La direction de l'USM Alger à sa tête le vice-président, Rebouh Haddad, a dénoncé hier à Alger les incidents qui sont survenus, samedi, la rencontre ayant opposé son équipe au MC Saida, en les qualifiant d' «apocalypse». La direction de l'USM Alger à sa tête le vice-président, Rebouh Haddad, a dénoncé hier à Alger les incidents qui sont survenus, samedi, la rencontre ayant opposé son équipe au MC Saida, en les qualifiant d' «apocalypse». Au cours d'une conférence de presse, organisée au stade Omar-Hamadi de Bologhine, le premier responsable technique de l'USM Alger a considéré que les actes d'agression physiques commis sur les joueurs sont des «actes barbares» bien préparés par des gens d'ailleurs. "Perdre des vies pour un titre ou pour une question de relégation, c'est grave. Ça fait 48 ans de carrière et je n'ai jamais vu une situation pareille. Les vestiaires sont devenus une boucherie et le stade un abattoir. Il y avait une tentative d'assassinat» a-t-il indiqué, "mais qui est derrière cela ?" s'interroge-t-il ? «Tout le monde est complice, y compris le président du MC Saida qui a brillé par son absence sur les lieux du drame». Les conférenciers ont interpellé les responsables du football algérien sur les incidents sans précédent en leur exigeant une enquête : «Nous demandons aux responsables du football d'ouvrir une enquête sur ses incidents graves de Saida qui ont failli coûter la vie à plusieurs joueurs de l'USMA, agressés sauvagement par les supporters du MC Saïda à l'arme blanche , a indiqué Rebouh Haddad. "Comment justifier le refus des Saidis de toute retransmission de la rencontre ainsi que l'entrée gratuite du stade aux spectateurs ? Cela démontre la préméditation des évènements survenus», a-t-il ajouté. De son côté, le coach, Meziane Ighil s'est dit étonné de voir que les portes du stade s'ouvrent aux supporters au coup de sifflet final. «Ceux qui sont chargés d'assurer la sécurité au stade n'ont pas pris la mesure des risques, mais pire, ont laissé faire le déchaînement haineux des supporters locaux chargés d'exécuter tout ce qui s'apparentait à l'USMA», a souligné Meziane Ighil. «Plusieurs personnes se sont montrées passives avant, pendant et après le match, en se dessaisissant de leurs prérogatives et missions au profit de soi-disants stadiers acquis totalement à l'équipe locale», a indiqué de son côté le vice-président de l'USM Alger. Le responsable technique de cette équipe algéroise a affirmé que les consignes cette fois-ci étaient "d'ordre sécuritaire, pas d'ordre technique". «De tels comportements sont inadmissibles et relèvent de la complicité active laquelle doit être dénoncée et sévèrement sanctionnée», a ajouté Meziane Ighil. Après avoir raconté les faits, Meziane Ighil dira : «Il ne faut pas céder devant la bêtise, et nous devons répondre à ceux qui veulent nous mettre à genoux», a rassuré le coach des Rouge et Noir. Meziane Ighil ne semble pas inquiet par ces incidents en confirmant que "ces incidents sont une source de motivation pour les joueurs", a-t-il dit. Au cours d'une conférence de presse, organisée au stade Omar-Hamadi de Bologhine, le premier responsable technique de l'USM Alger a considéré que les actes d'agression physiques commis sur les joueurs sont des «actes barbares» bien préparés par des gens d'ailleurs. "Perdre des vies pour un titre ou pour une question de relégation, c'est grave. Ça fait 48 ans de carrière et je n'ai jamais vu une situation pareille. Les vestiaires sont devenus une boucherie et le stade un abattoir. Il y avait une tentative d'assassinat» a-t-il indiqué, "mais qui est derrière cela ?" s'interroge-t-il ? «Tout le monde est complice, y compris le président du MC Saida qui a brillé par son absence sur les lieux du drame». Les conférenciers ont interpellé les responsables du football algérien sur les incidents sans précédent en leur exigeant une enquête : «Nous demandons aux responsables du football d'ouvrir une enquête sur ses incidents graves de Saida qui ont failli coûter la vie à plusieurs joueurs de l'USMA, agressés sauvagement par les supporters du MC Saïda à l'arme blanche , a indiqué Rebouh Haddad. "Comment justifier le refus des Saidis de toute retransmission de la rencontre ainsi que l'entrée gratuite du stade aux spectateurs ? Cela démontre la préméditation des évènements survenus», a-t-il ajouté. De son côté, le coach, Meziane Ighil s'est dit étonné de voir que les portes du stade s'ouvrent aux supporters au coup de sifflet final. «Ceux qui sont chargés d'assurer la sécurité au stade n'ont pas pris la mesure des risques, mais pire, ont laissé faire le déchaînement haineux des supporters locaux chargés d'exécuter tout ce qui s'apparentait à l'USMA», a souligné Meziane Ighil. «Plusieurs personnes se sont montrées passives avant, pendant et après le match, en se dessaisissant de leurs prérogatives et missions au profit de soi-disants stadiers acquis totalement à l'équipe locale», a indiqué de son côté le vice-président de l'USM Alger. Le responsable technique de cette équipe algéroise a affirmé que les consignes cette fois-ci étaient "d'ordre sécuritaire, pas d'ordre technique". «De tels comportements sont inadmissibles et relèvent de la complicité active laquelle doit être dénoncée et sévèrement sanctionnée», a ajouté Meziane Ighil. Après avoir raconté les faits, Meziane Ighil dira : «Il ne faut pas céder devant la bêtise, et nous devons répondre à ceux qui veulent nous mettre à genoux», a rassuré le coach des Rouge et Noir. Meziane Ighil ne semble pas inquiet par ces incidents en confirmant que "ces incidents sont une source de motivation pour les joueurs", a-t-il dit.
