En réponse aux accusations du département d'Etat américain, Moscou prouve que les rapports des Casques blancs syriens sur les soi-disant frappes aériennes russes contre des objets civils en Syrie sont pour le moins "arbitraires". En réponse aux accusations du département d'Etat américain, Moscou prouve que les rapports des Casques blancs syriens sur les soi-disant frappes aériennes russes contre des objets civils en Syrie sont pour le moins "arbitraires". L'absence de données de la part d'organisations officielles appuie la position russe. Les prétendus rapports sur soi-disant des "hôpitaux et écoles situés sur le territoire syrien occupé par les terroristes de l'Etat islamique" ont été rédigés par les Casques blancs, financés par Londres, a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov. "Trois jours après, il est clair pour tout le monde que les hôpitaux et les cliniques mobiles soidisant bombardés à Alep sont tout droit sortis de l'imagination du porte-parole du département d'Etat américain John Kirby". Ce genre d'"erreur d'information constituera une tache sur la biographie du contre-amiral Kirby", a déploré le militaire russe. Selon lui, si on compte tous "les hôpitaux et les cliniques bombardés, il n'en resterait plus aucun en Syrie. Nous avons à maintes reprises demandé aux représentants officiels des Etats-Unis, du Royaume-Uni, de la France, de l'Allemagne, d'autres pays et des ONG internationales de nous livrer les informations sur la localisation des hôpitaux et des écoles situées sur le territoire contrôlé par les terroristes", a poursuivi M. Konachenkov, ajoutant qu'il n'existe que les "rapports des Casques blancs et des journalistes ou activistes locaux sur la question". En outre, Igor Konachenkov a souligné que les Casques blancs, à titre de structure médiatique, sont financés par le gouvernement britannique, qui les a obligés à publier sur Facebook et sur Twitter les soidisant données sur des attaques chimiques en tant que rapports des Casques blancs et des activistes locaux. John Kirby, pour sa part, a récemment accusé l'armée russe d'effectuer des frappes aériennes contre les hôpitaux en Syrie. En réponse, Moscou a appelé les organisations internationales à livrer toute information sur l'emplacement des installations médicales et des écoles sur le territoire syrien sous contrôle des extrémistes. Les ONG ont répondu favorablement à cette demande, stipulant qu'elles ignoraient jusqu'à l'existence de telles cibles. Ces derniers temps, les pays occidentaux accusent la Russie de poursuivre les hostilités et de soutenir l'armée syrienne dans sa lutte contre l'opposition. Moscou, de son côté, insiste sur le fait que "seule la coopération avec le gouvernement syrien légitime peut mettre fin aux violences dans la région". Agences L'absence de données de la part d'organisations officielles appuie la position russe. Les prétendus rapports sur soi-disant des "hôpitaux et écoles situés sur le territoire syrien occupé par les terroristes de l'Etat islamique" ont été rédigés par les Casques blancs, financés par Londres, a déclaré le porte-parole du ministère russe de la Défense Igor Konachenkov. "Trois jours après, il est clair pour tout le monde que les hôpitaux et les cliniques mobiles soidisant bombardés à Alep sont tout droit sortis de l'imagination du porte-parole du département d'Etat américain John Kirby". Ce genre d'"erreur d'information constituera une tache sur la biographie du contre-amiral Kirby", a déploré le militaire russe. Selon lui, si on compte tous "les hôpitaux et les cliniques bombardés, il n'en resterait plus aucun en Syrie. Nous avons à maintes reprises demandé aux représentants officiels des Etats-Unis, du Royaume-Uni, de la France, de l'Allemagne, d'autres pays et des ONG internationales de nous livrer les informations sur la localisation des hôpitaux et des écoles situées sur le territoire contrôlé par les terroristes", a poursuivi M. Konachenkov, ajoutant qu'il n'existe que les "rapports des Casques blancs et des journalistes ou activistes locaux sur la question". En outre, Igor Konachenkov a souligné que les Casques blancs, à titre de structure médiatique, sont financés par le gouvernement britannique, qui les a obligés à publier sur Facebook et sur Twitter les soidisant données sur des attaques chimiques en tant que rapports des Casques blancs et des activistes locaux. John Kirby, pour sa part, a récemment accusé l'armée russe d'effectuer des frappes aériennes contre les hôpitaux en Syrie. En réponse, Moscou a appelé les organisations internationales à livrer toute information sur l'emplacement des installations médicales et des écoles sur le territoire syrien sous contrôle des extrémistes. Les ONG ont répondu favorablement à cette demande, stipulant qu'elles ignoraient jusqu'à l'existence de telles cibles. Ces derniers temps, les pays occidentaux accusent la Russie de poursuivre les hostilités et de soutenir l'armée syrienne dans sa lutte contre l'opposition. Moscou, de son côté, insiste sur le fait que "seule la coopération avec le gouvernement syrien légitime peut mettre fin aux violences dans la région". Agences