Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a annoncé l'entrée en vigueur, dès 2017, de la carte électronique d'immatriculation (carte grise biométrique). Lors de son passage, ce matin, dans l'émission Invité de la rédaction de la radio chaîne 3, Bedoui a expliqué que cette carte du numéro d'identification remplacera les codes de wilaya sur les plaques d'immatriculation. Le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales a annoncé l'entrée en vigueur, dès 2017, de la carte électronique d'immatriculation (carte grise biométrique). Lors de son passage, ce matin, dans l'émission Invité de la rédaction de la radio chaîne 3, Bedoui a expliqué que cette carte du numéro d'identification remplacera les codes de wilaya sur les plaques d'immatriculation. Chaque véhicule "aura un numéro comme pour chaque citoyen algérien. Ce qui nous permettra d'éliminer ces immatriculations avec (code de wilaya) le 16, le 31, le 1...", a déclaré le ministre de l'Intérieur. Cette numérisation et ce mode de gestion, indique le ministre, permettra de régler un certains nombre de problèmes et d'atténuer la violence routière. Mais pour lutter efficacement contre ce fléau qui endeuille chaque jour des familles algériennes, le ministre indique que son département travaille à l'adaptation de l'arsenal juridique et se mettre à niveau par rapport à ce qui se fait dans d'autres pays. "Nous sommes en jumelage avec les Espagnols et nous travaillons avec les Français. Nous avons, également, institué, sous l'autorité du Premier ministre, la délégation intersectorielle à la sécurité et à la prévention routière qui va répondre prochainement aux préoccupations des citoyens", a déclaré le ministre. La sécurité, une priorité Le ministre n'a pas manqué l'occasion pour revenir sur la situation sécuritaire"particulière" sur nos frontières. Il a, à ce propos, rendu hommage aux services de sécurité qui veillent à la sécurisation du pays et de nos frontières ainsi qu'aux citoyens "qui ont pris conscience de l'importance de la stabilité". Toujours dans ce registre sécuritaire, le ministre a assuré que le projet de création d'une police de proximité pour sécuriser les quartiers et sévir contre la violence urbaine. "Le projet existe au niveau de notre département et nous allons le soumettre au niveau du gouvernement", a affirmé l'invité de la Chaîne 3. La taxe foncière ne dépasse pas les 17 % 80 % des recommandations de la Rencontre gouvernement-walis exhortent les communes à gérer leurs finances et surtout à générer la richesse, a déclaré, également Noureddine Bedoui. En attendant la promulgation du Code de fiscalité locale qui sera prêt au plus tard dans 3 mois, les collectivités locales doivent chercher les ressources nécessaires aux financements du développement. "Il ne s'agit pas de démultiplier ou de rajouter d'autres taxes mais de récolter notre dû", précise le ministre. M. Bedoui qui refuse le qualificatif de "communes pauvres", indique que toutes les communes disposent de potentiel économiques. Il révèle, dans ce sens, qu'en plus des centaines de milliers de biens non rentabilisés, seulement que 17 % de la taxe foncière sont recouverts au niveau local. Le fonds de solidarité a dégagé 600 milliards de centimes pour le transport scolaire Le ministre à rappeler, toutefois, que le Fond commun de solidarité des collectivités locales sera toujours opérationnel pour apporter son soutien aux communes qui éprouvent réellement des difficultés financières. Selon le ministre ce Fonds de solidarité a dégagé une enveloppe de 600 milliards de centimes pour financer le transport scolaire durant l'année scolaire 2016/2017. Il a, également participé à hauteur de 15 milliards de DA à la viabilisation des lotissements sociaux crées au sud et dans les hauts plateaux. Fiscalité agricole : aux investisseurs de payer l'impôt Pour ce qui est des communes rurales, pénalisées par l'exonération de la taxe sur le foncier agricole, le ministre affirme que le prochain code fiscal prévoit des taxes sur les investisseurs. "Aujourd'hui, nous ne parlons plus d'agriculteurs, nous parlons d'investisseurs dans le domaine agricole. Ce sont des investisseurs qui gagnent de l'argent et ils ont une commune où ils sont implantés. Cette taxe pourra aider les communes rurales dans l'exécution de leurs différents programmes" a déclaré le ministre. Chaque véhicule "aura un numéro comme pour chaque citoyen algérien. Ce qui nous permettra d'éliminer ces immatriculations avec (code de wilaya) le 16, le 31, le 1...", a déclaré le ministre de l'Intérieur. Cette numérisation et ce mode de gestion, indique le ministre, permettra de régler un certains nombre de problèmes et d'atténuer la violence routière. Mais pour lutter efficacement contre ce fléau qui endeuille chaque jour des familles algériennes, le ministre indique que son département travaille à l'adaptation de l'arsenal juridique et se mettre à niveau par rapport à ce qui se fait dans d'autres pays. "Nous sommes en jumelage avec les Espagnols et nous travaillons avec les Français. Nous avons, également, institué, sous l'autorité du Premier ministre, la délégation intersectorielle à la sécurité et à la prévention routière qui va répondre prochainement aux préoccupations des citoyens", a déclaré le ministre. La sécurité, une priorité Le ministre n'a pas manqué l'occasion pour revenir sur la situation sécuritaire"particulière" sur nos frontières. Il a, à ce propos, rendu hommage aux services de sécurité qui veillent à la sécurisation du pays et de nos frontières ainsi qu'aux citoyens "qui ont pris conscience de l'importance de la stabilité". Toujours dans ce registre sécuritaire, le ministre a assuré que le projet de création d'une police de proximité pour sécuriser les quartiers et sévir contre la violence urbaine. "Le projet existe au niveau de notre département et nous allons le soumettre au niveau du gouvernement", a affirmé l'invité de la Chaîne 3. La taxe foncière ne dépasse pas les 17 % 80 % des recommandations de la Rencontre gouvernement-walis exhortent les communes à gérer leurs finances et surtout à générer la richesse, a déclaré, également Noureddine Bedoui. En attendant la promulgation du Code de fiscalité locale qui sera prêt au plus tard dans 3 mois, les collectivités locales doivent chercher les ressources nécessaires aux financements du développement. "Il ne s'agit pas de démultiplier ou de rajouter d'autres taxes mais de récolter notre dû", précise le ministre. M. Bedoui qui refuse le qualificatif de "communes pauvres", indique que toutes les communes disposent de potentiel économiques. Il révèle, dans ce sens, qu'en plus des centaines de milliers de biens non rentabilisés, seulement que 17 % de la taxe foncière sont recouverts au niveau local. Le fonds de solidarité a dégagé 600 milliards de centimes pour le transport scolaire Le ministre à rappeler, toutefois, que le Fond commun de solidarité des collectivités locales sera toujours opérationnel pour apporter son soutien aux communes qui éprouvent réellement des difficultés financières. Selon le ministre ce Fonds de solidarité a dégagé une enveloppe de 600 milliards de centimes pour financer le transport scolaire durant l'année scolaire 2016/2017. Il a, également participé à hauteur de 15 milliards de DA à la viabilisation des lotissements sociaux crées au sud et dans les hauts plateaux. Fiscalité agricole : aux investisseurs de payer l'impôt Pour ce qui est des communes rurales, pénalisées par l'exonération de la taxe sur le foncier agricole, le ministre affirme que le prochain code fiscal prévoit des taxes sur les investisseurs. "Aujourd'hui, nous ne parlons plus d'agriculteurs, nous parlons d'investisseurs dans le domaine agricole. Ce sont des investisseurs qui gagnent de l'argent et ils ont une commune où ils sont implantés. Cette taxe pourra aider les communes rurales dans l'exécution de leurs différents programmes" a déclaré le ministre.