Les réalisations économiques et sociales de l'Algérie mises en avant    Le président de la République appelle à la réforme de l'OCI    Le président de la République appelle l'OCI à contrer l'islamophobie    BAC/BEM 2024 : les dates de retrait des convocations fixées    Les prochaines présidentielles sont le symbole de la légitimité populaire des institutions et le garant de la stabilité institutionnelle    Grand prix de cyclisme de la ville d'Oran : Nassim Saïdi remporte la 28e édition    Le Front El Moustakbal appelle à élever l'action politique à la hauteur de la dynamique que connait l'Algérie    Bouira: la Protection civile algérienne mène un exercice de simulation d'un fort séisme    Rencontre scientifique à Alger à l'occasion de la Journée mondiale des sages-femmes    L'Emir Khaled un grand acteur politique du mouvement national algérien    L'Association des oulémas musulmans algériens célèbre le 93e anniversaire de sa création    Distinction de journalistes ayant contribué à la promotion de la liberté d'expression et de création    AG Ordinaire du Comité olympique et sportif algérien : adoption des bilans et amendement des statuts    Structures sportives : Belaribi inspecte les travaux du projet de stade de Douera    Foire des produits algériens à Nouakchott: large engouement des Mauritaniens    Ouverture de la 10e édition du Forum africain de l'investissement et du commerce    Ghaza: le bilan de l'agression sioniste s'élève à 34.654 martyrs    Le CNJA salue les réalisations accomplies par le secteur    Face à la proposition d'achat de la société espagnole Naturgy par le groupe Emirati TAQA    L'ESS écope d'un match à huis clos    Inter-régions : Le dossier du match IRB El Kerma-SCM Oran «classé»    «Le Makhzen surfe sur le sport afin de faire oublier les déboires des Marocains»    LG Electronics MEA innove avec sa nouvelle gamme de produits de divertissement à domicile    Aux origines sionistes de la stigmatisation des musulmans et de la criminalisation de l'islam    132 personnes arrêtées lors d'un rassemblement pro-palestinien à UCLA    Lancement de six projets d'aménagement des routes de la ville du chef-lieu    Un réseau de passeurs présumés démantelé à Sidi Lakhdar    Préparatifs du recensement général de l'agriculture 2024    La Turquie va s'associer au procès initié par l'Afrique du Sud contre l'entité sioniste à la CIJ    Samsung continue de briser les barrières linguistiques avec Galaxy AI    Un terroriste abattu et deux éléments de soutien arrêtés à Bordj Badji Mokhtar    Un site archéologique à protéger    Un nouveau livre de solidarité avec le peuple palestinien    Sur les traces de l'architecture ottomane    La protesta estudiantine occidentale face aux lobbies sionistes.    Pas de recours à l'endettement extérieur, réaffirme le président Tebboune    Un outil essentiel pour l'expression de la vérité    Megaprojet de ferme d'Adrar : « elmal ou Etfer3ine »    ALORS, MESSIEURS LES DIRIGEANTS OCCIDENTAUX : NE POUVEZ-VOUS TOUJOURS PAS VOIR LES SIGNES ANNONCIATEURS DUN GENOCIDE A GAZA ?    Témoignage. Printemps Amazigh. Avril 80    Le Président Tebboune va-t-il briguer un second mandat ?    L'imagination au pouvoir.    Le diktat des autodidactes    Prise de Position : Solidarité avec l'entraîneur Belmadi malgré l'échec    Ils revendiquent la régularisation de la Pension complémentaire de retraite: Sit-in des mutualistes de la Sonatrach devant le siège Aval    Coupe d'afrique des nations - Equipe Nationale : L'Angola en ligne de mire    Suite à la rumeur faisant état de 5 décès pour manque d'oxygène: L'EHU dément et installe une cellule de crise    Pôle urbain Ahmed Zabana: Ouverture prochaine d'une classe pour enfants trisomiques    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



867 condamnés à des peines de travaux d'intérêt général en 2010
La loi concerne ceux ayant écopé de moins d'un an de prison
Publié dans Le Midi Libre le 25 - 11 - 2010

Pas moins de 867 condamnés à des peines privatives de liberté ont bénéficié durant l'année en cours de l'application de la peine de travaux d'intérêt général à travers le territoire du pays.
Pas moins de 867 condamnés à des peines privatives de liberté ont bénéficié durant l'année en cours de l'application de la peine de travaux d'intérêt général à travers le territoire du pays.
Ces chiffres avancés, hier par le directeur général de l'administration pénitentiaire et de réinsertion, concerne, a précisé Mokhtar Fellioune, ceux condamnés à des peines de moins d'un an, seuls habilités à pouvoir bénéficier de l'application de la peine de substitution qui est celle d'intérêt général à travers tout le territoire national en 2010. Ces détenus ont été orientés vers divers travaux d'intérêt général dont «le gardiennage, l'administration, les travaux publics, les travaux d'hygiène, de jardinage et de maintenance.» La peine d'intérêt général, a-t-il poursuivi, est entrée en vigueur en vertu de la loi amendant le code pénal adopté par le Parlement fin janvier 2009. Le directeur général de l'administration pénitentiaire a rappelé, à ce propos, les conditions permettant au détenu de bénéficier de cette peine. Celui-ci, a-t-il expliqué, " ne doit pas avoir d'antécédents judiciaires, être âgé de 16 ans au moins au moment des faits incriminés, la peine prévue ne doit pas dépasser 3 ans d'emprisonnement et la peine prononcée, un an d'emprisonnement. Il doit accepter la peine de substitution avant son prononcé définitif ". Cette peine de substitution, a ajouté M. Felioune, garantit le non recours abusif aux moyens de contrainte dont les effets néfastes affectent les différents aspects de la vie du condamné, précisant que le condamné au travail d'intérêt général jouit de sa liberté. Le travail d'intérêt général, a-t-il dit, est défini par le juge d'application des peines au niveau d'une infrastructure publique qui peut être une APC, une association caritative ou une administration publique. Le condamné aux travaux d'intérêt général poursuit son travail dans son poste initial, continue de vivre au sein de sa famille et mène une vie normale, celle d'avant la prononciation de la peine. Le juge d'application des peines, a noté M. Felioune, peut interrompre l'exécution de la peine d'intérêt général pour des raisons de santé, familiales ou sociales. En cas de violation par le condamné de ses obligations, le juge d'application des peines est en droit d'appliquer à son encontre la peine d'emprisonnement initiale. -
Ces chiffres avancés, hier par le directeur général de l'administration pénitentiaire et de réinsertion, concerne, a précisé Mokhtar Fellioune, ceux condamnés à des peines de moins d'un an, seuls habilités à pouvoir bénéficier de l'application de la peine de substitution qui est celle d'intérêt général à travers tout le territoire national en 2010. Ces détenus ont été orientés vers divers travaux d'intérêt général dont «le gardiennage, l'administration, les travaux publics, les travaux d'hygiène, de jardinage et de maintenance.» La peine d'intérêt général, a-t-il poursuivi, est entrée en vigueur en vertu de la loi amendant le code pénal adopté par le Parlement fin janvier 2009. Le directeur général de l'administration pénitentiaire a rappelé, à ce propos, les conditions permettant au détenu de bénéficier de cette peine. Celui-ci, a-t-il expliqué, " ne doit pas avoir d'antécédents judiciaires, être âgé de 16 ans au moins au moment des faits incriminés, la peine prévue ne doit pas dépasser 3 ans d'emprisonnement et la peine prononcée, un an d'emprisonnement. Il doit accepter la peine de substitution avant son prononcé définitif ". Cette peine de substitution, a ajouté M. Felioune, garantit le non recours abusif aux moyens de contrainte dont les effets néfastes affectent les différents aspects de la vie du condamné, précisant que le condamné au travail d'intérêt général jouit de sa liberté. Le travail d'intérêt général, a-t-il dit, est défini par le juge d'application des peines au niveau d'une infrastructure publique qui peut être une APC, une association caritative ou une administration publique. Le condamné aux travaux d'intérêt général poursuit son travail dans son poste initial, continue de vivre au sein de sa famille et mène une vie normale, celle d'avant la prononciation de la peine. Le juge d'application des peines, a noté M. Felioune, peut interrompre l'exécution de la peine d'intérêt général pour des raisons de santé, familiales ou sociales. En cas de violation par le condamné de ses obligations, le juge d'application des peines est en droit d'appliquer à son encontre la peine d'emprisonnement initiale. -


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.