Dalia Chih est une discrète et très sympathique chanteuse algérienne qui a été découverte dans l'émission « Arab's Got Talent ». Elle a été classée deuxième. Depuis, elle enchaîne les récompenses : première place à « La plus belle voix étrangère du monde arabe », Prix de la révélation de l'année 2013 dans « Algerian Music Awards ». Et dernièrement, elle a obtenu la 3e place au Festival international de la culture turque. Elle a toujours aimé la musique et le chant. Présente à Alger aux côtés de son meilleur ami, Baris Turkaal, elle se livre à nous dans cet entretien. Jeune, ambitieuse et talentueuse, comment arrivez-vous à vous organiser dans votre carrière artistique ? Je dirai que c'est grâce à Dieu et ensuite à ma famille qui m'entoure, me soutient et m'encourage. En plus, je concilie mes études, des cours en langues étrangères par correspondance, et ma carrière musicale. Actuellement, je suis en première année, et cela se passe bien pour le moment. Pensez-vous avoir ce succès si vous étiez plutôt passée dans une émission nationale ? A vrai dire, non. Il faut passer par l' étranger pour être reconnu en Algérie. J'estime que j'ai eu beaucoup de chances en participant à l'émission « Arab's got talent ». Vous avez pris part à la réalisation du clip « Notre serment pour l'Algérie ». Comment définiriez-vous ce travail ? Ne vous considériez-vous pas un peu comme une artiste engagée ? C'était super. J'ai rencontré de belles personnes, puis, c'est un honneur et une chance inouïe de chanter pour notre Président de la République, Abdelaziz Bouteflika. J'assume mon choix, en plus, je voulais réellement le faire. C'est bien plus qu'un artiste engagé, c'est un rêve que je concrétise parce que je porte un amour grandissant pour notre Président. Quels sont vos projets ? Je ferai sortir incessamment un single suivi d'un clip vidéo, dans un style différent de mes précédents produits. Cette œuvre sera familiale, je ne dirai pas plus. Ce sera une surprise. J'anime une série de concerts en Turquie en juillet et août prochains.