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Coupe des Confédérations : 1/2 finale Brésil 2 - Uruguay 1 : Scolari : «On est sur le bon chemin»
Publié dans Le Buteur le 28 - 06 - 2013

Oscar Tabarez : «Evacuer la tristesse de cette élimination» Fred : «Ici c'est chez nous et c'est là que nous jouons»
Très heureux au coup de sifflet final de voir son équipe passer l'obstacle de l'Uruguay, en se hissant en finale de cette Coupe des Confédérations «2-1», Luiz Felipe Scolari estime que la ferveur des supporters a aidé ses joueurs à s'imposer dans un match assez engagé, selon des propos rapportés par Lequipe.fr : «On est encore en construction. C'était un match compliqué et il faut en passer par là pour avancer. Toute l'équipe se sert de cette compétition pour grandir. C'était un match différent que contre l'Italie. Avec l'Uruguay, il existe une vieille rivalité. Les joueurs étaient nerveux. C'est normal parce qu'on n'est pas encore une équipe complètement aboutie. L'objectif reste d'être au point pour la Coupe du monde. On a gagné parce que les joueurs ont livré un effort énorme mais ce qui nous a fait gagner, c'est le public. Je ne sais pas combien ils étaient. Mais, dans les moments difficiles, la ferveur de nos supporters a rendu les joueurs plus forts. La façon dont ils ont continué à chanter l'hymne brésilien, même quand la musique s'est arrêtée, cela a donné des bonnes vibrations aux joueurs. Ce soutien populaire est intéressant, aussi, en vue de la Coupe du monde. Au début du mois, nous voulions retourner deux fois au Maracana, ce dimanche pour la finale de la Coupe des Confédérations, mais aussi le 13 juillet 2014, pour celle du Mondial... Le nom de notre adversaire en finale m'importe peu. Ce que je vois, c'est qu'avec quatre victoires en quatre matches, on est sur le bon chemin. J'insiste d'ailleurs auprès des joueurs sur ce point. Devant eux, mon discours est axé à 90% sur les progrès qu'ils ont déjà accomplis et à 10% sur ce qu'il leur reste à améliorer. Leur parler autant de ce qu'ils font de bien, c'est ma façon de leur redonner confiance. Jeudi soir, lors d'un débriefing avec la vidéo, je leur montrerai ce qui n'a pas marché, mais aussi les 90% du match qui m'ont plu. Je dois les encourager et leur montrer qu'ils sont désormais bien meilleurs qu'avant le début de la compétition», a reconnu l'ancien sélectionneur du Portugal.
Oscar Tabarez : «Evacuer la tristesse de cette élimination»
Malgré l'élimination de l'Uruguay contre le Brésil (1-2) en demi-finale de la Coupe des Confédérations, le sélectionneur de la Celeste, Oscar Tabarez, n'a pas voulu critiquer ses joueurs, en retenant de nombreux points positifs, selon lequipe.fr : «Malgré la défaite (1-2), ce match montre à mes joueurs qu'ils sont sur le bon chemin. Physiquement, l'équipe est très bien. On est redevenu compétitifs contre des équipes majeures. Ce groupe commence à accumuler beaucoup d'expérience. Ce sera un plus en vue de la fin des éliminatoires de la Coupe du monde. On peut encore se qualifier depuis notre victoire au Venezuela au début du mois. Cela dépendra de notre état d'esprit. Avant le début de cette Coupe des Confédérations, on savait que le match-clé serait le deuxième, contre le Nigeria. C'était le match à gagner à tout prix pour atteindre les demi-finales, ce qui était notre objectif minimal. Aujourd'hui (mercredi), on a su imposer par moments une grosse pression au Brésil. Cavani avait un rôle important sur le côté et Rodriguez a soutenu nos deux milieux axiaux, ce qui a compliqué le développement du jeu brésilien. Pendant longtemps, il nous manquait quand même un peu de vitesse pour atteindre notre avant-centre (Diego Forlan). On y est mieux parvenu en seconde période, mais cela n'a pas suffi puisqu'on cède en fin de match sur ce but sur coup de pied arrêté. Il nous faut maintenant évacuer la tristesse de cette élimination pour se présenter dans les meilleures conditions au match pour la troisième place, samedi prochain.»
Marcelo : «Nous avons appris à souffrir»
Même si Thiago Silva a reconnu qu'il était fautif sur l'action de l'unique but uruguayen, le latéral gauche Marcelo a eu beaucoup de mal, lors de son duel face à Cavani. Le défenseur du Real Madrid a indiqué selon Sambafoot.com, avoir connu une soirée difficile mais se félicite de la victoire et de la qualification de son équipe pour la finale de cette Coupe des Confédérations : «Les circonstances étaient particulières car nous savions que ce match était décisif. C'était une journée bizarre. Nous avions pris l'habitude de faire tourner le ballon, d'échanger des passes rapides et de dominer techniquement. Mais avant même d'entrer sur le terrain, nous sentions que les choses seraient différentes. Même si nous avons bien joué depuis le début du tournoi, il est important de rappeler que cette équipe se construit encore. Nous apprenons à chacune de nos sorties et, aujourd'hui, nous avons fait une découverte importante : nous avons appris à souffrir.»
Fred : «Ici c'est chez nous et c'est là que nous jouons»
Après son doublé face à l'Italie, l'attaquant brésilien Fred a contribué activement au succès du Brésil face à l'Uruguay «2-1», en ouvrant la marque pour son équipe. Après la rencontre, l'ancien attaquant lyonnais a reconnu avoir voulu répondre au défenseur du PSG, Lugano qui, avant la rencontre, avait durement critiqué Neymar, allant jusqu'à dire que sa sélection allait l'emporter, selon Sambafoot.com : «Nous avons tous entendu, avant la rencontre, Lugano parler notamment sur Neymar et de façon négative. Donc une fois sur le terrain, j'ai dit ici c'est chez nous et c'est là que nous jouons. Sur le but, je le vois déborder, il frappe mais s'est dévié et le ballon me revient. Dieu seul sait comment je la reprends et elle s'en va sur le côté pour entrer dans le but, Dieu merci.»
David Luiz :«On s'est compliqués la vie en commettant des erreurs défensives»
Contraint de céder sa place à Dante, en première période face à l'Italie, le défenseur central David Luiz était de retour dans le onze de départ face à l'Uruguay. Le joueur de Chelsea, qui a provoqué le penalty raté par Forlan en première période, espère remporter la coupe, selon Lequipe.fr. «On a souffert et ça nous fera grandir. L'Uruguay est une équipe très expérimentée, composée depuis des années par des joueurs de grande qualité, surtout au niveau offensif. On s'est compliqué la vie en commettant des erreurs défensives, dont ma faute qui conduit au penalty, en première période. J'étais en retard sur Lugano et je n'avais pas d'autre choix que de faire faute sur lui. L'arbitre a eu entièrement raison de siffler. Grâce à Dieu, Julio César est un excellent gardien qui a détourné ce penalty. Maintenant, il y a cette finale à l'horizon. C'est un rêve d'enfant de disputer une finale au Maracana. Faisons maintenant en sorte que notre parcours se termine en happy-end !»
Thiago Silva : «Nous n'avons pas bien joué, moi en particulier !»
Lors d'un long entretien accordé à L'Equipe, le capitaine de la Seleçao, Thiago Silva, a eu le courage et l'honnêteté d'affirmer après la difficile victoire contre l'Uruguay (2-1), qu'il était coupable sur le but adverse, signé Cavani en seconde période.
Thiago Silva, comment expliquer le visage brouillon du Brésil lors de cette demi-finale ?
Il y avait de la nervosité à l'idée d'affronter l'Uruguay qui est un vieux rival. Comme dans tout match, il y a des points positifs et négatifs. Le négatif c'est que, globalement, nous n'avons pas bien joué, moi en particulier. Le positif, c'est qu'on s'est efforcé malgré tout de rester bien positionné et on a fait en sorte de ne pas donner trop d'opportunités de buts à l'Uruguay. Au final, je resté très tranquille dans ma tête parce que je sais qu'il est normal qu'une équipe en construction rencontre parfois de telles difficultés.
Le but uruguayen est venu d'une erreur de relance que vous avez commise...
Pour bien comprendre, il faut savoir que je traînais une petite douleur à la jambe droite, après un duel avec Diego Lugano en première période. Ça m'a gêné sur cette relance. Dans une situation normale, j'aurais dégagé le ballon vers l'avant. Maintenant, cette douleur ne m'a pas empêché de finir le match et ça ne m'empêchera pas d'être opérationnel pour la finale. Quelle qu'en soit l'origine, j'assume cette erreur à 100%. Nous avons encaissé trois buts en quatre matches dans cette compétition et, sur ces trois buts, deux proviennent directement d'erreurs individuelles de ma part. Chaque fois que j'en commets une, j'ai du mal à m'endormir. Je vais la visionner plusieurs fois et réfléchir de façon à ne plus la répéter à l'avenir.
Julio César : «Nous devions absolument maîtriser nos nerfs»
En attendant de connaître sa future destination en club, le portier brésilien, Julio César, qui ne jouera plus avec la formation anglaise de QPR, a livré un grand match face à l'Uruguay, en stoppant notamment un penalty tiré par son ancien coéquipier à l'Inter Milan, Diego Forlan. Au coup de sifflet final, il pouvait laisser exploser sa joie et parler de la force mentale qui anime cette Seleção depuis le début de la compétition, selon Sambafoot.com : «C'est ça. Il était clair que nous étions sous pression et, pour bien la gérer, nous devions absolument contrôler nos nerfs. Au cours de mes années passées avec la Seleção, nous avons parfois gagné de cette manière : aux forceps, sans forcément réussir de grandes choses techniquement. Il ne fait aucun doute dans mon esprit qu'il s'agit d'une bonne chose. Ça fait du bien et ça aide à mûrir.»


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