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Les participants s'engagent a une transition de 18 mois
Concertations au Mali
Publié dans Le Midi Libre le 14 - 09 - 2020

Les participants aux travaux des concertations nationales au Mali, ont adopté au termede trois jours de débats "une charte" instaurant une période de transition de 18 mois à l'issue de laquelle doit être rétabli le pouvoircivil, ont rapporté des médias. "Nous prenons l'engagement devant vous de ne ménager aucun effort dans la mise en oeuvre de l'ensemble de ces résolutions dans l'intérêt exclusif du peuple malien", a déclaré le colonel Assimi Goïta, chef du
Les participants aux travaux des concertations nationales au Mali, ont adopté au termede trois jours de débats "une charte" instaurant une période de transition de 18 mois à l'issue de laquelle doit être rétabli le pouvoircivil, ont rapporté des médias. "Nous prenons l'engagement devant vous de ne ménager aucun effort dans la mise en oeuvre de l'ensemble de ces résolutions dans l'intérêt exclusif du peuple malien", a déclaré le colonel Assimi Goïta, chef du
"Comité national pour le salut du peuple" (CNSP). Il s'est engagé à instituer un gouvernement pour rétablir un pouvoir civil dans les 18 mois, après l'adoption d'une "charte" de transition. Des experts désignés par la junte qui a renversé le 18 août le président Ibrahim Boubacar Keïta, ont adopté cette "charte" au terme de trois jours de discussions à Bamako, avec la participation de quelque 500 participants (partis politiques, presse, syndicats, société civile, diaspora ) répartis sur 5 groupes. "Nous demandons et espérons la compréhension l'appui et l'accompagnement de la communauté internationale dans cette mise en oeuvre diligente correcte de la charte et de la feuille de route de la transition", a-t-il ajouté. Les participants ont débattu aussi la question du futur président de la transition.
Cette Charte propose que soit nommé un civil ou un militaire à la tête de la transition. Le document détermine aussi, les organes devant constituer cette transition, sa durée ainsi que le profil de la personne qui doit la diriger. Les dirigeants de l'Organisation ouest africaine qui ont imposé au Mali un embargo sur les flux commerciaux et financiers, continuent d'exiger que le président et le Premier ministre de la transition soient des "personnalités civiles" qui doivent être désignées d'ici le 15 septembre prochain. Quant à la durée de la transition, estiment-ils, elle ne doit pas dépasser une année. Le respect de ces dispositions constitue la condition de la levée des sanctions de la Cédéao.Les travaux de la concertation nationale au Mali, initiés par le CNSP, créé par les militaires mutins, ont débuté jeudi à Bamako pour discuter de la transition après le changement inconstitutionnel, ayant conduit à la démission forcée de l'ex-président Ibrahim Boubacar Keïta.
"Comité national pour le salut du peuple" (CNSP). Il s'est engagé à instituer un gouvernement pour rétablir un pouvoir civil dans les 18 mois, après l'adoption d'une "charte" de transition. Des experts désignés par la junte qui a renversé le 18 août le président Ibrahim Boubacar Keïta, ont adopté cette "charte" au terme de trois jours de discussions à Bamako, avec la participation de quelque 500 participants (partis politiques, presse, syndicats, société civile, diaspora ) répartis sur 5 groupes. "Nous demandons et espérons la compréhension l'appui et l'accompagnement de la communauté internationale dans cette mise en oeuvre diligente correcte de la charte et de la feuille de route de la transition", a-t-il ajouté. Les participants ont débattu aussi la question du futur président de la transition.
Cette Charte propose que soit nommé un civil ou un militaire à la tête de la transition. Le document détermine aussi, les organes devant constituer cette transition, sa durée ainsi que le profil de la personne qui doit la diriger. Les dirigeants de l'Organisation ouest africaine qui ont imposé au Mali un embargo sur les flux commerciaux et financiers, continuent d'exiger que le président et le Premier ministre de la transition soient des "personnalités civiles" qui doivent être désignées d'ici le 15 septembre prochain. Quant à la durée de la transition, estiment-ils, elle ne doit pas dépasser une année. Le respect de ces dispositions constitue la condition de la levée des sanctions de la Cédéao.Les travaux de la concertation nationale au Mali, initiés par le CNSP, créé par les militaires mutins, ont débuté jeudi à Bamako pour discuter de la transition après le changement inconstitutionnel, ayant conduit à la démission forcée de l'ex-président Ibrahim Boubacar Keïta.


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