Anigo voudrait lui faire signer un précontrat Il semble que l'Olympique de Marseille n'attendra pas la date du 28 février pour venir négocier avec Faouzi Chaouchi. José Anigo, le directeur technique de l'OM, qui devait débarquer à Alger à la fin de ce mois-ci pour faire signer le gardien de but de l'EN, a finalement anticipé les choses en envoyant hier un de ses proches collaborateurs à Alger. Ledit émissaire n'est pas venu les mains vides. Il aurait ramené un précontrat qu'il compte faire signer à Chaouchi. L'on comprend ici que l'OM ne veut pas attendre longtemps dans ce dossier, d'où l'insistance de cet agent à entrer en contact avec le gardien de l'Entente de Sétif dès son arrivée, hier, à Alger. Anigo voudrait lui faire signer un précontrat Comme indiqué ci-dessus, le directeur sportif de l'OM a envoyé avec son émissaire un précontrat qu'il espère faire signer à Faouzi Chaouchi. Ce qui confirme, si besoin est, le souhait du club phocéen de conclure avec l'Algérien dès à présent, sans doute par souci d'éviter toute concurrence à l'avenir. Chaouchi est resté injoignable A priori, José Anigo ne compte pas attendre trop longtemps. Etant sur d'autres pistes, dont un Argentin, il a clairement fait savoir à son émissaire que si Chaouchi montre des signes d'indécision, il devra mettre un terme illico aux négociations. Seulement pour qu'il y ait négociations, il faut d'abord entrer en contact avec le joueur qui était resté durant toute la journée d'hier injoignable. Ayant rejoint Sétif le week-end dernier, Chaouchi est y resté pour s'entraîner avec le groupe. Son papa, l'unique interlocuteur Dans l'impossibilité de joindre Faouzi Chaouchi, l'émissaire de l'OM s'est rabattu sur le patriarche qu'il a pu avoir au bout du fil, hier après-midi. Les deux hommes ont vite fait un tour de la question. A priori, Rachid Chaouchi, le père de Faouzi, a donné des assurances à son interlocuteur. Les deux hommes devaient néanmoins se rencontrer hier soir ou au plus tard aujourd'hui afin de faire le point. Nous y reviendrons. A. A. A.
