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Soutien indéfectible à la Palestine
L'Algérie appuie toujours les Palestiniens
Publié dans El Watan le 24 - 07 - 2014

La Palestine, oppresseur ou opprimé». C'est ce slogan, cher à Houari Boumediène, qui a longtemps constitué le fondement de la politique algérienne vis-à-vis de la question palestinienne.
Et quelle que soit la position de la Palestine, Alger n'a jamais changé d'attitude, malgré des variations conjoncturelles.
Il est vrai que l'Algérie de Bouteflika n'est pas celle de Boumediène. Dans les années 1970, l'Algérie, surfant sur une vague de décolonisation, avait une voix qui portait dans le concert des nations. En ces temps de guerre froide, les pays arabes avaient même pu mener deux guerres avec Israël et réussi à imposer au monde occidental un embargo pétrolier qui avait paralysé, en 1973, des économies de beaucoup de pays. C'était donc la période où Abdelaziz Bouteflika avait réussi à faire entrer dans l'enceinte des Nations unies le leader palestinien, Yasser Arafat, alors considéré comme terroriste.
Durant les années 1980, l'attitude algérienne était pratiquement la même et c'est à Alger que le défunt leader, Yasser Arafat, avait proclamé, en 1988, la naissance de l'Etat palestinien.Les choses ont changé dans la forme durant les années 1990. L'Algérie, qui livrait bataille à un terrorisme implacable, se retrouve isolée sur la scène internationale. Même les dirigeants de l'Organisation de libération de la Palestine (OLP), à leur tête Arafat, évitaient de faire escale à Alger.
L'ère Bouteflika n'a rien changé sur le fond. L'Algérie soutient toujours politiquement et matériellement l'Autorité palestinienne. Mais dans les formes, le chef de l'Etat algérien n'a jamais reçu, à Alger, Mahmoud Abbas, le chef de l'Autorité palestinienne. Les raisons de cette attitude ne sont pas connues. Cependant, l'apparition sur la scène régionale de Hamas a pesé lourd dans la balance et les autorités algériennes ne veulent toujours pas prendre position en faveur de l'une des deux plus importantes ailes palestiniennes. Cette attitude est devenue tellement importante qu'à diverses occasions, l'Algérie distribue «équitablement» sa contribution financière en envoyant une partie au gouvernement Hamas à Ghaza et une autre au gouvernement Abbas à Ramallah.
Sur le plan des principes, l'Algérie a été, ces dernières années, l'un des grands défenseurs de l'entrée de la Palestine au Nations unies et à l'Unesco. Lors de l'actuelle agression israélienne contre Ghaza, l'Algérie s'est contentée d'envoyer 20 millions de dollars aux autorités palestiniennes et a fait parvenir une lettre virulente au secrétaire général de l'Organisation des nations unies, Ban Ki-moon, qui s'est finalement rangé du côté de l'Etat sioniste. Sur le plan interne, et sans doute par peur de contagion, les autorités algériennes refusent toute manifestation publique en faveur des populations de Ghaza.


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