Après les mesures prises par Benbouzid rendant applicables, dès cette année, les instructions de Bouteflika ayant trait aux conditions de passage au lycée, voilà que le ministre de l'Education autorise les élèves de terminale ayant échoué au baccalauréat et ayant obtenu durant l'année scolaire une moyenne égale ou supérieure à 08/20, de refaire l'année et ce, quel que soit leur âge. Après les mesures prises par Benbouzid rendant applicables, dès cette année, les instructions de Bouteflika ayant trait aux conditions de passage au lycée, voilà que le ministre de l'Education autorise les élèves de terminale ayant échoué au baccalauréat et ayant obtenu durant l'année scolaire une moyenne égale ou supérieure à 08/20, de refaire l'année et ce, quel que soit leur âge. Cette mesure vise à donner une seconde chance aux élèves ayant obtenu une moyenne proche de celle de passage durant une année de durs labeurs, en leur permettant ainsi de refaire l'année et par là même, augmenter le taux de réussite. Cette décision est justifiée par le fait que la prochaine session du baccalauréat sera la dernière de l'ancien système. Cela dit, le ministre s'attend à une amélioration du taux de réussite pour le compte de l'année 2007. Néanmoins, il affirme que «même si le taux national de réussite à cet examen évoluerait de un ou de deux points seulement, cela ne pourrait que confirmer la réussite de la réforme du système éducatif», a estimé M. Benbouzid, en marge de la conférence nationale des directeurs de l'éducation, tenue ce samedi par le ministre. Pour corroborer la thèse selon laquelle le taux de réussite au baccalauréat a connu une «amélioration qualitative», le ministre de l'Education avance des chiffres en précisant dans la foulée que 200.000 élèves réussissent chaque année au baccalauréat et ce, sans rachat. Et de poursuivre que le taux de réussite correspondant à l'année 2006 est le «plus important depuis l'Indépendance» semble se réjouir Boubekeur Benbouzid. La tendance est donc à la satisfaction si l'on en croit les déclarations du ministre Benbouzid. Il attribue cette réussite aux nouveaux programmes et manuels scolaires. En outre, dans le cadre du rendement de la refonte du système éducatif, inscrit à l'ordre du jour de la conférence, le ministre préconise de réduire la déperdition scolaire en accompagnant 90% de chaque catégorie d'âge jusqu'au terme de l'enseignement obligatoire, même après un ou deux redoublements. Pour ce faire, il envisage de faire accéder à l'enseignement post-obligatoire 75% des élèves qui terminent le cycle de l'enseignement obligatoire. Le but étant d'arriver à un taux de réussite au baccalauréat de 75% à moyen terme. Il convient de rappeler que les points importants qui ont été débattus lors de la conférence ont porté sur la refonte de la pédagogie, la mise à niveau des personnels et la réorganisation générale du système éducatif. Pour ce qui est du premier axe, M. Benbouzid a précisé que le secteur a procédé à l'installation de la Commission nationale des programmes (CNP) et des Groupes spécialisés des matières (GSD), instances pédagogiques chargées de la refonte des programmes d'enseignement, outre l'introduction de 185 nouveaux programmes d'enseignement et 148 nouveaux manuels scolaires. Il a été également question d'accélérer l'introduction de tamazight en 4ème année primaire et son intégration au brevet en 2007 et au baccalauréat en 2008. Rappelons, pour terminer sur une note positive, du moins pour les candidats au BEM, que les mesures prises par Benbouzid en application des instructions de Bouteflika ayant trait aux conditions de passage du collège au lycée seront effectives dès cette année, contrairement à ce qui a été annoncé auparavant. Le ministre a instruit les Directions de wilaya pour réexaminer les dossiers des élèves recalés en vue de refaire le calcul des moyennes sur une autre base d'admission : 50-50. Concrètement, il s'agit d'additionner les moyennes selon le même cœfficient, qu'il s'agisse de la moyenne obtenue durant l'année ou de celle obtenue à l'issue de l'examen. Cela permettra de repêcher in extremis une partie des élèves recalés. De quoi leur redonner le sourire. Cette mesure vise à donner une seconde chance aux élèves ayant obtenu une moyenne proche de celle de passage durant une année de durs labeurs, en leur permettant ainsi de refaire l'année et par là même, augmenter le taux de réussite. Cette décision est justifiée par le fait que la prochaine session du baccalauréat sera la dernière de l'ancien système. Cela dit, le ministre s'attend à une amélioration du taux de réussite pour le compte de l'année 2007. Néanmoins, il affirme que «même si le taux national de réussite à cet examen évoluerait de un ou de deux points seulement, cela ne pourrait que confirmer la réussite de la réforme du système éducatif», a estimé M. Benbouzid, en marge de la conférence nationale des directeurs de l'éducation, tenue ce samedi par le ministre. Pour corroborer la thèse selon laquelle le taux de réussite au baccalauréat a connu une «amélioration qualitative», le ministre de l'Education avance des chiffres en précisant dans la foulée que 200.000 élèves réussissent chaque année au baccalauréat et ce, sans rachat. Et de poursuivre que le taux de réussite correspondant à l'année 2006 est le «plus important depuis l'Indépendance» semble se réjouir Boubekeur Benbouzid. La tendance est donc à la satisfaction si l'on en croit les déclarations du ministre Benbouzid. Il attribue cette réussite aux nouveaux programmes et manuels scolaires. En outre, dans le cadre du rendement de la refonte du système éducatif, inscrit à l'ordre du jour de la conférence, le ministre préconise de réduire la déperdition scolaire en accompagnant 90% de chaque catégorie d'âge jusqu'au terme de l'enseignement obligatoire, même après un ou deux redoublements. Pour ce faire, il envisage de faire accéder à l'enseignement post-obligatoire 75% des élèves qui terminent le cycle de l'enseignement obligatoire. Le but étant d'arriver à un taux de réussite au baccalauréat de 75% à moyen terme. Il convient de rappeler que les points importants qui ont été débattus lors de la conférence ont porté sur la refonte de la pédagogie, la mise à niveau des personnels et la réorganisation générale du système éducatif. Pour ce qui est du premier axe, M. Benbouzid a précisé que le secteur a procédé à l'installation de la Commission nationale des programmes (CNP) et des Groupes spécialisés des matières (GSD), instances pédagogiques chargées de la refonte des programmes d'enseignement, outre l'introduction de 185 nouveaux programmes d'enseignement et 148 nouveaux manuels scolaires. Il a été également question d'accélérer l'introduction de tamazight en 4ème année primaire et son intégration au brevet en 2007 et au baccalauréat en 2008. Rappelons, pour terminer sur une note positive, du moins pour les candidats au BEM, que les mesures prises par Benbouzid en application des instructions de Bouteflika ayant trait aux conditions de passage du collège au lycée seront effectives dès cette année, contrairement à ce qui a été annoncé auparavant. Le ministre a instruit les Directions de wilaya pour réexaminer les dossiers des élèves recalés en vue de refaire le calcul des moyennes sur une autre base d'admission : 50-50. Concrètement, il s'agit d'additionner les moyennes selon le même cœfficient, qu'il s'agisse de la moyenne obtenue durant l'année ou de celle obtenue à l'issue de l'examen. Cela permettra de repêcher in extremis une partie des élèves recalés. De quoi leur redonner le sourire.