Plusieurs enseignants contractuels ont fermé, dans la matinée d'hier, le portail de la direction de l'éducation de Boumerdès pour réclamer des postes budgétaires et exiger leur titularisation selon les textes de décret du 28 mars 2011 stipulant l'intégration des enseignants contractuels. Ils ont interdit l'accès à toute personne à l'intérieur de la DE, notamment le personnel administratif. Ils se sont plaints, également, de leur statut qui ne leur permet pas de participer dans des concours de recrutement d'enseignants organisés par la DE. Des enseignants parmi eux ont exigé le versement par les services concernés, des primes de rendement des trois mois derniers. Les protestataires ont dénoncé, également, la fuite en avant des responsables du secteur qui, à chaque reprise, refusent de recevoir leurs doléances et ferment devant eux la porte de dialogue et de concertation. Ils affirment avoir demandé une rencontre avec la directrice de l'éducation, mais en vain. Un protestataire affirme que «le siège de la DE est devenu une forteresse dans laquelle il est impossible d'y accéder». Ils ont dénoncé, outre cela, ce mépris et exigent d'être écoutés et considérés. Notons que, par ailleurs, le décret du 28 mars dernier a été élaboré suite à un cycle de protestations des enseignants contractuels devant la présidence de la République et, parfois, les protestataires avaient initié des actions nocturnes pour faire valoir leurs droits, notamment, leur intégration. Près de 18.000 enseignants contractuels avaient alors été intégrés. Plusieurs enseignants contractuels ont fermé, dans la matinée d'hier, le portail de la direction de l'éducation de Boumerdès pour réclamer des postes budgétaires et exiger leur titularisation selon les textes de décret du 28 mars 2011 stipulant l'intégration des enseignants contractuels. Ils ont interdit l'accès à toute personne à l'intérieur de la DE, notamment le personnel administratif. Ils se sont plaints, également, de leur statut qui ne leur permet pas de participer dans des concours de recrutement d'enseignants organisés par la DE. Des enseignants parmi eux ont exigé le versement par les services concernés, des primes de rendement des trois mois derniers. Les protestataires ont dénoncé, également, la fuite en avant des responsables du secteur qui, à chaque reprise, refusent de recevoir leurs doléances et ferment devant eux la porte de dialogue et de concertation. Ils affirment avoir demandé une rencontre avec la directrice de l'éducation, mais en vain. Un protestataire affirme que «le siège de la DE est devenu une forteresse dans laquelle il est impossible d'y accéder». Ils ont dénoncé, outre cela, ce mépris et exigent d'être écoutés et considérés. Notons que, par ailleurs, le décret du 28 mars dernier a été élaboré suite à un cycle de protestations des enseignants contractuels devant la présidence de la République et, parfois, les protestataires avaient initié des actions nocturnes pour faire valoir leurs droits, notamment, leur intégration. Près de 18.000 enseignants contractuels avaient alors été intégrés.