A l'occasion des 8es de finale aller de la Ligue des Champions, le Real Madrid a été accroché sur la pelouse du CSKA Moscou (1-1). Les Merengue, qui ont rapidement perdu Benzema sur blessure, ont concédé l'égalisation en toute fin de match. A l'occasion des 8es de finale aller de la Ligue des Champions, le Real Madrid a été accroché sur la pelouse du CSKA Moscou (1-1). Les Merengue, qui ont rapidement perdu Benzema sur blessure, ont concédé l'égalisation en toute fin de match. Impérial durant le premier tour (six victoires en autant de matchs), le Real Madrid a bien failli idéalement débuter la phase finale de la Ligue des Champions mais a finalement été tenu en échec sur la pelouse synthétique du CSKA Moscou (1-1) au terme d'un 8e de finale aller à rebondissements, à défaut d'être haletant sur le plan du jeu. Auteurs d'une entame de match délicate face à un bloc russe qui quadrillait parfaitement le terrain, les Merengue avaient la malchance de perdre dès le quart d'heure de jeu Karim Benzema, touché aux adducteurs. Entré à la place du Français, Higuain tentait de profiter de ce coup du sort et manquait de faire mouche sur son premier ballon (18e). Au fil des minutes, les hommes de José Mourinho prenaient le contrôle du match et Ronaldo concrétisait cette domination d'une frappe du gauche (0-1, 28e). Un scénario idéal pour le Real, qui gérait tranquillement la fin du premier acte avant de repartir à l'attaque dès la reprise. Callejon, préféré à Kaka sur le côté droit, manquait coup sur coup deux belles occasions d'inscrire le but du break (52e). Dos au mur, le CSKA, dont le dernier match officiel remontait à la mi-décembre, ne jouait que par intermittence et attendait les dix dernières minutes pour mettre les Merengue sous pression. Un sursaut payant. Alors que Ronaldo était à deux doigts de s'offrir un doublé (77e, 84e), le club local arrachait une égalisation quasi inespérée dans les ultimes secondes grâce une reprise victorieuse de Wernbloom (1-1, 93e). Repris sur le fil, le Real peut nourrir de légitimes regrets mais reste en bonne position en vue de la qualification qui se jouera dans trois semaines sur la pelouse de Santiago-Bernabeu. Naples rugit et mate Chelsea Naples a pris l'avantage sur Chelsea (3-1) grâce à son duo Edinson Cavani et Ezequiel Lavezzi (auteur d'un doublé), dans un 8e de finale aller de Ligue des champions de toute beauté où les héros attendus se sont distingués, mardi au stade San Paolo. Le héros malheureux est l'entraîneur des «Blues», André Villas-Boas, dont la situation sur le banc devient aussi fragile que sa défense, labourée par les courses de Lavezzi et de Cavani, deux fois passeur décisif pour son complice. L'absence de John Terry, toujours blessé à un genou et forfait au moins «six semaines» selon «AVB», les errances de David Luiz et la rusticité de Gary Cahill ont pesé trop lourd. Mais le but de Juan Mata (27), sur une erreur de l'arrière-garde napolitaine, permet à Chelsea et Villas-Boas d'y croire encore. Gare toutefois au talent de contre-attaquant du Napoli, qui sera dans sa position préférée dans trois semaines à Stamford Bridge. Gare aussi au mental de cette équipe, qui s'est remis d'une ouverture du score un peu contre le cours du jeu. Les Napolitains ont concédé un but au moment où il dominaient, sur une erreur de leur capitaine, Paolo Cannavaro, qui a mal jugé un rebond sur une passe en profondeur de Daniel Sturridge et laissé Juan Mata arriver seul devant Morgan De Sanctis et le tromper facilement. Les joueurs de Walter Mazzarri, suspendu pour les 8e de finale, n'ont pas laissé longtemps leurs bras pendre en-dessous du short et sont repartis à l'attaque. Après quelques minutes de flottement, Edinson Cavani a trouvé Ezequiel Lavezzi qui s'est ouvert le chemin du but d'un crochet et a placé le ballon hors de portée de Petr Cech (38). Et juste avant la pause, le Suisse Gökhan Inler a délivré un centre plongeant dans la surface pour la tête de Cavani, qui s'est écarté du marquage pour placer la balle sous la barre (45+2). Le stade déchaîné a hurlé le nom de l'idole uruguayenne, scandé par le speaker du San Paolo. En début de match, Christian Maggio avait déjà percé plusieurs fois le flanc gauche de la défense de Chelsea, où Ashley Cole a remplacé dès la 10e minute José Bosingwa, blessé. L'arrière-droit de l'équipe d'Italie a réussi plusieurs centres, et une frappe dangereuse (19). En seconde période, Cavani a encore dribblé la défense des «Blues» et Cech puis servi comme au restaurant le 3-1 à Lavezzi (65), qui l'avait raté quelques minutes plus tôt en ne cadrant pas son tir alors qu'il arrivait lancé devant le gardien tchèque. En attaque, Chelsea a toujours fait planer le danger, surtout grâce à Daniel Sturridge et Mata. Didier Drogba, aligné en pointe, n'a lui guère pesé. Naples a aussi fait preuve de relâchement en concédant une occasion après chaque but. Mais les Blues sont passé plus près du 4-1 que du 3-2, Ashley Cole sauvant sur sa ligne une frappe de Maggio (85). Impérial durant le premier tour (six victoires en autant de matchs), le Real Madrid a bien failli idéalement débuter la phase finale de la Ligue des Champions mais a finalement été tenu en échec sur la pelouse synthétique du CSKA Moscou (1-1) au terme d'un 8e de finale aller à rebondissements, à défaut d'être haletant sur le plan du jeu. Auteurs d'une entame de match délicate face à un bloc russe qui quadrillait parfaitement le terrain, les Merengue avaient la malchance de perdre dès le quart d'heure de jeu Karim Benzema, touché aux adducteurs. Entré à la place du Français, Higuain tentait de profiter de ce coup du sort et manquait de faire mouche sur son premier ballon (18e). Au fil des minutes, les hommes de José Mourinho prenaient le contrôle du match et Ronaldo concrétisait cette domination d'une frappe du gauche (0-1, 28e). Un scénario idéal pour le Real, qui gérait tranquillement la fin du premier acte avant de repartir à l'attaque dès la reprise. Callejon, préféré à Kaka sur le côté droit, manquait coup sur coup deux belles occasions d'inscrire le but du break (52e). Dos au mur, le CSKA, dont le dernier match officiel remontait à la mi-décembre, ne jouait que par intermittence et attendait les dix dernières minutes pour mettre les Merengue sous pression. Un sursaut payant. Alors que Ronaldo était à deux doigts de s'offrir un doublé (77e, 84e), le club local arrachait une égalisation quasi inespérée dans les ultimes secondes grâce une reprise victorieuse de Wernbloom (1-1, 93e). Repris sur le fil, le Real peut nourrir de légitimes regrets mais reste en bonne position en vue de la qualification qui se jouera dans trois semaines sur la pelouse de Santiago-Bernabeu. Naples rugit et mate Chelsea Naples a pris l'avantage sur Chelsea (3-1) grâce à son duo Edinson Cavani et Ezequiel Lavezzi (auteur d'un doublé), dans un 8e de finale aller de Ligue des champions de toute beauté où les héros attendus se sont distingués, mardi au stade San Paolo. Le héros malheureux est l'entraîneur des «Blues», André Villas-Boas, dont la situation sur le banc devient aussi fragile que sa défense, labourée par les courses de Lavezzi et de Cavani, deux fois passeur décisif pour son complice. L'absence de John Terry, toujours blessé à un genou et forfait au moins «six semaines» selon «AVB», les errances de David Luiz et la rusticité de Gary Cahill ont pesé trop lourd. Mais le but de Juan Mata (27), sur une erreur de l'arrière-garde napolitaine, permet à Chelsea et Villas-Boas d'y croire encore. Gare toutefois au talent de contre-attaquant du Napoli, qui sera dans sa position préférée dans trois semaines à Stamford Bridge. Gare aussi au mental de cette équipe, qui s'est remis d'une ouverture du score un peu contre le cours du jeu. Les Napolitains ont concédé un but au moment où il dominaient, sur une erreur de leur capitaine, Paolo Cannavaro, qui a mal jugé un rebond sur une passe en profondeur de Daniel Sturridge et laissé Juan Mata arriver seul devant Morgan De Sanctis et le tromper facilement. Les joueurs de Walter Mazzarri, suspendu pour les 8e de finale, n'ont pas laissé longtemps leurs bras pendre en-dessous du short et sont repartis à l'attaque. Après quelques minutes de flottement, Edinson Cavani a trouvé Ezequiel Lavezzi qui s'est ouvert le chemin du but d'un crochet et a placé le ballon hors de portée de Petr Cech (38). Et juste avant la pause, le Suisse Gökhan Inler a délivré un centre plongeant dans la surface pour la tête de Cavani, qui s'est écarté du marquage pour placer la balle sous la barre (45+2). Le stade déchaîné a hurlé le nom de l'idole uruguayenne, scandé par le speaker du San Paolo. En début de match, Christian Maggio avait déjà percé plusieurs fois le flanc gauche de la défense de Chelsea, où Ashley Cole a remplacé dès la 10e minute José Bosingwa, blessé. L'arrière-droit de l'équipe d'Italie a réussi plusieurs centres, et une frappe dangereuse (19). En seconde période, Cavani a encore dribblé la défense des «Blues» et Cech puis servi comme au restaurant le 3-1 à Lavezzi (65), qui l'avait raté quelques minutes plus tôt en ne cadrant pas son tir alors qu'il arrivait lancé devant le gardien tchèque. En attaque, Chelsea a toujours fait planer le danger, surtout grâce à Daniel Sturridge et Mata. Didier Drogba, aligné en pointe, n'a lui guère pesé. Naples a aussi fait preuve de relâchement en concédant une occasion après chaque but. Mais les Blues sont passé plus près du 4-1 que du 3-2, Ashley Cole sauvant sur sa ligne une frappe de Maggio (85).
