L'auteur-compositeur palestinien Djamil Sayah a animé avec la chanteuse Zakia Kara Tourki une soirée qui sera dédiée aux patrimoines palestinien et andalous samedi dernier à Alger. Il a estimé que le patrimoine culturel palestinien est toujours vivant en dépit de l'occupation israélienne. "Quelle que soit l'oppression et les violations à l'égard du peuple palestinien, Israël ne pourra pas voler notre histoire ni notre patrimoine culturel, notre folklore et tout ce qui représente et caractérise notre identité qu'elle essaie de bafouer avec tous les moyens et ce, grâce à la conscience et la résistance du peuple et notamment les artistesqui jouent un rôle efficace dans la protection et le développement du patrimoineculturel palestinien", a déclaré Djamil Sayah à l'APS. L'artiste qui joue également du violent, écrit et compose lui-même ses chansons, estime que le patrimoine culturel palestinien, notamment la musique, fait face à une "marginalisation" de la part des médias mondiaux qui doivent, a-t-il ajouté "sensibiliser à la cause palestinienne et au danger du lobby israélien". Djamil Sayah, né à Naplouse, a également mis en exergue le rôle des arts dans la préservation du patrimoine, ajoutant que ce rôle ne se résume pas uniquement à la chanson engagée mais englobe tous les genres artistiques à savoir le théâtre, les arts plastiques, et le cinéma, affirmant que l'artiste doit assumer le rôle qu'il joue dans la société dans laquelle il vit notamment à l'égard des enfants. Concernant le message qu'il veut transmettre à travers ses chansons, le chanteur Djamil Sayah a affairmé qu'il composait et j'écrivait "des chansons qui ne sont pas violentes" qu'il "offre au public afin de contribuer à la sensibilisation et au développement du peuple palestinien". Journées pour monologue à Jijel Des Journées du monologue se sont ouvertes hier à Jijel avec au programme une pléiade de comédiens, a-t-on appris, jeudi, auprès des organisateurs de cette manifestation. Initiées par l'association ''Ibtissama'' (sourire) pour la protection de l'enfance et de la jeunesse, ces journées, inscrites dans le cadre de l'animation des veillées du mois de Ramadhan, se poursuivront jusqu'au 5 septembre prochain sur l'esplanade du front de mer, a-t-on indiqué. Le ''bal'' sera ouvert par le comédien Mourad Khene qui devra interpréter un ''one man show'' intitulé ''La misère de la mode''. Au total, ce sont 14 sketches qui sont au programme de ces soirées qui permettront au public de découvrir des monologuistes de Sétif, Ghardaïa, Guelma, Skikda, Bordj Bou Arreridj, Alger et Jijel. Cette dernière sera représentée par sa ''mascotte'' Kamel Ferrad, auteur de nombreuses pièces humoristiques dont la dernière ''Tag ehna tag elhih'' jouée récemment à la maison de la culture Omar-Oussedik. APS L'auteur-compositeur palestinien Djamil Sayah a animé avec la chanteuse Zakia Kara Tourki une soirée qui sera dédiée aux patrimoines palestinien et andalous samedi dernier à Alger. Il a estimé que le patrimoine culturel palestinien est toujours vivant en dépit de l'occupation israélienne. "Quelle que soit l'oppression et les violations à l'égard du peuple palestinien, Israël ne pourra pas voler notre histoire ni notre patrimoine culturel, notre folklore et tout ce qui représente et caractérise notre identité qu'elle essaie de bafouer avec tous les moyens et ce, grâce à la conscience et la résistance du peuple et notamment les artistesqui jouent un rôle efficace dans la protection et le développement du patrimoineculturel palestinien", a déclaré Djamil Sayah à l'APS. L'artiste qui joue également du violent, écrit et compose lui-même ses chansons, estime que le patrimoine culturel palestinien, notamment la musique, fait face à une "marginalisation" de la part des médias mondiaux qui doivent, a-t-il ajouté "sensibiliser à la cause palestinienne et au danger du lobby israélien". Djamil Sayah, né à Naplouse, a également mis en exergue le rôle des arts dans la préservation du patrimoine, ajoutant que ce rôle ne se résume pas uniquement à la chanson engagée mais englobe tous les genres artistiques à savoir le théâtre, les arts plastiques, et le cinéma, affirmant que l'artiste doit assumer le rôle qu'il joue dans la société dans laquelle il vit notamment à l'égard des enfants. Concernant le message qu'il veut transmettre à travers ses chansons, le chanteur Djamil Sayah a affairmé qu'il composait et j'écrivait "des chansons qui ne sont pas violentes" qu'il "offre au public afin de contribuer à la sensibilisation et au développement du peuple palestinien". Journées pour monologue à Jijel Des Journées du monologue se sont ouvertes hier à Jijel avec au programme une pléiade de comédiens, a-t-on appris, jeudi, auprès des organisateurs de cette manifestation. Initiées par l'association ''Ibtissama'' (sourire) pour la protection de l'enfance et de la jeunesse, ces journées, inscrites dans le cadre de l'animation des veillées du mois de Ramadhan, se poursuivront jusqu'au 5 septembre prochain sur l'esplanade du front de mer, a-t-on indiqué. Le ''bal'' sera ouvert par le comédien Mourad Khene qui devra interpréter un ''one man show'' intitulé ''La misère de la mode''. Au total, ce sont 14 sketches qui sont au programme de ces soirées qui permettront au public de découvrir des monologuistes de Sétif, Ghardaïa, Guelma, Skikda, Bordj Bou Arreridj, Alger et Jijel. Cette dernière sera représentée par sa ''mascotte'' Kamel Ferrad, auteur de nombreuses pièces humoristiques dont la dernière ''Tag ehna tag elhih'' jouée récemment à la maison de la culture Omar-Oussedik. APS