Le FFS a réuni ce wee-end, sonConseil national pour examiner lesquestions organiques, politiques etéconomiques. Sur le plan organique,le communiqué fait totalement l'impassesur les exclusions des députés,Salima Ghozali et Chaffai Bouaiche. Le FFS a réuni ce wee-end, sonConseil national pour examiner lesquestions organiques, politiques etéconomiques. Sur le plan organique,le communiqué fait totalement l'impassesur les exclusions des députés,Salima Ghozali et Chaffai Bouaiche. En revanche, le parti met en exergue"l'état d'avancement des opérationsde renouvellement et d'élargissementdes structures du parti, au niveau desfédérations et des sections", tout en sefélicitant "du respect de la feuille deroute et des délais fixé"Comme si le FFS entend, pour lecoup, expliquer que l'affaire de ces deux députés n'est qu'une péripétieorganique, malgré la prise de positon en leur faveur, de la famille de HocineAitAhmed. Mais le communiqué du FFS vaut surtout par son contenu politique,aveccomme fil rouge, la prochaine élection présidentielle et le débat y afférent,quia porté sur le "changement du système et non pas changement dans le système". Car, le FFS est persuadé que"sauf imprévu, la prochaine élection présidentielle ne fera que pérenniserle système actuel, quel que soit le candidat parrainé par le régime, alorsque leFFS plaide, lui, pour un changement de systèmeet non pas pour un changementdans le système"D'où la certitude de ceparti, que lorsde la prochaineprésidentielle "la grande majorité s'abstiendra de voter ou voteracontre le candidat du système. Leschiffres officiels des résultats neparviendront pas à masquer cette réalité"Une élection, dans desconditionsnondémocratiques, ne changera rienà la situation actuelle, note encoreleCN du FFS, qui rappelle que "le changementdu système est au coeur du projetde reconstruction d'un consensus national, avec l'élection d'une Assemblée constituante, visant à instaurer un nouveau système" Après avoir pointé les échecs de cesystème issu de l'Indépendance, le FFS prône donc un changement radical fondédur"une approche consensuelle",jugée "seule à même de le réaliser, de façon pacifique". Mais pas destatut,prévient le FFS, car, explique-t-il encore dans le communiqué,"si le statu quo actuel perdure, le système et les hommes qui en sont responsables,ne seront pas en mesure defaire face aux forces déstabilisantesque représentent les pressions sociales grandissantes, et les agressions multiformes véhiculées par lamondialisation". En revanche, le parti met en exergue"l'état d'avancement des opérationsde renouvellement et d'élargissementdes structures du parti, au niveau desfédérations et des sections", tout en sefélicitant "du respect de la feuille deroute et des délais fixé"Comme si le FFS entend, pour lecoup, expliquer que l'affaire de ces deux députés n'est qu'une péripétieorganique, malgré la prise de positon en leur faveur, de la famille de HocineAitAhmed. Mais le communiqué du FFS vaut surtout par son contenu politique,aveccomme fil rouge, la prochaine élection présidentielle et le débat y afférent,quia porté sur le "changement du système et non pas changement dans le système". Car, le FFS est persuadé que"sauf imprévu, la prochaine élection présidentielle ne fera que pérenniserle système actuel, quel que soit le candidat parrainé par le régime, alorsque leFFS plaide, lui, pour un changement de systèmeet non pas pour un changementdans le système"D'où la certitude de ceparti, que lorsde la prochaineprésidentielle "la grande majorité s'abstiendra de voter ou voteracontre le candidat du système. Leschiffres officiels des résultats neparviendront pas à masquer cette réalité"Une élection, dans desconditionsnondémocratiques, ne changera rienà la situation actuelle, note encoreleCN du FFS, qui rappelle que "le changementdu système est au coeur du projetde reconstruction d'un consensus national, avec l'élection d'une Assemblée constituante, visant à instaurer un nouveau système" Après avoir pointé les échecs de cesystème issu de l'Indépendance, le FFS prône donc un changement radical fondédur"une approche consensuelle",jugée "seule à même de le réaliser, de façon pacifique". Mais pas destatut,prévient le FFS, car, explique-t-il encore dans le communiqué,"si le statu quo actuel perdure, le système et les hommes qui en sont responsables,ne seront pas en mesure defaire face aux forces déstabilisantesque représentent les pressions sociales grandissantes, et les agressions multiformes véhiculées par lamondialisation".