«Il est impérieux de veiller continuellement à la protection et à la santé des consommateurs en renforçant les contrôles des marchandises d'importation aussi bien par les services des douanes que par les laboratoires compétents et la centre de contrôle de la qualité et de l'emballage» a notamment déclaré le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, au siège de l'inspection aux frontières des produits d'importation. Au cours d'une visite de travail et d'inspection effectuée au niveau du terminal des containers au grand môle du quai 25 du port d'Alger, le ministre a procédé à l'ouverture de trois containers devant des agents des douanes afin de vérifier la nature des marchandises sur place et d'une manière inopinée. Les containers contenaient des produits de cellulose, du sucre, des abricots sec et des meubles (chambres à coucher). Il a mis l'accent sur la nécessité de contrôler les dates de péremption afin d'éviter toute forme de fraude. Il s'agit d'une première étape de visualisation des produits importés avant de les diriger vers des laboratoires d'analyse phytosanitaires. Ensuite, après ce contrôle, la marchandise obtient l'autorisation d'admission en attendant les procédures de contrôle physicochimique, notamment pour ce qui est des produits alimentaires. «Nous exigeons une coopération entre les services des douanes pour l'ouverture des containers, surtout en ce qui concerne les produits carnés, viandes, laits et dérivés, avec la collaboration des services phytosanitaires du ministère de l''Agriculture. Car, le rôle de l'Etat consiste à assurer la protection des consommateurs et des citoyens» a affirmé Benbada. Il ajoute que pas moins de 250 dossiers sont traités quotidiennement par les l'administration des brigades des douanes du port d'Alger qui reçoit uniquement les containers sachant que les autres déchargements de navires de marchandises se font au niveau des ports de Bejaia, Mostaganem et Jijel. Cette démarche vise notamment l'assainissement des opérations du commerce extérieur dont le crédit documentaire. Abordant l'épineuse et l'inextricable problématique des prix des produits alimentaires, il dira que «les intrants, les impôts, les tarifs d'électricité et d'autres facteurs endogènes déterminent la nature des prix pratiqués par les commerçants. Néanmoins, notre objectif consiste à lutter contre le commerce informel». Il estime que «la loi de l'offre et de la demande définit la structure des prix, le mois sacré de Ramadhan enregistre de grands pics de consommation, d'où la hausse des prix. Cependant, les prix des produits de large consommation vont connaître une baisse et une stabilité dans les prochains jours» L'Etat continuera à accorder des subventions pour les produits stratégiques de première nécessit, tels que le pain et le lait, toutefois, «nous devons encourager les producteurs de lait à produire davantage tout en réduisant la facture d'importation de la poudre de lait». «Il est impérieux de veiller continuellement à la protection et à la santé des consommateurs en renforçant les contrôles des marchandises d'importation aussi bien par les services des douanes que par les laboratoires compétents et la centre de contrôle de la qualité et de l'emballage» a notamment déclaré le ministre du Commerce, Mustapha Benbada, au siège de l'inspection aux frontières des produits d'importation. Au cours d'une visite de travail et d'inspection effectuée au niveau du terminal des containers au grand môle du quai 25 du port d'Alger, le ministre a procédé à l'ouverture de trois containers devant des agents des douanes afin de vérifier la nature des marchandises sur place et d'une manière inopinée. Les containers contenaient des produits de cellulose, du sucre, des abricots sec et des meubles (chambres à coucher). Il a mis l'accent sur la nécessité de contrôler les dates de péremption afin d'éviter toute forme de fraude. Il s'agit d'une première étape de visualisation des produits importés avant de les diriger vers des laboratoires d'analyse phytosanitaires. Ensuite, après ce contrôle, la marchandise obtient l'autorisation d'admission en attendant les procédures de contrôle physicochimique, notamment pour ce qui est des produits alimentaires. «Nous exigeons une coopération entre les services des douanes pour l'ouverture des containers, surtout en ce qui concerne les produits carnés, viandes, laits et dérivés, avec la collaboration des services phytosanitaires du ministère de l''Agriculture. Car, le rôle de l'Etat consiste à assurer la protection des consommateurs et des citoyens» a affirmé Benbada. Il ajoute que pas moins de 250 dossiers sont traités quotidiennement par les l'administration des brigades des douanes du port d'Alger qui reçoit uniquement les containers sachant que les autres déchargements de navires de marchandises se font au niveau des ports de Bejaia, Mostaganem et Jijel. Cette démarche vise notamment l'assainissement des opérations du commerce extérieur dont le crédit documentaire. Abordant l'épineuse et l'inextricable problématique des prix des produits alimentaires, il dira que «les intrants, les impôts, les tarifs d'électricité et d'autres facteurs endogènes déterminent la nature des prix pratiqués par les commerçants. Néanmoins, notre objectif consiste à lutter contre le commerce informel». Il estime que «la loi de l'offre et de la demande définit la structure des prix, le mois sacré de Ramadhan enregistre de grands pics de consommation, d'où la hausse des prix. Cependant, les prix des produits de large consommation vont connaître une baisse et une stabilité dans les prochains jours» L'Etat continuera à accorder des subventions pour les produits stratégiques de première nécessit, tels que le pain et le lait, toutefois, «nous devons encourager les producteurs de lait à produire davantage tout en réduisant la facture d'importation de la poudre de lait».