Les quelques tentatives de « réveil » politique opérées au cours de ce mois sacré de Ramadhan auront été vaines, puisque les activités politiques à l'échelle nationale ont été aussitôt interrompues et revenues au calme. Le chant des cigales étant leur principale compagne de mise en veille. Les nombreuses formations politiques, notamment, les nouvelles semblent être prises dans les filets de l'oisiveté en attendant que le prochain rendez-vous électoral arrive. Et pourtant, celles-ci s'étaient attardées sur l'apathie de l'ancienne classe politique nationale et critiqué son inaction, au cours de la précédente campagne électorale. Ce mois sacré de Ramadhan, traversé par un été chaud et aride, aura au moins, dévoilé la facette de notre paysage politique, qui d'échec en échec peine à se faire entendre et à rassembler une masse « électrice » suffisante autour de lui. Les quelques tentatives de « réveil » politique opérées au cours de ce mois sacré de Ramadhan auront été vaines, puisque les activités politiques à l'échelle nationale ont été aussitôt interrompues et revenues au calme. Le chant des cigales étant leur principale compagne de mise en veille. Les nombreuses formations politiques, notamment, les nouvelles semblent être prises dans les filets de l'oisiveté en attendant que le prochain rendez-vous électoral arrive. Et pourtant, celles-ci s'étaient attardées sur l'apathie de l'ancienne classe politique nationale et critiqué son inaction, au cours de la précédente campagne électorale. Ce mois sacré de Ramadhan, traversé par un été chaud et aride, aura au moins, dévoilé la facette de notre paysage politique, qui d'échec en échec peine à se faire entendre et à rassembler une masse « électrice » suffisante autour de lui. En cette occasion du mois de jeûne, les partis politiques, notamment, les plus jeunes, avaient pourtant cette grande opportunité de se rapprocher davantage des citoyens algériens. De s'enquérir de leurs attentes et revendications, et dessiner, tant qu'à faire, des projets de sociétés concrets et réalistes à soumettre au vote des Algériens. La flambée des prix des produits alimentaires, la baisse du cours du pétrole, les perturbations en matière de distribution d'électricité, l'arrivée des réfugiés syriens sur le sol algérien, les fléaux sociaux en recrudescence durant cette même période, et les actions de solidarité, sont autant d'évènements qui ont secoué le quotidien récent des Algériens, sans que les partis politiques ne s'y prononcent. Semblant « pas concerné » par la situation que subissent tous les Algériens, le concept du contact de proximité, tant prôné lors des dernières législatives, a perdu sa raison d'être et cédé sa place à la disparité et à l'écart de ceux qui font la politique nationale en ce moment. Ces mêmes hommes politiques se projettent, malgré tout, à la représentation du peuple au niveau des assemblées populaires communales et des wilayas. Cependant, la désertion des acteurs politiques du front social aura, manifestement, des conséquences considérables sur leur futur politique proche. Ce dernier qu'on a tenté de réparer, grâce à la mobilisation de grands moyens, de le rassembler et de le réformer, sur l'élan du changement, du développement et de la démocratie, dépend de la capacité des formations politiques à éveiller les consciences collectives sur le concept d'une société active, saine et souveraine, et à drainer l'électorat vers les urnes pour en sortir les plus habilités à parler aux noms des Algériens. Le FLN, le RND, le PT et quelques autres jeunes formations politiques ont affronté la rudesse de ces journées caniculaires et exprimé leurs vœux de pouvoir participer aux prochaines élections municipales dans un cadre bien élaboré et prédisposé à leur victoire. Le doyen des partis, le FLN, a pour sa part lancé une véritable opération de recrutement de jeunes candidats, issus de mouvements estudiantins, et propulsés directement dans le domaine politique en vue des élections communales. Le RND s'est dit, quant à lui, « ouvert » à tout candidat portant les mêmes principes fondamentaux dudit parti, et habilité à piloter tout un programme visant à l'amélioration du cadre de vie de l'Algérien. En vue de recouvrer son électorat, Louisa Hannoune, comme à son accoutumée, n'a pas épargné son énergie en ces dernières semaines, où elle a amplifié ses rencontres du parti pour étudier et réagir à tel ou tel évènement ayant rapport avec la société algérienne et sa souveraineté. A ce propos, certaines indiscrétions ont révélé que la mobilisation des militants, en ces journées caniculaires, n'a pas été un mince affaire pour les directoires et les chefs de partis. D'autant plus que cette même période est celle des grandes vacances et qu'il est difficile de convier les militants et les sympathisants à ce genre de rencontres politiques, a-t-on indiqué. Jusque-là, une dizaine de partis seulement sont sortis de leur mutisme. Les autres sont restés en veille jusqu'à nouvel ordre. Et dire que le nouvel ordre a bel est bien été donné par le ministère de l'Intérieur, qui a annoncé récemment, la date arrêtée pour la tenue des prochaines échéances électorales. Concernant les APC et les APW, le prochain rendez-vous électoral est fixé au 29 novembre prochain, a-t-on averti. Avec un délai de moins de quatre mois, il faut dire, que le temps risque d'être tout juste serré pour les formations, particulièrement, celles en cours de construction, pour préparer leur entrée en lice. En cette occasion du mois de jeûne, les partis politiques, notamment, les plus jeunes, avaient pourtant cette grande opportunité de se rapprocher davantage des citoyens algériens. De s'enquérir de leurs attentes et revendications, et dessiner, tant qu'à faire, des projets de sociétés concrets et réalistes à soumettre au vote des Algériens. La flambée des prix des produits alimentaires, la baisse du cours du pétrole, les perturbations en matière de distribution d'électricité, l'arrivée des réfugiés syriens sur le sol algérien, les fléaux sociaux en recrudescence durant cette même période, et les actions de solidarité, sont autant d'évènements qui ont secoué le quotidien récent des Algériens, sans que les partis politiques ne s'y prononcent. Semblant « pas concerné » par la situation que subissent tous les Algériens, le concept du contact de proximité, tant prôné lors des dernières législatives, a perdu sa raison d'être et cédé sa place à la disparité et à l'écart de ceux qui font la politique nationale en ce moment. Ces mêmes hommes politiques se projettent, malgré tout, à la représentation du peuple au niveau des assemblées populaires communales et des wilayas. Cependant, la désertion des acteurs politiques du front social aura, manifestement, des conséquences considérables sur leur futur politique proche. Ce dernier qu'on a tenté de réparer, grâce à la mobilisation de grands moyens, de le rassembler et de le réformer, sur l'élan du changement, du développement et de la démocratie, dépend de la capacité des formations politiques à éveiller les consciences collectives sur le concept d'une société active, saine et souveraine, et à drainer l'électorat vers les urnes pour en sortir les plus habilités à parler aux noms des Algériens. Le FLN, le RND, le PT et quelques autres jeunes formations politiques ont affronté la rudesse de ces journées caniculaires et exprimé leurs vœux de pouvoir participer aux prochaines élections municipales dans un cadre bien élaboré et prédisposé à leur victoire. Le doyen des partis, le FLN, a pour sa part lancé une véritable opération de recrutement de jeunes candidats, issus de mouvements estudiantins, et propulsés directement dans le domaine politique en vue des élections communales. Le RND s'est dit, quant à lui, « ouvert » à tout candidat portant les mêmes principes fondamentaux dudit parti, et habilité à piloter tout un programme visant à l'amélioration du cadre de vie de l'Algérien. En vue de recouvrer son électorat, Louisa Hannoune, comme à son accoutumée, n'a pas épargné son énergie en ces dernières semaines, où elle a amplifié ses rencontres du parti pour étudier et réagir à tel ou tel évènement ayant rapport avec la société algérienne et sa souveraineté. A ce propos, certaines indiscrétions ont révélé que la mobilisation des militants, en ces journées caniculaires, n'a pas été un mince affaire pour les directoires et les chefs de partis. D'autant plus que cette même période est celle des grandes vacances et qu'il est difficile de convier les militants et les sympathisants à ce genre de rencontres politiques, a-t-on indiqué. Jusque-là, une dizaine de partis seulement sont sortis de leur mutisme. Les autres sont restés en veille jusqu'à nouvel ordre. Et dire que le nouvel ordre a bel est bien été donné par le ministère de l'Intérieur, qui a annoncé récemment, la date arrêtée pour la tenue des prochaines échéances électorales. Concernant les APC et les APW, le prochain rendez-vous électoral est fixé au 29 novembre prochain, a-t-on averti. Avec un délai de moins de quatre mois, il faut dire, que le temps risque d'être tout juste serré pour les formations, particulièrement, celles en cours de construction, pour préparer leur entrée en lice.