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Cela s'est passe un jour/ Aventures, drames et passions celebres
L'empreinte indélébile (28e partie)
Publié dans Info Soir le 22 - 09 - 2008

Enigme n L'apprenti fait le tour de la maison, mais toutes les issues sont fermées. C'est alors qu'il monte sur un monticule, pour jeter, au-delà du mur de la cour, un coup d'œil sur la maison.
Trois années après l'affaire Scheffer, en France, éclate une affaire criminelle qui bouleverse l'Angleterre. L'affaire se déroule à Detpford, petite ville de la banlieue est de Londres, non loin de Greenwich, le 27 mars 1905. C'est une ville paisible et les gens se connaissent tous en principe. Mais ici, chacun s'occupe de ses propres affaires.
Aussi, le facteur et le laitier se contentent-ils de remettre le courrier ou leur bouteille, sans chercher à lier conversation. De toute façon, les gens ont leur préoccupation, ils n'ont pas le temps de discuter.
Ce jour-là, le laitier qui vient de faire sa tournée, s'engage dans la High Street où se trouve une droguerie. La boutique est fermée, à cette heure de la journée, mais les patrons, un couple de vieux, habitent à l'étage.
Au moment où le laitier débouche sur la rue, il voit deux jeunes hommes sortir de la droguerie. Ils regardent derrière eux, comme s'ils craignaient d'être suivis, puis ils s'en vont en courant. Le laitier s'arrête.
«Que peuvent-ils faire à cette heure de la journée ?»
Mais le laitier n'est pas homme à se préoccuper des autres… Il pose sa bouteille et continue sa tournée.
Dix minutes plus tard, une fillette traverse la rue. Elle sait, elle aussi, qu'il ne faut pas parler aux inconnus et qu'il ne faut pas s'occuper des affaires des autres. Elle doit passer devant la droguerie, quand elle voit la porte s'ouvrir brusquement. Un homme maculé de sang apparaît, puis, il retourne dans la maison, en claquant la porte.
La fillette, on s'en doute, n'approche pas de la droguerie, mais elle pouvait donner l'alerte. Elle n'en fait rien et retourne chez elle. Elle n'en parle même pas à ses parents !
Ce n'est que vers sept heures trente, qu'un jeune garçon, apprenti chez le droguiste, va découvrir le drame.
Il s'approche de la porte et s'étonne que la boutique soit fermée. Pourtant, il sait que son patron, M. Farrow, ouvre toujours très tôt. Comme il sait que beaucoup de gens ont besoin d'acheter des objets, il ouvre toujours tôt.
— monsieur Farrow !
Mais personne ne répond. L'apprenti frappe de nouveau.
— y a quelqu'un ?
Mais il ne reçoit aucune réponse. L'apprenti se gratte la tête. Que se passe-t-il ? Quand monsieur Farrow est absent, il met toujours une pancarte pour le signaler et comme il sait que son apprenti arrive toujours à l'heure, il laisse la porte ouverte. Et puis, il y a son épouse, elle aurait entendu les coups.
L'apprenti fait le tour de la maison, mais toutes les issues sont fermées. C'est alors qu'il monta sur un monticule, pour jeter, au-delà du mur de la cour, un coup d'œil sur la maison.
C'est alors qu'il pousse un cri, descend de son tertre et court chercher refuge dans une boutique voisine.
— un malheur (à suivre...)


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