Le Forum des chefs d'entreprise (FCE) a appelé, hier, les pouvoirs publics à intervenir pour mettre un terme au refus des armateurs étrangers de prendre en charge les opérations d'importation ou d'exportation de marchandises en mode FOB (free on board) au niveau des ports algériens, à compter du 16 avril courant. Le FCE, qui trouve "lourde de conséquence" cette décision, a appelé une intervention "rapide" des pouvoirs publics compétents en la matière pour trouver "la solution la plus convenable" au problème et mettre un terme à cette "situation dommageable" à l'économie nationale, indique un communiqué du Forum. La décision des armateurs étrangers qui, selon le FCE, "semble avoir été dictée par les retards pris sur les transferts en devises de paiements reçus en dinars algériens au titre de prestations effectuées depuis l'année 2010", pénalise principalement "les entreprises algériennes et, à travers elles, les consommateurs algériens". Les victimes principales qui vont devoir assumer les conséquences de ces litiges, "sont avant tout les entreprises algériennes et, à travers elles, les consommateurs algériens et l'économie nationale dans son ensemble", déplore l'organisatgion patronale algérienne. Le Forum des chefs d'entreprise (FCE) a appelé, hier, les pouvoirs publics à intervenir pour mettre un terme au refus des armateurs étrangers de prendre en charge les opérations d'importation ou d'exportation de marchandises en mode FOB (free on board) au niveau des ports algériens, à compter du 16 avril courant. Le FCE, qui trouve "lourde de conséquence" cette décision, a appelé une intervention "rapide" des pouvoirs publics compétents en la matière pour trouver "la solution la plus convenable" au problème et mettre un terme à cette "situation dommageable" à l'économie nationale, indique un communiqué du Forum. La décision des armateurs étrangers qui, selon le FCE, "semble avoir été dictée par les retards pris sur les transferts en devises de paiements reçus en dinars algériens au titre de prestations effectuées depuis l'année 2010", pénalise principalement "les entreprises algériennes et, à travers elles, les consommateurs algériens". Les victimes principales qui vont devoir assumer les conséquences de ces litiges, "sont avant tout les entreprises algériennes et, à travers elles, les consommateurs algériens et l'économie nationale dans son ensemble", déplore l'organisatgion patronale algérienne.