Les échanges commerciaux dans l'espace méditerranéen sont en constante évolution pour les pays riverains de cet espace considéré comme l'une des mers les plus fréquentées par les navires et les plus denses concernant le trafic maritime. Les échanges commerciaux dans l'espace méditerranéen sont en constante évolution pour les pays riverains de cet espace considéré comme l'une des mers les plus fréquentées par les navires et les plus denses concernant le trafic maritime. Le constat a été fait par l'Agence française de développement (AFD) qui vient de réaliser une étude dont l'objectif essentiel consiste à analyser la situation des transports des marchandises dans la région, et ce en vue d'une future intégration méditerranéenne en élaborant un rapport incluant le diagnostic, la prospective et les enseignements et conclusions à tirer de cette fusion. En coopération avec " Le Plan Bleu '', l'AFD dessine les perspectives 2025 des transports maritimes en soulignant la nécessité de promouvoir les échanges commerciaux entre les différents pays des rives nord et sud de la Méditerranée, c'est-à-dire les pays riverains euro-méditerranéens dans cet espace traditionnel géopolitique, à savoir l'Europe, le Maghreb et le Machrek (Moyen-Orient) et le reste du monde. L'AFD qualifie cette évolution de prometteuse et positive pour les quinze prochaines années pour le commerce international de ces pays. «Ces échanges sont en constante évolution et sous les effets conjugués de la pression démographique, de la croissance économique et de l'ouverture des marchés, ils se sont intensifiés durant ces dernières années, notamment en raison d'un accroissement des flux de marchandises entre l'Europe et l'Asie » a-t-elle précisé, ajoutant également, concernant les aléas des transports maritimes, que « cette évolution présente, toutefois, des risques pour l'environnement en induisant des stratégies d'investissement, notamment portuaires, dont il convient de bien calibrer l'ampleur ». La stratégie de développement des transports maritimes des marchandises en Méditerranée basée sur le long terme tend, notamment, à enrichir le débat sur la question du flux croissant des navires afin de réduire les surestaries et les lourdeurs dans le déchargement des marchandises dans les ports. La finalité de cette intégration a trait à l'instauration des conditions viables pour un développement durable en Méditerranée. L'Algérie est en faveur d'un transport maritime modal sachant que plus de 95% de transport de marchandises et de ses échanges commerciaux s'effectuent par voie maritime, alors que les avions cargos sont peu utilisés. Au niveau du ministère des Transports, on indique que le rôle des ports est stratégique pour le développement économique et social du pays, ce qui nécessite, donc, une mise à niveau opportune des ports. En effet, le transbordement du port d'Alger à Djendjen permet notamment le désengorgement de la capitale, et surtout, une fluidité dans le trafic maritime des marchandises. Ceci dit, le coût de transport maritime en Algérie représente 10 % de la valeur de la marchandise tandis que dans les pays avancés et industrialisés, ce taux est de 4% seulement. Aux horizons 2020-2025, l'Etat algérien prévoit une enveloppe financière de l'ordre de 3 milliards de dollars pour matérialiser une stratégie de développement maritime. Le ministre des Transports, Amar Tou, qualifie la société mixte de transport maritime de marchandises, récemment mise en place, « d'importante car elle envisage d'accroitre le volume de la flotte algérienne inhérente au transport maritime qui ne dépasse pas, à présent, 3 % sachant que plus de 95 % des échanges commerciaux de l'Algérie se font par voie maritime ». Le constat a été fait par l'Agence française de développement (AFD) qui vient de réaliser une étude dont l'objectif essentiel consiste à analyser la situation des transports des marchandises dans la région, et ce en vue d'une future intégration méditerranéenne en élaborant un rapport incluant le diagnostic, la prospective et les enseignements et conclusions à tirer de cette fusion. En coopération avec " Le Plan Bleu '', l'AFD dessine les perspectives 2025 des transports maritimes en soulignant la nécessité de promouvoir les échanges commerciaux entre les différents pays des rives nord et sud de la Méditerranée, c'est-à-dire les pays riverains euro-méditerranéens dans cet espace traditionnel géopolitique, à savoir l'Europe, le Maghreb et le Machrek (Moyen-Orient) et le reste du monde. L'AFD qualifie cette évolution de prometteuse et positive pour les quinze prochaines années pour le commerce international de ces pays. «Ces échanges sont en constante évolution et sous les effets conjugués de la pression démographique, de la croissance économique et de l'ouverture des marchés, ils se sont intensifiés durant ces dernières années, notamment en raison d'un accroissement des flux de marchandises entre l'Europe et l'Asie » a-t-elle précisé, ajoutant également, concernant les aléas des transports maritimes, que « cette évolution présente, toutefois, des risques pour l'environnement en induisant des stratégies d'investissement, notamment portuaires, dont il convient de bien calibrer l'ampleur ». La stratégie de développement des transports maritimes des marchandises en Méditerranée basée sur le long terme tend, notamment, à enrichir le débat sur la question du flux croissant des navires afin de réduire les surestaries et les lourdeurs dans le déchargement des marchandises dans les ports. La finalité de cette intégration a trait à l'instauration des conditions viables pour un développement durable en Méditerranée. L'Algérie est en faveur d'un transport maritime modal sachant que plus de 95% de transport de marchandises et de ses échanges commerciaux s'effectuent par voie maritime, alors que les avions cargos sont peu utilisés. Au niveau du ministère des Transports, on indique que le rôle des ports est stratégique pour le développement économique et social du pays, ce qui nécessite, donc, une mise à niveau opportune des ports. En effet, le transbordement du port d'Alger à Djendjen permet notamment le désengorgement de la capitale, et surtout, une fluidité dans le trafic maritime des marchandises. Ceci dit, le coût de transport maritime en Algérie représente 10 % de la valeur de la marchandise tandis que dans les pays avancés et industrialisés, ce taux est de 4% seulement. Aux horizons 2020-2025, l'Etat algérien prévoit une enveloppe financière de l'ordre de 3 milliards de dollars pour matérialiser une stratégie de développement maritime. Le ministre des Transports, Amar Tou, qualifie la société mixte de transport maritime de marchandises, récemment mise en place, « d'importante car elle envisage d'accroitre le volume de la flotte algérienne inhérente au transport maritime qui ne dépasse pas, à présent, 3 % sachant que plus de 95 % des échanges commerciaux de l'Algérie se font par voie maritime ».