Le médiateur international pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, se rendra lundi à Bruxelles pour débattre avec les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne (UE) des moyens de résoudre politiquement le conflit syrien, a-t-on indiqué, vendredi, de sources européennes. Cette rencontre, prévue lors de la réunion mensuelle de l'UE, vise à débattre "des moyens de soutenir les efforts de M. Brahimi, pour lequel la solution ne peut être militaire", a souligné un haut responsable de l'UE, ajoutant que "la solution reste aussi, pour les 27, politique". Les pays européens ont exprimé ces dernières semaines des avis divergents sur l'opportunité de renforcer leur soutien à l'opposition syrienne en levant partiellement l'embargo sur les armes. Un compromis a finalement été trouvé fin février dernier pour prolonger de trois mois le régime de sanctions visant Damas, tout en autorisant, désormais, la fourniture de matériel non létal et une assistance technique à l'opposition syrienne. Les ministres européens devraient également discuter avec Brahimi de l'aggravation de la situation humanitaire en Syrie et dans les pays voisins qui accueillent, désormais, plus d'un million de réfugiés, selon l'Onu. Le médiateur international pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, se rendra lundi à Bruxelles pour débattre avec les ministres des Affaires étrangères de l'Union européenne (UE) des moyens de résoudre politiquement le conflit syrien, a-t-on indiqué, vendredi, de sources européennes. Cette rencontre, prévue lors de la réunion mensuelle de l'UE, vise à débattre "des moyens de soutenir les efforts de M. Brahimi, pour lequel la solution ne peut être militaire", a souligné un haut responsable de l'UE, ajoutant que "la solution reste aussi, pour les 27, politique". Les pays européens ont exprimé ces dernières semaines des avis divergents sur l'opportunité de renforcer leur soutien à l'opposition syrienne en levant partiellement l'embargo sur les armes. Un compromis a finalement été trouvé fin février dernier pour prolonger de trois mois le régime de sanctions visant Damas, tout en autorisant, désormais, la fourniture de matériel non létal et une assistance technique à l'opposition syrienne. Les ministres européens devraient également discuter avec Brahimi de l'aggravation de la situation humanitaire en Syrie et dans les pays voisins qui accueillent, désormais, plus d'un million de réfugiés, selon l'Onu.