Le gros nuage noir qui planait sur le ciel d'Alger et de Tripoli s'est dissipé totalement pour laisser place à un soleil radieux entre les deux pays. La hache de guerre étant enterrée. Les ballets d'émissaires dans les deux sens ont balisé le terrain. Le temps est aux des échanges de courtoisies par les deux excellences. La Libye ne se montre plus fâchée la présence de la famille de Mouammar Kadhafi recueillie par l'Algérie pour des raisons humanitaires. Cette présence sur le sol algérien a envenimé puis compliqué les relations entre les deux pays voisins. Aujourd'hui, les Libyens révisent leur copie et admettent bon gré mal gré qu'ils comprennent la position humanitaire de l'Algérie. C'est dire ô combien les amis libyens aujourd'hui sont plein de bon sens en reconnaissant que ce ne sont ni Safia, ni Aïcha ni Hannibal et Mohamed ne sont d'ordre à influer négativement sur le processus politique en Libye. Alger serait-il parvenu à clouer le bec de Aicha la rebelle qui n'hésite pas, quand l'occasion lui est offerte, d'appeler les Libyens à se soulever. ? Pour les autorités algériennes c'est no comment ! Pas question de remuer le couteau dans la plaie. Aujourd'hui l'heure est à la coopération bilatérale, la Libye, qui connait des problèmes internes engendrés par des milices qui refusent de rendre les armes, des tribus qui se révoltent, veut surtout établir un partenariat dans la sécurité, le domaine de l'énergie, l'édification de l'UMA, le commerce, augmenter le volume des échanges commerciaux. Et pour cela Mustapha Abdeljalil, président du Conseil national de transition lors de sa visite officielle en Algérie aura plus que jamais évoqué la réouverture des frontières condition sine qua non pour le développement de la coopération bilatérale. L'autre point favorable est la possible reprise des activités de Sonatrach dans l'exploration de gisements pétroliers et gaziers dans le bassin Ghadames tout près de la frontière. Les deux pays qui sont voisins redeviennent amis.Voilà, tout est bien qui finit bien. Le gros nuage noir qui planait sur le ciel d'Alger et de Tripoli s'est dissipé totalement pour laisser place à un soleil radieux entre les deux pays. La hache de guerre étant enterrée. Les ballets d'émissaires dans les deux sens ont balisé le terrain. Le temps est aux des échanges de courtoisies par les deux excellences. La Libye ne se montre plus fâchée la présence de la famille de Mouammar Kadhafi recueillie par l'Algérie pour des raisons humanitaires. Cette présence sur le sol algérien a envenimé puis compliqué les relations entre les deux pays voisins. Aujourd'hui, les Libyens révisent leur copie et admettent bon gré mal gré qu'ils comprennent la position humanitaire de l'Algérie. C'est dire ô combien les amis libyens aujourd'hui sont plein de bon sens en reconnaissant que ce ne sont ni Safia, ni Aïcha ni Hannibal et Mohamed ne sont d'ordre à influer négativement sur le processus politique en Libye. Alger serait-il parvenu à clouer le bec de Aicha la rebelle qui n'hésite pas, quand l'occasion lui est offerte, d'appeler les Libyens à se soulever. ? Pour les autorités algériennes c'est no comment ! Pas question de remuer le couteau dans la plaie. Aujourd'hui l'heure est à la coopération bilatérale, la Libye, qui connait des problèmes internes engendrés par des milices qui refusent de rendre les armes, des tribus qui se révoltent, veut surtout établir un partenariat dans la sécurité, le domaine de l'énergie, l'édification de l'UMA, le commerce, augmenter le volume des échanges commerciaux. Et pour cela Mustapha Abdeljalil, président du Conseil national de transition lors de sa visite officielle en Algérie aura plus que jamais évoqué la réouverture des frontières condition sine qua non pour le développement de la coopération bilatérale. L'autre point favorable est la possible reprise des activités de Sonatrach dans l'exploration de gisements pétroliers et gaziers dans le bassin Ghadames tout près de la frontière. Les deux pays qui sont voisins redeviennent amis.Voilà, tout est bien qui finit bien.
