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Une dimension essentielle de toute politique énergétique
La rationalisation de la consommation de l'énergie
Publié dans El Watan le 20 - 12 - 2010

La rationalisation de la consommation énergétique, qui est une démarche consistant à optimiser l'utilisation de l'énergie tout en maintenant et, souvent, en améliorant le niveau de qualité des services offerts aux consommateurs, constitue une dimension essentielle des politiques énergétiques menées dans les pays développés.
Des programmes d'économie d'énergie très élaborés ont ainsi vu le jour dans tous les domaines d'activité dès les années 1970 suite au réajustement des prix de l'énergie intervenu durant cette période et aux stratégies initiées par certains pays pour réduire leur dépendance énergétique vis-à-vis des énergies fossiles, notamment du pétrole. Ces programmes, mis en œuvre au moyen d'une réglementation et d'une fiscalité ciblées, ont permis aux pays qui les ont appliqués de diminuer significativement leur consommation d'énergie grâce au développement et à l'utilisation d'équipements à haut rendement énergétique ainsi qu'à une plus grande diversification des sources d'énergie au profit des énergies renouvelables. Ainsi et à titre d'exemple, la consommation globale d'énergie primaire, toutes sources confondues, des Etats-Unis, du japon et de l'Europe des douze s'est stabilisée et a même régressé de 10 millions de TEP de 2000 à 2008 malgré une croissance économique soutenue de 18% du PIB observée durant cette période.
Cette réduction de la consommation est bien le résultat d'une politique de rationalisation et non la conséquence de la récente récession économique dont les effets n'ont étés ressentis qu'en 2009 avec, par rapport à 2008, une baisse sensible de la demande d'énergie de ces pays de plus de 5%.
Dans notre pays, l'utilisation rationnelle de l'énergie est assurément la voie la moins coûteuse pour non seulement réaliser des économies financières substantielles, mais aussi pour contribuer à l'optimisation et à la préservation de nos ressources énergétiques dont les réserves sont relativement limitées. Cette rationalisation est d'autant plus nécessaire que le niveau de la demande nationale d'énergie, qui ne cesse de croitre à un taux élevé, a rendu notre pays importateur de produits énergétiques (gasoil) depuis 2007.
Dans cet article, nous nous proposons, après une présentation succincte de la structure du bilan énergétique national, d'identifier les secteurs d'activité qui constitue des gisements importants d'économie d'énergie qu'il serait opportun de mettre à profit dans le cadre d'un plan national de rationalisation.
Carburants routiers et gaz naturel à usage industriel : 80% de la demande nationale d'énergie
Le bilan énergétique national montre que le pétrole et le gaz naturel sont les principales sources d'énergie primaire utilisées sur le marché intérieur. Les autres sources telles que le charbon, le bois, l'hydroélectrique et le solaire restent marginales (moins de 1%). En 2009, la consommation globale d'énergie a avoisiné 40 millions de tonnes équivalent pétrole (TEP) soit, en termes financiers environ
15 milliards US$, dont plus de 10 millions de TEP de carburants routiers et environ 26 millions de TEP de gaz naturel. La consommation de gaz naturel du seul secteur industriel est de 21 millions de TEP avec 11,5 millions de TEP pour la génération électrique, plus de 8 millions de TEP pour les grands complexes industriels relevant des secteurs des hydrocarbures et de l'industrie lourde et 1,2 million de TEP pour le reste. La consommation au niveau du réseau de distribution public, destinée essentiellement aux ménages, est de 5,5 millions de TEP, soit un peu moins que 22% de la demande globale. L'analyse de ces quelques chiffres montre que la consommation des carburants routiers et du gaz naturel à usage industriel représentent 80% de la demande nationale d'énergie, ce qui justifie la mise en place de plans d'action visant l'amélioration de l'efficacité énergétique de ces secteurs d'activité. Ces plans d'action sont d'autant plus indispensables que l'augmentation de la demande nationale de 25 millions de TEP qui est prévue entre 2009 et 2019 sera essentiellement le fait des secteurs des transports routiers (+ 7 millions de TEP) et de la grande industrie (+ 11 million de TEP).
Pour un relèvement du rendement énergétique des véhicules importés
Le secteur des transports routiers consomme, à lui seul, plus de 50% de la production mondiale de pétrole brut. A ce titre, il a continuellement été au centre des stratégies des pays consommateurs qui, à travers un effort de recherche et un dispositif réglementaire spécifiques, ont encouragé le développement de nouvelles technologies de motorisation peu consommatrices de carburant. Cette réglementation contraignante, instaurée d'abord aux Etats-Unis dès 1975 puis au Japon en 1978 et, par la suite, en Europe et dans beaucoup de pays émergents, consiste à fixer un seuil maximum de consommation de carburant que les constructeurs automobiles sont tenus de respecter pour l'ensemble des véhicules qu'ils commercialisent sur le marché de ces pays sous peine de paiement de pénalités dissuasives et même, dans le cas des Etats-Unis, de poursuites pénales.
L'application de ces mesures réglementaires, y compris celles de type bonus/malus destinées à inciter les consommateurs à acquérir des véhicules économes, s'est avérée d'une grande efficacité puisqu'elle a permis de diviser par deux la consommation de carburant des véhicules entre1970 et 2009. A titre d'exemple, la consommation moyenne des véhicules personnels neufs mis sur le marché européen en 2009 a été ramenée à environ 5 litres/100 km pour les véhicules diesel et 6 litres/ 100 km pour les véhicules à essence.
En termes de perspectives, un objectif d'efficacité énergétique encore plus ambitieux est inscrit dans la directive de la communauté économique européenne (CEE) en cours de promulgation qui vise à baisser en 2020, par rapport à 2009, la consommation moyenne de carburant des véhicules de 30%. Aux Etats-Unis, la loi dite EISA (Energy Independence & Security Act) fixe, quant à elle, une diminution de la consommation de 23% d'ici à 2019. Des actions réglementaires similaires sont par ailleurs prises au Japon et dans de nombreux pays émergents. L'application de telles mesures est également fortement souhaitable dans notre pays au vu du potentiel considérable d'économie d'énergie qui, au delà des économies financières attendues, permettraient de contribuer grandement à la protection de l'environnement et à la modernisation du parc national de véhicules et d'éviter que le marché national ne soit le débouché de véhicules fortement consommateurs de carburant et souvent de technologie ancienne, voire obsolète.
Plaidoyer pour une plus grande utilisation du GPL et du… rail
Tout programme de rationalisation ne peut valablement occulter la prise de mesures permettant le développement de l'utilisation des carburants gazeux à savoir le GPL carburant et le Gaz naturel carburant qui, par rapport aux carburants classiques, présente un meilleur rendement moteur et sont relativement beaucoup plus largement disponibles dans notre pays. Nous ne reprendrons pas ici les nombreux avantages technique, économique et stratégique que ces carburants présentent pour l'économie nationale (se référer à l'article publié sur le quotidien El Watan du 25 octobre 2010 sous le titre «Le GPL carburant, quelle place dans le modèle de consommation nationale des carburants routiers ?».) L'investissement massif consenti par l'Etat dans les infrastructures de transport collectif des voyageurs (autorail, tramways, métro …), qui est à saluer, contribuera sans doute à la rationalisation de la consommation de carburant et, à l'instar des pays développés, permettra d'améliorer les conditions de déplacement de nos concitoyens par l'accès à ces modes de transport modernes qui, en plus de leur caractère économique, contribue à la décongestion de nos villes ainsi qu'à la protection de notre environnement et de notre cadre de vie.
On ne peut cependant omettre de relever la part marginale que représente le transport ferroviaire de fret malgré les nombreux avantages que présente ce mode de transport massif par excellence et qui, par rapport au transport routier, consomme beaucoup moins d'énergie et permet notamment d'éviter les risques de sécurité liés au transport par camion dont les effets ravageurs sont constatés quotidiennement sur nos routes.
Le transport ferroviaire de fret est aujourd'hui fortement concurrencé par le transport routier en raison principalement du maintien, pour des raisons de stratégie de développement globale, d'un prix du gasoil à un niveau relativement bas; il ne pourrait être compétitif et retrouver la place naturelle qu'il doit occuper dans l'économie nationale sans certaines formes de subvention de l'Etat.
Grands complexes industriels : un gisement immense d'économie d'énergie
Une amélioration de l'efficacité énergétique, pertes incluses, des grands complexes industriels d'un niveau de 10%, qui est un objectif parfaitement réaliste au vu de l'expérience internationale, permettrait, à terme, une économie de 3 millions de TEP de gaz naturel sur la consommation globale de 30 millions de TEP prévue en 2019. Un tel gisement d'économie justifie la mise en place de programmes de rationalisation spécifiques qui, pour les unités existantes, peuvent revêtir la forme de plans d'actions concrets ciblant, selon un calendrier arrêté, un seuil chiffré d‘efficacité énergétique qui serait arrêté en fonction des performances les plus strictes atteintes dans le même secteur d'activité au niveau international. Cette méthode de benchmarking par rapport aux meilleures pratiques en vigueur dans la profession est particulièrement adaptée dans le cas des nouveaux projets industriels et doit être appliquée dans toutes les étapes de développement du projet, de la rédaction des cahiers des charges jusqu'à la mise en service. En plus d'un contrôle technique approfondi durant la phase de l'engineering pour veiller au choix d'équipements et de procédés efficients, il serait souhaitable, dès la phase d'appel d'offres, de considérer le niveau d'efficacité énergétique proposé par les soumissionnaires comme un critère déterminant dans la sélection des offres et d'inclure dans le contrat de réalisation une pénalité dissuasive dans le cas de non atteinte de l'efficacité énergétique, y compris des pertes, prévue initialement.
Par ailleurs, l'application d'un prix de l'énergie plus bas que le prix du marché international peut être contreproductive et ne pas inciter à l'économie d'énergie notamment dans certains grands ensembles industriels dont la consommation peut atteindre 2 à 4 milliards de m3 par an de gaz naturel. Dans ce cadre, la prise en compte dans les études de faisabilité des projets d'un prix du gaz égal au prix international devrait être la règle pour permettre une évaluation objective et éviter le risque de rendre rentable des projets qui ne le seraient que grâce à l'application de prix bas de l'énergie. Un intérêt particulier devrait, à notre avis, être accordée à l'amélioration de l'efficacité énergétique des nouveaux projets industriels en raison notamment de l'importance du programme d'investissement de la décennie 2010-2020 qui se traduira par une consommation supplémentaire de plus de 13 milliards de m3 par an de gaz naturel.
Secteur résidentiel : limiter la mise sur le marché d'équipements énergivores
Dans ce chapitre, compte tenu de la multitude des domaines dans lesquels une économie d'énergie considérable pourrait être réalisée, nous nous limiterons à l'évocation de trois cas qui nous semblent exemplaires sans pour autant être nécessairement les plus importants en termes de potentiel d'économie réalisable.
Le premier cas concerne l'intérêt de l'utilisation des lampes dites économiques ou lampes à basse consommation (LBC) qui, selon le type, consomme 30 à 80% moins d'électricité que les lampes à incandescence classiques dont le rendement ne dépasse pas 5 à 10%. En supposant que la consommation de l'éclairage représente, comme dans le cas de l'Europe, 14% de la consommation globale d'électricité, la généralisation de l'utilisation de lampes LBC dans notre pays se traduirait par une baisse nationale de la consommation d'électricité de plus de 1 TWH dans le scénario, conservateur, où l'économie d'énergie de ces lampes est limitée à 30% par rapport aux lampes classiques. Une telle réduction de la consommation permettrait tout simplement de faire l'économie de l'investissement de l'équivalent d'une centrale électrique de 400 MW et de réaliser un gain sur la consommation d'énergie d'environ 500 millions de mètres cubes de gaz naturel par an. Malgré cet avantage déterminant, l'utilisation des lampes à basse consommation continuera, en raison de leur prix élevé, à rester marginale à moins que des mesures d'ordre réglementaire ne soient prises pour limiter, et pourquoi pas interdire, l'inondation de notre marché de lampes fortement consommatrices d'électricité et souvent de mauvaise qualité. A ce sujet, il n'est pas inutile de signaler que la CEE a récemment adopté un règlement qui bannit l'utilisation des lampes à incandescences énergivores sur tout le territoire européen à partir 2012.
Dans le même registre, signalons que le rendement énergétique des appareils électroménagers tels que les appareils de chauffage/climatisation, cuisinière, frigidaires, téléviseur, ordinateurs ont des rendements énergétique qui peuvent varier du simple au double et, là aussi, seule une réglementation technique imposant un niveau d'efficacité énergétique minimum aux équipements admissibles sur le marché national permettrait de mettre de l'ordre dans ce secteur.
Le deuxième cas que nous tenons à traiter concerne l'habitude des consommateurs qui consiste à laisser «en veille» les nombreux équipements électriques à commande à distance qui équipent aujourd'hui nos foyers tels les téléviseurs, démodulateurs, ordinateurs et les appareils de chauffage et de climatisation. Ce cas, qui semble anecdotique, permettrait cependant de réduire notre facture électricité de l'ordre de 10% si l'on éteignait complètement ces appareils plutôt que de les laisser en veille. Un tel gain, peu incitatif au niveau du ménage mais d'un impact certain sur la consommation nationale d'électricité, montre, si besoin est, l'utilité de lancements de campagnes d'information destinées à sensibiliser le citoyen sur ces questions d'économie d'énergie.Enfin, le dernier cas que nous nous devons d'évoquer concerne les économies d'énergie appréciables qui peuvent être réalisées dans le domaine de l'habitat grâce à l'application de normes d'architecture adaptées et l'utilisation de procédés et de matériaux spécifiques. Ce type logement à haute efficacité énergétique présente un intérêt d'autant plus important pour notre pays que le plan de développement 2010-2015 prévoit la réalisation d'un programme ambitieux de construction de grands ensembles d'habitation à travers tout le territoire national.
Conclusion
Les politiques énergétiques qui ont placé la rationalisation de la consommation au centre de leur stratégie ont permis aux pays qui les ont menées d'assurer la maitrise de leur demande d'énergie grâce une meilleure efficacité énergétique et de permettre une plus grande diversification de leurs sources d'énergie avec l'objectif, faut-il le rappeler, de diminuer leur dépendance vis-à-vis des énergies fossiles et notamment du pétrole. La rationalisation de la consommation nécessite un plan d'actions institutionnelles multiformes combinant généralement une politique fiscale incitative en faveur de l'utilisation volontaire des produits et services à haute efficacité énergétique et des dispositifs réglementaires plus directifs destinés à contrecarrer la commercialisation de produits très compétitifs au niveau des prix mais fortement consommateurs d'énergie et souvent de mauvaise qualité.
L'utilisation rationnelle de l'énergie revêt également un enjeu majeur pour notre pays surtout au vu de l‘augmentation rapide de la consommation nationale qui atteindra en 2020 environ 60 millions de TEP dont près de 20 millions TEP de dérivés du pétrole dont les réserves sont relativement limitées.
Enfin, la rationalisation consiste également à maximiser l'utilisation des énergies renouvelables, inépuisables par définition, et plus particulièrement de l'énergie solaire dans le cas de notre pays qui dispose d'un taux d'ensoleillement parmi les plus élevés du monde.
Salah Azzoug. Ingénieur en raffinage et pétrochimie


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