Les enseignants contractuels ont réclamé, l'ouverture d'une enquête au sujet des concours de titularisation des enseignants. En grève de la faim depuis 6 jours, les rédacteurs du communiqué ont vivement réagi aux dernières déclarations de Benbouzid. Les enseignants contractuels ont réclamé, l'ouverture d'une enquête au sujet des concours de titularisation des enseignants. En grève de la faim depuis 6 jours, les rédacteurs du communiqué ont vivement réagi aux dernières déclarations de Benbouzid. Les enseignants contractuels appellent la Ligue algérienne des droits de l'Homme à leur dégager un avocat pour déposer plainte contre Boubekeur Benbouzid, ministre de l'Education. Dans un communiqué parvenu hier à notre rédaction, les enseignants contractuels ont réclamé, également, l'ouverture d'une enquête au sujet des concours de titularisation des enseignants. En grève de la faim depuis 6 jours, les rédacteurs du communiqué ont vivement réagi aux dernières déclarations de Benbouzid qui les a qualifiés de « non bacheliers. » Et pour le mettre en contradiction, les rédacteurs du communiqué n'ont pas manqué de s'interroger: «Comment a-t-il (le ministre) autorisé ces non bacheliers à prendre en main l'avenir des élèves alors que les lois en vigueur dans notre pays n'autorisent l'exercice de la profession d'enseignant qu' aux titulaires de diplômes universitaires?» Il y a lieu de préciser, à ce sujet, que Benbouzid n'a pas changé sa position d'un iota. Le ministre ne cesse de marteler que les concours qu'organise son département restent la seule voie de titularisation. Une condition qui n'arrange pas les contractuels dont le nombre avoisine les 40.000 enseignants à l'échelle nationale. En effet, pour des raisons liées à la spécialisation, une bonne partie de cette frange est exclue des concours. Il faut dire, cependant, que cette catégorie d'enseignants dont des ingénieurs, des TS et autres licenciés, ont servi pendant plusieurs années dans l'attente de titularisation que l'on n'a cessé de leur promettre. Les années passent et voilà qu'ils se voient maintenant empêchés de participer aux dits concours. Il convient de rappeler, dans ce registre, que le département de Benbouzid a ouvert 27.000 postes budgétaires pour la prochaine année scolaire. Une offre importante mais qui ne profite pas à ces enseignants ayant servi, dans certains cas, pendant plus d'une décennie dans les régions les plus reculées. Les contractuels dénoncent, en outre, l'opacité et le favoritisme qui caractérisent, selon eux, les concours de titularisation. D'autre part, le communiqué du Conseil national des enseignants contractuels fait état de la détérioration de l'état de santé de quatre grévistes femmes. Un fait constituant les premières retombées néfastes de cette grève de la faim que ses initiateurs ont adoptée « après obstruction de toutes les portes de dialogue». Les grévistes ont noté, par ailleurs, un élan de solidarité de la part des organisations syndicales autonomes et d'ONG nationales et internationales. La dernière motion de soutien leur a été adressée par le Conseil national de l'éducation française. Les enseignants contractuels appellent la Ligue algérienne des droits de l'Homme à leur dégager un avocat pour déposer plainte contre Boubekeur Benbouzid, ministre de l'Education. Dans un communiqué parvenu hier à notre rédaction, les enseignants contractuels ont réclamé, également, l'ouverture d'une enquête au sujet des concours de titularisation des enseignants. En grève de la faim depuis 6 jours, les rédacteurs du communiqué ont vivement réagi aux dernières déclarations de Benbouzid qui les a qualifiés de « non bacheliers. » Et pour le mettre en contradiction, les rédacteurs du communiqué n'ont pas manqué de s'interroger: «Comment a-t-il (le ministre) autorisé ces non bacheliers à prendre en main l'avenir des élèves alors que les lois en vigueur dans notre pays n'autorisent l'exercice de la profession d'enseignant qu' aux titulaires de diplômes universitaires?» Il y a lieu de préciser, à ce sujet, que Benbouzid n'a pas changé sa position d'un iota. Le ministre ne cesse de marteler que les concours qu'organise son département restent la seule voie de titularisation. Une condition qui n'arrange pas les contractuels dont le nombre avoisine les 40.000 enseignants à l'échelle nationale. En effet, pour des raisons liées à la spécialisation, une bonne partie de cette frange est exclue des concours. Il faut dire, cependant, que cette catégorie d'enseignants dont des ingénieurs, des TS et autres licenciés, ont servi pendant plusieurs années dans l'attente de titularisation que l'on n'a cessé de leur promettre. Les années passent et voilà qu'ils se voient maintenant empêchés de participer aux dits concours. Il convient de rappeler, dans ce registre, que le département de Benbouzid a ouvert 27.000 postes budgétaires pour la prochaine année scolaire. Une offre importante mais qui ne profite pas à ces enseignants ayant servi, dans certains cas, pendant plus d'une décennie dans les régions les plus reculées. Les contractuels dénoncent, en outre, l'opacité et le favoritisme qui caractérisent, selon eux, les concours de titularisation. D'autre part, le communiqué du Conseil national des enseignants contractuels fait état de la détérioration de l'état de santé de quatre grévistes femmes. Un fait constituant les premières retombées néfastes de cette grève de la faim que ses initiateurs ont adoptée « après obstruction de toutes les portes de dialogue». Les grévistes ont noté, par ailleurs, un élan de solidarité de la part des organisations syndicales autonomes et d'ONG nationales et internationales. La dernière motion de soutien leur a été adressée par le Conseil national de l'éducation française.