Cinéastre engagé, Oliver Stone est connu, à travers le monde, pour son adhésion aux causes justes et pour la défense des peuples opprimés. Cinéastre engagé, Oliver Stone est connu, à travers le monde, pour son adhésion aux causes justes et pour la défense des peuples opprimés. Le célèbre cinéaste engagé américain Oliver Stone effectue une visite en Algérie à l'occasion du Festival international du cinéma engagé qui se tiendra à Alger du 29 novembre au 5 décembre 2011. Oliver Stone est l'invité de marque de cette première édition du Festival international du cinéma d'Alger dédiée au film engagé à la Cinémathèque d'Alger sous le patronnage du ministère de la Culture. N'étant malheureusement pas libre à la date du festival, il a tout de même tenu à effectuer une visite pour marquer sa solidarité. Oliver Stone a été honoré, hier, à la Cinémathèque d'Alger où a été projeté son film-documentaire South of the border traitant de la gauche latino-américaine. Ce film est basé, pour l'essentiel, sur des interviews des Présidents vénézuélien Hugo Chavez, brésilien Luiz Inacio Lula da Silva et cubain Raul Castro. Le cineastre compte profiter de sa visite pour rencontrer des professionnels du cinéma algérien. Oliver Stone, né le 15 septembre n'est plus à présenter, sa carrière est particulièrement riche et ses œuvres ont toutes connu des succès retentissants. Il a remporté, au cours de sa carrière, plusieurs prix, dont deux Oscars du meilleur réalisateur pour son chef-d'ouvre Platoon en 1986 et Né le 4 juillet en 1989. Cineastre engagé, Oliver Stone est connu, à travers le monde, pour son adhésion aux causes justes et pour la défense des peuples opprimés. Il est le réalisateur, également, de Comandante en 2003, de Looking for Fidel en 2004, des films consacrés au Président cubain Fidel Castro. Il a aussi beaucoup traité les conflits en Amérique centrale. Homme de toutes les causes justes, il a consacré à la cause palestinienne et au défunt Yasser Arafat le film-documentaire Persona non grata. Oliver stone reste dans l'esprit des cinéphiles celui qui n'a jamais changé d'un ioata son engagement aux côtés de tous les peuples opprimés. Lors de la conférence animée, samedi, à la salle Ibn Zeidoun il a tenu à rendre un vibrant hommage aux Algériens, à leur Révolution, à leur engagement. Il a avoué apprécier le cinéma algérien engagé qu'il a pu découvrir en France. Oliver Stone n'a pas manqué d'exprimer son soutien au mouvement "Occupy Wall Street-Occupons Wall street", mouvement des «Indignés» mené contre la haute finance. Il estime néanmoins que la contestation "devrait se tenir à Washington et non pas à New York, pour avoir plus d'impact" et pouvoir "exercer des pressions (efficaces) sur les politiques" afin d'aboutir à l'assainissement du système financier et bancaire américain, à l'origine, depuis 2008, de crises financières qui se sont étendues, depuis, à d'autres parties du monde. Concernant l'Histoire algérienne, Oliver stone a avoué ceci : « Je ne connais pas beaucoup de choses sur l'Algérie sauf l'histoire que j'ai lu c'est le pays de «La bataille d'Alger», et le premier à être décolonisé (...) j'admire l'esprit d'indépendance que vous avez ». Une chose est sûre c'est que cette visite restera un grand moment d'émotion pour toutes les personnes éprises de liberté et pour les cinéphiles qui n'ont pas raté cette occation, peut-être unique, d'approcher ce grand homme. Le célèbre cinéaste engagé américain Oliver Stone effectue une visite en Algérie à l'occasion du Festival international du cinéma engagé qui se tiendra à Alger du 29 novembre au 5 décembre 2011. Oliver Stone est l'invité de marque de cette première édition du Festival international du cinéma d'Alger dédiée au film engagé à la Cinémathèque d'Alger sous le patronnage du ministère de la Culture. N'étant malheureusement pas libre à la date du festival, il a tout de même tenu à effectuer une visite pour marquer sa solidarité. Oliver Stone a été honoré, hier, à la Cinémathèque d'Alger où a été projeté son film-documentaire South of the border traitant de la gauche latino-américaine. Ce film est basé, pour l'essentiel, sur des interviews des Présidents vénézuélien Hugo Chavez, brésilien Luiz Inacio Lula da Silva et cubain Raul Castro. Le cineastre compte profiter de sa visite pour rencontrer des professionnels du cinéma algérien. Oliver Stone, né le 15 septembre n'est plus à présenter, sa carrière est particulièrement riche et ses œuvres ont toutes connu des succès retentissants. Il a remporté, au cours de sa carrière, plusieurs prix, dont deux Oscars du meilleur réalisateur pour son chef-d'ouvre Platoon en 1986 et Né le 4 juillet en 1989. Cineastre engagé, Oliver Stone est connu, à travers le monde, pour son adhésion aux causes justes et pour la défense des peuples opprimés. Il est le réalisateur, également, de Comandante en 2003, de Looking for Fidel en 2004, des films consacrés au Président cubain Fidel Castro. Il a aussi beaucoup traité les conflits en Amérique centrale. Homme de toutes les causes justes, il a consacré à la cause palestinienne et au défunt Yasser Arafat le film-documentaire Persona non grata. Oliver stone reste dans l'esprit des cinéphiles celui qui n'a jamais changé d'un ioata son engagement aux côtés de tous les peuples opprimés. Lors de la conférence animée, samedi, à la salle Ibn Zeidoun il a tenu à rendre un vibrant hommage aux Algériens, à leur Révolution, à leur engagement. Il a avoué apprécier le cinéma algérien engagé qu'il a pu découvrir en France. Oliver Stone n'a pas manqué d'exprimer son soutien au mouvement "Occupy Wall Street-Occupons Wall street", mouvement des «Indignés» mené contre la haute finance. Il estime néanmoins que la contestation "devrait se tenir à Washington et non pas à New York, pour avoir plus d'impact" et pouvoir "exercer des pressions (efficaces) sur les politiques" afin d'aboutir à l'assainissement du système financier et bancaire américain, à l'origine, depuis 2008, de crises financières qui se sont étendues, depuis, à d'autres parties du monde. Concernant l'Histoire algérienne, Oliver stone a avoué ceci : « Je ne connais pas beaucoup de choses sur l'Algérie sauf l'histoire que j'ai lu c'est le pays de «La bataille d'Alger», et le premier à être décolonisé (...) j'admire l'esprit d'indépendance que vous avez ». Une chose est sûre c'est que cette visite restera un grand moment d'émotion pour toutes les personnes éprises de liberté et pour les cinéphiles qui n'ont pas raté cette occation, peut-être unique, d'approcher ce grand homme.
