyens de transport a engendré une forte demande en cantines scolaires. Mais, en dépit de leur augmentation, celles-ci restent sous-équipées en moyens humains et matériels, de l'avis de parents d'élèves. A noter que le secteur de l'éducation compte 533 structures de restauration, totalisant 123 000 bénéficiaires, soit la moitié de la population scolarisée. A Mostaganem, des parents d'élèves dénoncent un manque de transport scolaire dans certains localités et quartiers. La demande est élevée en cette période de rentrée scolaire. Cette situation s'est aggravée des suites de l'augmentation du flux des voyageurs, où un grand nombre d'élèves utilisent le transport rural pour rejoindre les bancs des classes. Les parents d'élèves interpellent les responsables concernés afin de prendre le taureau par les cornes et permettre à leur progéniture de poursuivre les cours régulièrement.  A.Y. et A. T.


Des projets de cantine en souffrance à Sidi Bel Abbès et Relizane

Dix-neuf projets portant construction de cantines scolaires sont à l'arrêt à Sidi Bel Abbès, a-t-on appris de source administrative locale. Initiés dans une optique d'extension du réseau des cantines scolaires aux zones qui en sont dépourvues, les travaux de réalisation desdits projets ont été interrompus pour des raisons d'ordre technique et financier. En revanche, dix nouvelles cantines scolaires seront opérationnelles dès le 19 septembre, portant ainsi à 176 le nombre d'unités de restauration implantées dans diverses communes et localités de la wilaya. En termes statistiques, le taux de couverture du régime des cantines scolaires dont bénéficient 53 000 élèves, est évalué à 76,83%. Cependant, dans certaines zones situées dans le sud de la wilaya de Sidi Bel Abbes, à l'image de Ras El Ma, Marhoum,Telagh, Moulay Slissen et Merrine, l'indice de couverture s'élève pratiquement à 100%. S'agissant des transports scolaires, le dispositif de ramassage qui touche 15 000 élèves issus des différents cycles d'enseignement, est soutenu par un parc composé d'une centaine de bus. La prise en charge des transports scolaires est, néanmoins, assurée exclusivement aux élèves fréquentant des établissements éducatifs éloignés de leur domicile familial. Cela étant, le ramassage scolaire reste insuffisant dans certaines localités rurales où les élèves peinent quotidiennement à rejoindre leur école.A Relizane, sur les sept cantines scolaires prévues pour cette année, trois n'ont pas eu leur certificat de conformité (document qu'élabore une commission communale).
Les quatre autres sont encore au stade de la réalisation, apprend-on d'une source bien informée qui ajoute que pas moins de 10 cantines scolaires typiques (batterie de cuisine + réfectoire) sur les 179 ouvertes à l'échelle de wilaya ne sont pas équipées en mobilier de réfectoire. Alors que les parents se plaignent des conditions de restauration de leurs enfants, une source de la direction du logement et de l'équipement public (DLEP) affirme que toutes les mesures ont été prises pour équiper ces infrastructures. Aucun détail n'a été fourni sur le retard dans cette opération. Cela dit, 231 cantines offriront des rations alimentaires dans des conditions inappropriées (usage des simples réchauds, l'usage des salles pédagogiques ou autres). Pour les paliers du moyen et du secondaire, ils sont 91 demi-pensions opérationnelles sur 153 établissements établis sur le territoire de la wilaya. Pour le transport scolaire, plusieurs présidents d'APC notamment dans les zones reculées comme les régions de l'Ouarsenis et de Dahra s'en sont plaints. «Nous rencontrons d'énormes difficultés pour transporter nos scolarisés à leurs établissements respectifs», se plaint un maire. M. H. et I. B.


Les élèves pataugeront encore dans la boue à Béjaïa

Les élèves ont repris le chemin de l'école à Béjaïa pour une nouvelle année scolaire, avec les mêmes déboires en matière de transport, notamment pour certains d'entre eux. Deux prestations qui font toujours défaut malgré les promesses les plus officielles.
Lors d'une de ses visites de travail dans la wilaya, l'ex-ministre de la Solidarité nationale, Saïd Barkat, avait enchanté son monde par sa promesse qu'«aucun enfant ne marchera plus dans la boue ou dans la neige pour se rendre à l'école». A Ighram, à ce jour, aucun lycéen ni collégien de la commune ne bénéficie du ramassage scolaire, réservé, faute de moyens, aux seules collégiennes. «Même les filles, c'est en surcharge que nous les transportons», affirme à El Watan, M. Ibaliden, le président de l'APC d'Ighram. Les quelque 500 lycéens et lycéennes scolarisés à Akbou, eux aussi, devront se résigner à «marcher dans la boue et dans la neige» l'hiver prochain. La commune dispose de six minibus de 25 places chacun dont un seul octroyé par le département de la solidarité.
Le déficit oblige la totalité des collégiens résidant dans les villages de la commune et scolarisés au CEM du chef-lieu de la commune, au CEM de Taslent, ainsi que tous les lycéens, garçons et filles scolarisés à Akbou, à prendre les transports publics avec tous ses aléas. Ce qui engendre stress, fatigue, retards et absences. Les retards posent aussi problème à Adekar, malgré l'existence du ramassage scolaire sans distinction de sexe. La commune dispose de six minibus pour transporter un gros contingent de quelque mille collégiens et lycéens. Ce qui oblige à effectuer plusieurs rotations, ne respectant pas l'impératif de ponctualité des élèves, dont les premiers se voient déposés aux aurores devant leur établissement scolaire pour permettre aux transporteurs de l'APC d'aller récupérer le reste des élèves, qui patientent aux abords des routes. «Les premiers arrivent vers 6h30, les derniers avec, parfois, un retard d'une demi-heure aux cours» se plaignent des parents d'élèves. Le calvaire est aussi au sortir des classes. Des élèves, dans l'attente du retour des minibus partis pour les premières navettes, regagnent leur domiciles vers 18h. La commune exprime un besoin d'au moins trois autres bus pour espérer réduire ces heures d'attente et ne pas obliger les élèves à se lever trop tôt et à rentrer trop tard chez eux. A Barbacha, le problème du ramassage scolaire ne se pose pas.
La commune a six bus, dont un récemment acquis dans le cadre du fonds commun des collectivités locales. Le hic c'est que les cinq autres sont en panne en ce moment. L'APC, soumise, comme d'autres, aux obligations du contrôle a priori, ne peut pas acheter les pièces nécessaires, tant que le contrôleur financier n'a pas donné son accord. Non reconnue comme commune rurale de la wilaya, Tichy n'a droit, elle, qu'à deux bus pour le ramassage scolaire. Pour satisfaire la demande, l'APC a passé commande avec 24 transporteurs privés, ce qui a mobilisé la bagatelle de quatre millions de dinars, dont la moitié est supportée par le budget communal. «Pourtant, les 2/3 de la commune sont une zone rurale», précise Idir Achour, élu à l'APC. A Tichy comme ailleurs, un effort est consenti pour louer les services des transporteurs publics, mais il arrive que des élèves attendent vainement le passage, à temps ou non, du privé conventionné qui ne passe pas.  K. Medjdoub



Le dur quotidien des écoliers à Tizi Ouzou

Le manque de transport scolaire et de cantine rendent inévitablement le quotidien difficile pour des centaines d'élèves dans la wilaya de Tizi Ouzou. Une wilaya au relief montagneux où les distances entre les villages et les établissements scolaires contraignent les élèves à parcourir des dizaines de kilomètres pour rejoindre leur école avant de se confronter, le même jour, au problème de la restauration.
Ainsi, les communes du sud de la wilaya sont les plus déshéritées. A titre d'exemple, les collégiens de la commune de Maâtkas, scolarisés au CEM de Tizi Lilane, endurent l'absence de ramassage scolaire. «Pour rejoindre leur établissement, les collégiens de la localité sont obligés de parcourir à pied une distance de 10 km, le problème dure depuis des années malgré moult sollicitations des pouvoirs publics pour la dotation de ces communes en transport scolaire», a déclaré un parent d'élève.
Même situation à Tizi Ghennif, où les élèves du CEM de Taâchacht, situé à 7 km du chef-lieu communal, n'ont cessé de revendiquer les moyens de ramassage scolaire. L'an dernier, seulement deux bus ont été affectés pour le transport de 600 élèves, ce qui reste insuffisant. Par ailleurs, les lycéens d'Aït Aïssa Mimoun (20 km à l'est de Tizi Ouzou), qui fréquentent le lycée Rabah Stambouli de la ville de Tizi Ouzou, rencontrent les mêmes problèmes. En dépit des démarches entreprises par les parents d'élèves et les comités de village Akaoudj, Iffouzer, Imekcheren, Aït Khelfats, Tahanouts et Ighil Bouchène, les lycéens attendent toujours leurs bus scolaires. Une situation qui engendre du retard pour les élèves et des dépenses supplémentaires pour des parents irrités qui doivent débourser 100 DA/jour minimum pour un seul enfant. Par ailleurs, les collégiens du CEM Aboud, à Tala Ililen, dans la daïra d'Ouaguenoune, rencontrent également le problème récurrent de transport, les élèves rejoignent leur école à pied depuis les villages lointains dont Mendjah, Ath Brahem, Ighil Bouchen. Le même écueil est vécu aussi par les lycéens de Tazrart (Makouda). Outre le transport scolaire, de nombreux établissements du moyen et des écoles primaires sont dépourvus de cantines et de la demi-pension. Cet hiver, il y aura des enfants qui vont se nourrir de repas froid ou se contenter d'une limonade, une pizza ou un sandwich à raison de 150 DA par jour à défaut d'un repas équilibré. Ce sera le cas pour les collégiens du CEM Maâchra, à Makouda, où le réfectoire est toujours en chantier.
La situation sera plus pénible pour les petits écoliers de Tamda (Ouaguenoune) dont la cantine est fermée à cause du manque d'équipements. Une centaine de cantines scolaires manquent dans le secteur de l'éducation de Tizi Ouzou. Certaines sont en chantier, d'autres souffrent du manque d'équipements pendant que certains projets sont bloqués à cause de l'indisponibilité du foncier. Nordine Douici


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