Le secteur des Assurances en Algérie a réalisé un chiffre d'affaires (CA) de 80,7 milliards de dinars en 2010, en hausse de 4% par rapport à 2009, selon un bilan rendu public, hier, par le Conseil national des assurances (CNA). Ce chiffre, qui exclut les acceptations internationales de la CCR (réassureur public) et la production des deux mutuelle (GAM et MAATEC), est plus important de celui avancé en début de l'année dans les prévisions de clôture du Conseil, estimé à 79 milliards (mds) DA. Il était de 59,2 mds DA à fin septembre et de 43,7 mds DA à la fin du premier semestre 2010. Le CA enregistré par le secteur durant le seul quatrième trimestre 2010 a atteint 18,3 milliards de dinars (MDS DA), en baisse de 3,1% par rapport au 4e trimestre 2009, dont 8,1 mds DA pour la branche automobile (+4,9%). Cette croissance "ralentie" (+13% en 2009), s'explique notamment par une baisse de 7,7% du CA de l'assurance contre les Incidents, accidents et risques divers (IARD) qui a perdu 4 points par rapport à 2009. La branche "Automobile", qui continue de représenter la moitié de la production totale du secteur, a progressé de 12,1% à fin 2010 (contre +19% en 2009), selon la même source. Cette évolution est due à l'augmentation des garanties dommages (tous risques et dommage-collision et vol-incendie) qui ont cru de 13% en 2010, explique le CNA qui rappelle la reprise enregistrée par le marché de l'automobile à la faveur d'une croissance de 2,7% du volume des importations de véhicules durant l'année précédente. La part de cette assurance s'est ainsi renforcée par rapport à 2009 (49,6% contre 45%) au détriment de la part de la branche IARD qui a représenté 32,7% du portefeuille global en 2010 contre 37% en 2009. Totalisant une production de 26,4 milliards de dinars en 2010, en baisse de 7,7% par rapport à 2009, cette branche a reculé à cause du ralentissement des sous-branches Engineering (-15%) et Incendie (-6%). Le "ralentissement des grands projets d'investissements initiés par les pouvoirs publics notamment dans le domaine de la construction" expliquerait en partie ce recul, estime le CNA. Le secteur des Assurances en Algérie a réalisé un chiffre d'affaires (CA) de 80,7 milliards de dinars en 2010, en hausse de 4% par rapport à 2009, selon un bilan rendu public, hier, par le Conseil national des assurances (CNA). Ce chiffre, qui exclut les acceptations internationales de la CCR (réassureur public) et la production des deux mutuelle (GAM et MAATEC), est plus important de celui avancé en début de l'année dans les prévisions de clôture du Conseil, estimé à 79 milliards (mds) DA. Il était de 59,2 mds DA à fin septembre et de 43,7 mds DA à la fin du premier semestre 2010. Le CA enregistré par le secteur durant le seul quatrième trimestre 2010 a atteint 18,3 milliards de dinars (MDS DA), en baisse de 3,1% par rapport au 4e trimestre 2009, dont 8,1 mds DA pour la branche automobile (+4,9%). Cette croissance "ralentie" (+13% en 2009), s'explique notamment par une baisse de 7,7% du CA de l'assurance contre les Incidents, accidents et risques divers (IARD) qui a perdu 4 points par rapport à 2009. La branche "Automobile", qui continue de représenter la moitié de la production totale du secteur, a progressé de 12,1% à fin 2010 (contre +19% en 2009), selon la même source. Cette évolution est due à l'augmentation des garanties dommages (tous risques et dommage-collision et vol-incendie) qui ont cru de 13% en 2010, explique le CNA qui rappelle la reprise enregistrée par le marché de l'automobile à la faveur d'une croissance de 2,7% du volume des importations de véhicules durant l'année précédente. La part de cette assurance s'est ainsi renforcée par rapport à 2009 (49,6% contre 45%) au détriment de la part de la branche IARD qui a représenté 32,7% du portefeuille global en 2010 contre 37% en 2009. Totalisant une production de 26,4 milliards de dinars en 2010, en baisse de 7,7% par rapport à 2009, cette branche a reculé à cause du ralentissement des sous-branches Engineering (-15%) et Incendie (-6%). Le "ralentissement des grands projets d'investissements initiés par les pouvoirs publics notamment dans le domaine de la construction" expliquerait en partie ce recul, estime le CNA.