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Les chercheurs de Silicon Valley veulent offrir leur savoir-faire
Alors que 200.000 décideurs algériens détiennent 100 milliards dollars à l'étranger
Publié dans Le Midi Libre le 22 - 03 - 2012

Un chercheur et dirigeant d'une startup de Silicon Valley, Kamel Ounadjela, dit souhaiter créer une autre entreprise en Algérie pour apporter sa technologie et son savoir faire. Car, il croit en les compétences algériennes pour la contribution effective et active au développement économique du pays.
Un chercheur et dirigeant d'une startup de Silicon Valley, Kamel Ounadjela, dit souhaiter créer une autre entreprise en Algérie pour apporter sa technologie et son savoir faire. Car, il croit en les compétences algériennes pour la contribution effective et active au développement économique du pays.
«Je suis prêt à monter une société de production en Algérie où je pourrai travailler en partenariat avec des entrepreneurs locaux sachant que la diaspora algérienne aux Etats-Unis d'Amérique est disposée à fournir aide et assistance pour contribuer au développement économique, tant le transfert de technologies et de know how sont possibles » affirme t-il.
Quant à Mohammed Bedrouni, qui est un spécialiste en finance internationale et en développement économique ayant assuré des programmes de formation en financement et gestion de projets dans la région du Moyen-Orient en Afrique du Nord (MENA), il a présenté son expérience en matière de formation d'entrepreneurs.
Ce membre de la diaspora algérienne établie aux Etats-Unis d'Amérique, précisément à San Diego (Californie), qui a dirigé un programme de perfectionnement de chefs d'entreprise et la formation de PME a élaboré une démarche constructive dénommée concept à la startup avec la participation de 30 chefs d'entreprise algériens.
« Nous avons installé un centre d'entreprenariat à Bahreïn où l'on voulait savoir quel type de formation ont besoin les chefs d'entreprise. Nous prodiguons des conseils et des orientations aux jeunes pour créer leurs startup, former et encadrer les jeunes porteurs de projets âgés entre 18 et 30 ans afin de leur permettre de créer leur propre entreprise, car certains ont des problèmes pour trouver un emploi », a-t-il dit.
Il souligne que l'essentiel consiste à atteindre les objectifs et des résultats en 6 semaines de formation pour les participants. « Concrètement, il s'agit de la préparation de l'atelier avec la sélection des participants, la nature de l'entreprenariat, la définition de la charge de travail et les défis à suivre par les chefs d'entreprise. Il est également utile de cerner les caractéristiques et le comportent des chefs d'entreprise qui réussissent », a-t-il déclaré.
Bedrouni indique que la formation des jeunes entrepreneurs est indispensable pour mener à bien les projets et réussir une startup, en ce sens que, la réalisation et la présentation de plans préliminaires des études de faisabilité des projets sont des étapes nécessaires en matière de management et de marketing des entreprises.
« Il s'agit de s'introduire au contenu des plans business en permettant de faire de la planification de façon à ce que le projet puisse générer des flux de trésorerie, élaborer de simples comptes financiers et, surtout, procéder au marketing des créneaux, tels que la niche de commercialisation, la segmentation du marché », a t-il souligné.
Au moment où 200 000 décideurs et chefs d'entreprise algériens exerçant dans le monde, notamment en Europe et en Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada), détenant un capital évalué à 100 milliards dollars, les chercheurs de Silicon Valley affichent leur ambition de participer au développement économique de l'Algérie en contribuant à créer des startup, et en apportant leur technologie et leur savoir-faire.
La seconde journée du forum de la diaspora algérienne aux USA a été articulée sur la présentation des avantages fiscaux et fonciers accordés par l'Etat aux jeunes porteurs de projets, la formation, la bonne gouvernance des entreprises et le perfectionnement des ressources humaines, et les discussions sur l'élaboration d'une feuille de route pour la poursuite simultanée de trois voies complémentaires. Il s'agit, en fait, des délais de court, moyen et long termes dans l'optique de créer un écosystème d'entreprenariat de valeur en Algérie.
A. A.Un chercheur et dirigeant d'une startup de Silicon Valley, Kamel Ounadjela, dit souhaiter créer une autre entreprise en Algérie pour apporter sa technologie et son savoir faire. Car, il croit en les compétences algériennes pour la contribution effective et active au développement économique du pays.
Par Amar Aouimer
«Je suis prêt à monter une société de production en Algérie où je pourrai travailler en partenariat avec des entrepreneurs locaux sachant que la diaspora algérienne aux Etats-Unis d'Amérique est disposée à fournir aide et assistance pour contribuer au développement économique, tant le transfert de technologies et de know how sont possibles » affirme t-il.
Quant à Mohammed Bedrouni, qui est un spécialiste en finance internationale et en développement économique ayant assuré des programmes de formation en financement et gestion de projets dans la région du Moyen-Orient en Afrique du Nord (MENA), il a présenté son expérience en matière de formation d'entrepreneurs.
Ce membre de la diaspora algérienne établie aux Etats-Unis d'Amérique, précisément à San Diego (Californie), qui a dirigé un programme de perfectionnement de chefs d'entreprise et la formation de PME a élaboré une démarche constructive dénommée concept à la startup avec la participation de 30 chefs d'entreprise algériens.
« Nous avons installé un centre d'entreprenariat à Bahreïn où l'on voulait savoir quel type de formation ont besoin les chefs d'entreprise. Nous prodiguons des conseils et des orientations aux jeunes pour créer leurs startup, former et encadrer les jeunes porteurs de projets âgés entre 18 et 30 ans afin de leur permettre de créer leur propre entreprise, car certains ont des problèmes pour trouver un emploi », a-t-il dit.
Il souligne que l'essentiel consiste à atteindre les objectifs et des résultats en 6 semaines de formation pour les participants. « Concrètement, il s'agit de la préparation de l'atelier avec la sélection des participants, la nature de l'entreprenariat, la définition de la charge de travail et les défis à suivre par les chefs d'entreprise. Il est également utile de cerner les caractéristiques et le comportent des chefs d'entreprise qui réussissent », a-t-il déclaré.
Bedrouni indique que la formation des jeunes entrepreneurs est indispensable pour mener à bien les projets et réussir une startup, en ce sens que, la réalisation et la présentation de plans préliminaires des études de faisabilité des projets sont des étapes nécessaires en matière de management et de marketing des entreprises.
« Il s'agit de s'introduire au contenu des plans business en permettant de faire de la planification de façon à ce que le projet puisse générer des flux de trésorerie, élaborer de simples comptes financiers et, surtout, procéder au marketing des créneaux, tels que la niche de commercialisation, la segmentation du marché », a t-il souligné.
Au moment où 200 000 décideurs et chefs d'entreprise algériens exerçant dans le monde, notamment en Europe et en Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada), détenant un capital évalué à 100 milliards dollars, les chercheurs de Silicon Valley affichent leur ambition de participer au développement économique de l'Algérie en contribuant à créer des startup, et en apportant leur technologie et leur savoir-faire.
La seconde journée du forum de la diaspora algérienne aux USA a été articulée sur la présentation des avantages fiscaux et fonciers accordés par l'Etat aux jeunes porteurs de projets, la formation, la bonne gouvernance des entreprises et le perfectionnement des ressources humaines, et les discussions sur l'élaboration d'une feuille de route pour la poursuite simultanée de trois voies complémentaires. Il s'agit, en fait, des délais de court, moyen et long termes dans l'optique de créer un écosystème d'entreprenariat de valeur en Algérie.
«Je suis prêt à monter une société de production en Algérie où je pourrai travailler en partenariat avec des entrepreneurs locaux sachant que la diaspora algérienne aux Etats-Unis d'Amérique est disposée à fournir aide et assistance pour contribuer au développement économique, tant le transfert de technologies et de know how sont possibles » affirme t-il.
Quant à Mohammed Bedrouni, qui est un spécialiste en finance internationale et en développement économique ayant assuré des programmes de formation en financement et gestion de projets dans la région du Moyen-Orient en Afrique du Nord (MENA), il a présenté son expérience en matière de formation d'entrepreneurs.
Ce membre de la diaspora algérienne établie aux Etats-Unis d'Amérique, précisément à San Diego (Californie), qui a dirigé un programme de perfectionnement de chefs d'entreprise et la formation de PME a élaboré une démarche constructive dénommée concept à la startup avec la participation de 30 chefs d'entreprise algériens.
« Nous avons installé un centre d'entreprenariat à Bahreïn où l'on voulait savoir quel type de formation ont besoin les chefs d'entreprise. Nous prodiguons des conseils et des orientations aux jeunes pour créer leurs startup, former et encadrer les jeunes porteurs de projets âgés entre 18 et 30 ans afin de leur permettre de créer leur propre entreprise, car certains ont des problèmes pour trouver un emploi », a-t-il dit.
Il souligne que l'essentiel consiste à atteindre les objectifs et des résultats en 6 semaines de formation pour les participants. « Concrètement, il s'agit de la préparation de l'atelier avec la sélection des participants, la nature de l'entreprenariat, la définition de la charge de travail et les défis à suivre par les chefs d'entreprise. Il est également utile de cerner les caractéristiques et le comportent des chefs d'entreprise qui réussissent », a-t-il déclaré.
Bedrouni indique que la formation des jeunes entrepreneurs est indispensable pour mener à bien les projets et réussir une startup, en ce sens que, la réalisation et la présentation de plans préliminaires des études de faisabilité des projets sont des étapes nécessaires en matière de management et de marketing des entreprises.
« Il s'agit de s'introduire au contenu des plans business en permettant de faire de la planification de façon à ce que le projet puisse générer des flux de trésorerie, élaborer de simples comptes financiers et, surtout, procéder au marketing des créneaux, tels que la niche de commercialisation, la segmentation du marché », a t-il souligné.
Au moment où 200 000 décideurs et chefs d'entreprise algériens exerçant dans le monde, notamment en Europe et en Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada), détenant un capital évalué à 100 milliards dollars, les chercheurs de Silicon Valley affichent leur ambition de participer au développement économique de l'Algérie en contribuant à créer des startup, et en apportant leur technologie et leur savoir-faire.
La seconde journée du forum de la diaspora algérienne aux USA a été articulée sur la présentation des avantages fiscaux et fonciers accordés par l'Etat aux jeunes porteurs de projets, la formation, la bonne gouvernance des entreprises et le perfectionnement des ressources humaines, et les discussions sur l'élaboration d'une feuille de route pour la poursuite simultanée de trois voies complémentaires. Il s'agit, en fait, des délais de court, moyen et long termes dans l'optique de créer un écosystème d'entreprenariat de valeur en Algérie.
A. A.Un chercheur et dirigeant d'une startup de Silicon Valley, Kamel Ounadjela, dit souhaiter créer une autre entreprise en Algérie pour apporter sa technologie et son savoir faire. Car, il croit en les compétences algériennes pour la contribution effective et active au développement économique du pays.
Par Amar Aouimer
«Je suis prêt à monter une société de production en Algérie où je pourrai travailler en partenariat avec des entrepreneurs locaux sachant que la diaspora algérienne aux Etats-Unis d'Amérique est disposée à fournir aide et assistance pour contribuer au développement économique, tant le transfert de technologies et de know how sont possibles » affirme t-il.
Quant à Mohammed Bedrouni, qui est un spécialiste en finance internationale et en développement économique ayant assuré des programmes de formation en financement et gestion de projets dans la région du Moyen-Orient en Afrique du Nord (MENA), il a présenté son expérience en matière de formation d'entrepreneurs.
Ce membre de la diaspora algérienne établie aux Etats-Unis d'Amérique, précisément à San Diego (Californie), qui a dirigé un programme de perfectionnement de chefs d'entreprise et la formation de PME a élaboré une démarche constructive dénommée concept à la startup avec la participation de 30 chefs d'entreprise algériens.
« Nous avons installé un centre d'entreprenariat à Bahreïn où l'on voulait savoir quel type de formation ont besoin les chefs d'entreprise. Nous prodiguons des conseils et des orientations aux jeunes pour créer leurs startup, former et encadrer les jeunes porteurs de projets âgés entre 18 et 30 ans afin de leur permettre de créer leur propre entreprise, car certains ont des problèmes pour trouver un emploi », a-t-il dit.
Il souligne que l'essentiel consiste à atteindre les objectifs et des résultats en 6 semaines de formation pour les participants. « Concrètement, il s'agit de la préparation de l'atelier avec la sélection des participants, la nature de l'entreprenariat, la définition de la charge de travail et les défis à suivre par les chefs d'entreprise. Il est également utile de cerner les caractéristiques et le comportent des chefs d'entreprise qui réussissent », a-t-il déclaré.
Bedrouni indique que la formation des jeunes entrepreneurs est indispensable pour mener à bien les projets et réussir une startup, en ce sens que, la réalisation et la présentation de plans préliminaires des études de faisabilité des projets sont des étapes nécessaires en matière de management et de marketing des entreprises.
« Il s'agit de s'introduire au contenu des plans business en permettant de faire de la planification de façon à ce que le projet puisse générer des flux de trésorerie, élaborer de simples comptes financiers et, surtout, procéder au marketing des créneaux, tels que la niche de commercialisation, la segmentation du marché », a t-il souligné.
Au moment où 200 000 décideurs et chefs d'entreprise algériens exerçant dans le monde, notamment en Europe et en Amérique du Nord (Etats-Unis et Canada), détenant un capital évalué à 100 milliards dollars, les chercheurs de Silicon Valley affichent leur ambition de participer au développement économique de l'Algérie en contribuant à créer des startup, et en apportant leur technologie et leur savoir-faire.
La seconde journée du forum de la diaspora algérienne aux USA a été articulée sur la présentation des avantages fiscaux et fonciers accordés par l'Etat aux jeunes porteurs de projets, la formation, la bonne gouvernance des entreprises et le perfectionnement des ressources humaines, et les discussions sur l'élaboration d'une feuille de route pour la poursuite simultanée de trois voies complémentaires. Il s'agit, en fait, des délais de court, moyen et long termes dans l'optique de créer un écosystème d'entreprenariat de valeur en Algérie.


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