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Africom sur les pas d'Alger
Mali
Publié dans Le Midi Libre le 05 - 12 - 2012

Alors que la situation au Mali est débattue dans la capitale burkinabée avec le MNLA ,Ançar Eddine et la Cédéao pour une dernière tentative de réconciliation avant la prise des armes du côté de Washington, Africom préconise la voix des négociation tant appelée par Alger
Ouagadougou sera-t-elle la ville par où la paix malienne sera confirmée ? Mardi des représentants de Bamako rencontreront des délégués du groupe armé Ançar Eddine et du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) sous la médiation du président burkinabé Blaise Compaoré en tant que représentant de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao). Le but : arracher un consensus entre ces trois acteurs maliens, les fédérer autour du même postulat, à savoir un Mali unique géré par un pouvoir central ,en l'occurrence, Bamako et enfin percer le furoncle du Nord-Mali .Cette rencontre est suivie tant à l'échelle malienne qu'à l'échelle internationale et pour cause, le nord du Mali est sous le joug terroriste islamiste. Pour en découdre, une intervention armée africaine avec une force de 3.300 militaires se prépare pour déloger les islamistes armés du nord du Mali. Pour rappel, la Cédéao a approuvé le 11 novembre dernier à Abuja, l'envoi dans le nord du Mali d'une force militaire soutenue sur le plan logistique par des pays occidentaux. Pour s'exécuter cette force attend l'aval du Conseil de sécurité de l'ONU .Il doit se prononcer ce mois-ci sur cette intervention.
Retour sur les faits
Depuis mars dernier, le Mali est dans le flou sécuritaire le plus total. Il fait suite au putsch qu'a essuyé le président Mamadou Toumani Touré. Il est signé par le chef de la junte Amadou Haya Sanogo, Même si ce pays a déjà connu des événements (coups d'Etat) celui-ci est dur .Dans la confusion totale Ançar Eddine prend le contrôle du nord du Mali avec deux autres groupes terroristes : Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao). S'agissant du mouvement séparatiste que représente la rébellion touareg, le MNLA qui a toujours revendiqué l'autodétermination du Nord malien, celui-ci après avoir pactisé avec les groupes islamistes en début d'année pour chasser du Nord l'armée loyaliste, a été par la suite, évincé en juin de la région. Résultat des comptes, le Nord-Mali a été récupéré par AQMI et le Mouvement pour l'unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao). De la même idéologie, les deux tendances n'ont plus de choix sauf de pactiser pour tenter de créer un chaos total du même format que le Waziristan. Pour en arriver là la bête terroriste est prête à tout même pactiser avec d'autres groupes africains de la même mouvance. Le constat a été établi par le commandant des Forces américaines en Afrique (Africom), le général Carter Ham, à Washington devant le Think tank américain au Homeland Security Policy Institut lors d'un débat sur la lutte contre le terrorisme en Afrique. Il a observé que ''les liens idéologiques'' entre eux ont muté en liens opérationnels en citant Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Al-Shabab en Somalie et Boko Haram au Nigeria. Le général Carter Ham tient ses propos en détenant des indications claires sur la collaboration entre ces organisations. Pour illustrer ses propos, il a cité le transit des militants de Boko Haram au nord du Mali pour y recevoir une formation de l'AQMI, ainsi que de l'argent et des armes. "Il y a des liens, des réseaux, une collaboration et une synchronisation qui se développent de plus en plus entre les différents groupes terroristes qui constituent la plus grande menace à la stabilité régionale et, de façon plus générale, à travers l'Afrique, et certainement à l'Europe et aux Etats-Unis". Le comble de la situation c'est que la voix d'Alger l'a toujours crié dit et écrit. En témoigne la réunion de novembre 2011 à Alger, portant sur la question. Ainsi et par la suite , notamment sur la question du Mali Alger a appelé à la voie de la négociation. Elle a préconisé de faire le tri en séparant les groupes à revendication identitaire comme le MNLA et Ançar Eddine des groupes terroristes comme le Mujao et Aqmi. Pour ensuite combattre ces deux derniers. Et qui mieux que le groupe du champ pour en découdre et pas uniquement par les armes au risque des retombées sur la région ; à ce propos, le ministre de l'Intérieur a précisé que «l'Algérie est contre un intervention militaire au Mali et préfère une solution pacifique et politique basée sur l'intégrité territoriale de ce pays et sur les négociations entre les populations du Nord et les autorités centrales à Bamako en vue d'élargir les prérogatives et non pas les territoires". Des propos du même acabit ont été portés par le général Carter Ham à Washington. Lundi devant le Think tank américain, il a précisé que la lutte contre les groupes terroristes en Afrique en général ne devrait pas être limitée à l'aspect militaire. Pour ce général, l'option militaire est essentielle mais non décisive dans la lutte contre l'idéologie qui pousse des gens de la région à soutenir les branches d'Al-Qaïda. De plus, il a parié sur l'incapacité des forces militaires africaines à contrer les groupes islamistes dans la région et cela même avec le soutien logistique occidental, en raison entre autres de la configuration géographique de la région du sous-continent qu'est le Sahel . Pour mettre un terme à ce terrorisme, il a proposé aussi de résoudre les problèmes d'ordre économique et de développement, de gouvernance et de l'aide humanitaire. Ce qu'une fois de plus a proposé Alger en désenclavant la région du Sahel et en développant la transsaharienne. Ce qui pousse plus d'un à s'interroger aussi pourquoi Africom se met-elle au pas d'Alger ? Chercherait-elle une base chez nous ? Si rien ne filtre pour l'instant sur le sujet du côté burkinabé le dossier malien avance
Ouagadougou : la rencontre de la phase pré-exploratoire
Dans la capitale burkinabé le médiateur dans la crise malienne, Blaise Compaoré, rencontre pour la première fois ensemble, les tenants du pouvoir central malien. Conduit par le ministre des Affaires étrangères ,Tiéman Coulibaly, les décidant du groupe armé Ansar Dine et du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) en vue de trouver une solution "négociée" au conflit dans le nord de ce pays. L'objectif étant d'aller vers une cessation complète des hostilités entre partie malienne et mouvements armés, présents dans le Nord, en contrepartie les acteurs doivent accepter la réunification du territoire et le renoncement à la charia. Avant cette réunion plusieurs autres ont été tenues de façon informelle entre Blaise Compaoré et les principaux protagonistes pour amorcer le dialogue. Selon une source diplomatique malienne la rencontre de Ouaga est considérée comme une "phase pré-exploratoire". Toutefois et face la détermination de la Cédéao rien ne laisse filtrer sur le dénouement de la situation au Mali. Même si l'Onu qui a toute les tickets en main a, dans un communiqué, fait part de sa préférence pour les négociations ,gardant l'option militaire en dernier recours . Du côté algérien, il est à rappeler que le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, participera jeudi prochain à Bruxelles à la 7ème session du Conseil d'association Algérie-Union européenne (UE).Parmi les sujets évoqués , la situation au Mali sera abordée dans son contexte régional et son impact international.
Alors que la situation au Mali est débattue dans la capitale burkinabée avec le MNLA ,Ançar Eddine et la Cédéao pour une dernière tentative de réconciliation avant la prise des armes du côté de Washington, Africom préconise la voix des négociation tant appelée par Alger
Ouagadougou sera-t-elle la ville par où la paix malienne sera confirmée ? Mardi des représentants de Bamako rencontreront des délégués du groupe armé Ançar Eddine et du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) sous la médiation du président burkinabé Blaise Compaoré en tant que représentant de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao). Le but : arracher un consensus entre ces trois acteurs maliens, les fédérer autour du même postulat, à savoir un Mali unique géré par un pouvoir central ,en l'occurrence, Bamako et enfin percer le furoncle du Nord-Mali .Cette rencontre est suivie tant à l'échelle malienne qu'à l'échelle internationale et pour cause, le nord du Mali est sous le joug terroriste islamiste. Pour en découdre, une intervention armée africaine avec une force de 3.300 militaires se prépare pour déloger les islamistes armés du nord du Mali. Pour rappel, la Cédéao a approuvé le 11 novembre dernier à Abuja, l'envoi dans le nord du Mali d'une force militaire soutenue sur le plan logistique par des pays occidentaux. Pour s'exécuter cette force attend l'aval du Conseil de sécurité de l'ONU .Il doit se prononcer ce mois-ci sur cette intervention.
Retour sur les faits
Depuis mars dernier, le Mali est dans le flou sécuritaire le plus total. Il fait suite au putsch qu'a essuyé le président Mamadou Toumani Touré. Il est signé par le chef de la junte Amadou Haya Sanogo, Même si ce pays a déjà connu des événements (coups d'Etat) celui-ci est dur .Dans la confusion totale Ançar Eddine prend le contrôle du nord du Mali avec deux autres groupes terroristes : Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et le Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao). S'agissant du mouvement séparatiste que représente la rébellion touareg, le MNLA qui a toujours revendiqué l'autodétermination du Nord malien, celui-ci après avoir pactisé avec les groupes islamistes en début d'année pour chasser du Nord l'armée loyaliste, a été par la suite, évincé en juin de la région. Résultat des comptes, le Nord-Mali a été récupéré par AQMI et le Mouvement pour l'unicité et le Jihad en Afrique de l'Ouest (Mujao). De la même idéologie, les deux tendances n'ont plus de choix sauf de pactiser pour tenter de créer un chaos total du même format que le Waziristan. Pour en arriver là la bête terroriste est prête à tout même pactiser avec d'autres groupes africains de la même mouvance. Le constat a été établi par le commandant des Forces américaines en Afrique (Africom), le général Carter Ham, à Washington devant le Think tank américain au Homeland Security Policy Institut lors d'un débat sur la lutte contre le terrorisme en Afrique. Il a observé que ''les liens idéologiques'' entre eux ont muté en liens opérationnels en citant Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI), Al-Shabab en Somalie et Boko Haram au Nigeria. Le général Carter Ham tient ses propos en détenant des indications claires sur la collaboration entre ces organisations. Pour illustrer ses propos, il a cité le transit des militants de Boko Haram au nord du Mali pour y recevoir une formation de l'AQMI, ainsi que de l'argent et des armes. "Il y a des liens, des réseaux, une collaboration et une synchronisation qui se développent de plus en plus entre les différents groupes terroristes qui constituent la plus grande menace à la stabilité régionale et, de façon plus générale, à travers l'Afrique, et certainement à l'Europe et aux Etats-Unis". Le comble de la situation c'est que la voix d'Alger l'a toujours crié dit et écrit. En témoigne la réunion de novembre 2011 à Alger, portant sur la question. Ainsi et par la suite , notamment sur la question du Mali Alger a appelé à la voie de la négociation. Elle a préconisé de faire le tri en séparant les groupes à revendication identitaire comme le MNLA et Ançar Eddine des groupes terroristes comme le Mujao et Aqmi. Pour ensuite combattre ces deux derniers. Et qui mieux que le groupe du champ pour en découdre et pas uniquement par les armes au risque des retombées sur la région ; à ce propos, le ministre de l'Intérieur a précisé que «l'Algérie est contre un intervention militaire au Mali et préfère une solution pacifique et politique basée sur l'intégrité territoriale de ce pays et sur les négociations entre les populations du Nord et les autorités centrales à Bamako en vue d'élargir les prérogatives et non pas les territoires". Des propos du même acabit ont été portés par le général Carter Ham à Washington. Lundi devant le Think tank américain, il a précisé que la lutte contre les groupes terroristes en Afrique en général ne devrait pas être limitée à l'aspect militaire. Pour ce général, l'option militaire est essentielle mais non décisive dans la lutte contre l'idéologie qui pousse des gens de la région à soutenir les branches d'Al-Qaïda. De plus, il a parié sur l'incapacité des forces militaires africaines à contrer les groupes islamistes dans la région et cela même avec le soutien logistique occidental, en raison entre autres de la configuration géographique de la région du sous-continent qu'est le Sahel . Pour mettre un terme à ce terrorisme, il a proposé aussi de résoudre les problèmes d'ordre économique et de développement, de gouvernance et de l'aide humanitaire. Ce qu'une fois de plus a proposé Alger en désenclavant la région du Sahel et en développant la transsaharienne. Ce qui pousse plus d'un à s'interroger aussi pourquoi Africom se met-elle au pas d'Alger ? Chercherait-elle une base chez nous ? Si rien ne filtre pour l'instant sur le sujet du côté burkinabé le dossier malien avance
Ouagadougou : la rencontre de la phase pré-exploratoire
Dans la capitale burkinabé le médiateur dans la crise malienne, Blaise Compaoré, rencontre pour la première fois ensemble, les tenants du pouvoir central malien. Conduit par le ministre des Affaires étrangères ,Tiéman Coulibaly, les décidant du groupe armé Ansar Dine et du Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) en vue de trouver une solution "négociée" au conflit dans le nord de ce pays. L'objectif étant d'aller vers une cessation complète des hostilités entre partie malienne et mouvements armés, présents dans le Nord, en contrepartie les acteurs doivent accepter la réunification du territoire et le renoncement à la charia. Avant cette réunion plusieurs autres ont été tenues de façon informelle entre Blaise Compaoré et les principaux protagonistes pour amorcer le dialogue. Selon une source diplomatique malienne la rencontre de Ouaga est considérée comme une "phase pré-exploratoire". Toutefois et face la détermination de la Cédéao rien ne laisse filtrer sur le dénouement de la situation au Mali. Même si l'Onu qui a toute les tickets en main a, dans un communiqué, fait part de sa préférence pour les négociations ,gardant l'option militaire en dernier recours . Du côté algérien, il est à rappeler que le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, participera jeudi prochain à Bruxelles à la 7ème session du Conseil d'association Algérie-Union européenne (UE).Parmi les sujets évoqués , la situation au Mali sera abordée dans son contexte régional et son impact international.


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