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Ils attendent des décisions salutaires
Les travailleurs du pré-emploi dans l'expectative
Publié dans Le Midi Libre le 07 - 12 - 2018

Les travailleurs du pré-emploi dont le nombre est de 650.000 attendent toujours du neuf. Le gouvernement leur avait promis de régler définitivement leur dossier. Mais les représentants de cette catégorie professionnelle dénoncent le statut quo d'une situation précaire qui dure toujours.
Les travailleurs du pré-emploi dont le nombre est de 650.000 attendent toujours du neuf. Le gouvernement leur avait promis de régler définitivement leur dossier. Mais les représentants de cette catégorie professionnelle dénoncent le statut quo d'une situation précaire qui dure toujours.
La Commission nationale qui regroupe les représentants des travailleurs dupré-emploi n'a rien vu de concret.Lors d'une assemblée tenue récemment,cette Commission a renouvelé son appelpour statuer sur ces revendications.Elle déplore toujours la précarité dont sontvictimes des travailleurs, avec des salairesqui ne sont toujours pas indexés au SNMG. Certains qui exercent des métiersdans le bâtiment, l'industrie manufacturièreoù même dans les services de l'administrationpublique ne sont pas recrutés etvégètent avec des salaires dérisoires. Selon une source proche du dossier, cetteCommission qui est affiliée à la SNAPAPentend réitérer les points promis par le
gouvernement qui n'ont pas été encoreréglés. Il s'agit de revaloriser les salairessous formes d'indemnités, dans le cadre dufilet social dont certains ne dépassent pasles 10.000 DA.La Commission qui a déjà interpellé les pouvoirs publics sur la situation de cesmilliers de jeunes, a averti qu'elle n'exclutpas la contestation à large échelle, maissans préciser ni l'échéance ni commentelle entend organiser la protetsta. Cesgrondements surgissent du fait que les chômeursdiplômés qui sont recrutés parl'ANEM se déroulent dans de bonnesconditions, mais les entreprises profitentpour leur donner de maigres salaires prétextantqu'ils sont recrutés sous la base deCDD, et ils qu'ils n'ont pas le droit d'avoir des salaires pour les postes d'employéstitularisés. Ce qui est déplorable dans l'histoire, c'est des milliers de ces jeunes, note la même source, sont des jeunes diplômés de grandes écoles (plus de 50% sont issus del'université) qui n'obtiennent pas satisfaction de leurs attentes. Ils perçoivent des salaires tout juste proche du SMIG, et n'ont aucun droit à la promotion
socioprofessionnelle. Ils travaillent parfois dans des conditions professionnelles proches dela précarité. La Commission retient également, que ces travailleurs sont rangés dans la catégorie de salariés "provisoires" ou "vacataires" ne supposant rien obtenir de lapart des employeurs. Or, la loi du travail 90-10 dans son volet relatif au recrutement que tout travailleur recruté sur la d'un contrat écrit ou oral, ne doit pas devenir une situation d'instabilité pour l'employé. En termes clairs, l'employeu qu'il soit public ou privé, doit préciser les de la durée et de la nature de la tâche à toute personne recrutée. Et il est conformément aux dispositions, réglementaires, de ne pas payer des salaires en dessous du SNMG, qu'elle que soit le occupé. Cela dit, il est indiqué que pour des raisons de restrictions budgétaires, le gouvernement a tardé de donner des réponses claires sur le reclassement decatégorie de travailleurs, et en lesselon leurs fonctions dans letableau des salariés titulaires de postes après la période d'essai, ou après même des CDD.
La Commission avait proposé au gouvernement, la création d'un fonds spécial destiné à soutenir ces travailleurs en compensant les salaires dérisoires qu'ils perçoivent. Mais, cette doléance ne est restée lettre morte et aucune réponse n'a été donnée jusque-là.
La Commission nationale qui regroupe les représentants des travailleurs dupré-emploi n'a rien vu de concret.Lors d'une assemblée tenue récemment,cette Commission a renouvelé son appelpour statuer sur ces revendications.Elle déplore toujours la précarité dont sontvictimes des travailleurs, avec des salairesqui ne sont toujours pas indexés au SNMG. Certains qui exercent des métiersdans le bâtiment, l'industrie manufacturièreoù même dans les services de l'administrationpublique ne sont pas recrutés etvégètent avec des salaires dérisoires. Selon une source proche du dossier, cetteCommission qui est affiliée à la SNAPAPentend réitérer les points promis par le
gouvernement qui n'ont pas été encoreréglés. Il s'agit de revaloriser les salairessous formes d'indemnités, dans le cadre dufilet social dont certains ne dépassent pasles 10.000 DA.La Commission qui a déjà interpellé les pouvoirs publics sur la situation de cesmilliers de jeunes, a averti qu'elle n'exclutpas la contestation à large échelle, maissans préciser ni l'échéance ni commentelle entend organiser la protetsta. Cesgrondements surgissent du fait que les chômeursdiplômés qui sont recrutés parl'ANEM se déroulent dans de bonnesconditions, mais les entreprises profitentpour leur donner de maigres salaires prétextantqu'ils sont recrutés sous la base deCDD, et ils qu'ils n'ont pas le droit d'avoir des salaires pour les postes d'employéstitularisés. Ce qui est déplorable dans l'histoire, c'est des milliers de ces jeunes, note la même source, sont des jeunes diplômés de grandes écoles (plus de 50% sont issus del'université) qui n'obtiennent pas satisfaction de leurs attentes. Ils perçoivent des salaires tout juste proche du SMIG, et n'ont aucun droit à la promotion
socioprofessionnelle. Ils travaillent parfois dans des conditions professionnelles proches dela précarité. La Commission retient également, que ces travailleurs sont rangés dans la catégorie de salariés "provisoires" ou "vacataires" ne supposant rien obtenir de lapart des employeurs. Or, la loi du travail 90-10 dans son volet relatif au recrutement que tout travailleur recruté sur la d'un contrat écrit ou oral, ne doit pas devenir une situation d'instabilité pour l'employé. En termes clairs, l'employeu qu'il soit public ou privé, doit préciser les de la durée et de la nature de la tâche à toute personne recrutée. Et il est conformément aux dispositions, réglementaires, de ne pas payer des salaires en dessous du SNMG, qu'elle que soit le occupé. Cela dit, il est indiqué que pour des raisons de restrictions budgétaires, le gouvernement a tardé de donner des réponses claires sur le reclassement decatégorie de travailleurs, et en lesselon leurs fonctions dans letableau des salariés titulaires de postes après la période d'essai, ou après même des CDD.
La Commission avait proposé au gouvernement, la création d'un fonds spécial destiné à soutenir ces travailleurs en compensant les salaires dérisoires qu'ils perçoivent. Mais, cette doléance ne est restée lettre morte et aucune réponse n'a été donnée jusque-là.


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