Louh a annoncé que le gouvernement est en train de préparer un projet à travers lequel il compte octroyer un salaire pour une période qui reste à déterminer pour chaque travailleur ayant perdu son emploi. Louh a annoncé que le gouvernement est en train de préparer un projet à travers lequel il compte octroyer un salaire pour une période qui reste à déterminer pour chaque travailleur ayant perdu son emploi. Louh a fait une révélation de taille, hier, à l'occasion de la traditionnelle conférence de presse hebdomadaire qu'il a conjointement animée avec le ministre de la Communication, Abderrachid Boukerzaza. Il a, en effet, annoncé que le gouvernement est en train de préparer un projet à travers lequel il compte octroyer un salaire pour une période qui reste à déterminer pour chaque travailleur ayant perdu son emploi et ce en attendant qu'il trouve une nouvelle activité. En d'autres termes, et même si Tayeb Louh ne l'a pas dit explicitement, il s'agit tout simplement de l'allocation de chômage. Une revendication que ne cessent de formuler des partis politiques et des syndicats depuis longue date. Apparemment, avec l'aisance financière que connaît le pays, le gouvernement a fini par souscrire à cette demande. Louh n'a pas, cependant, précisé quand ce projet verra le jour. Ainsi, la nouvelle politique du gouvernement en matière d'emploi commence peu à peu à apparaître au grand jour avec, notamment, la mise en place d'une batterie de mesures à même de favoriser la création, selon les prévisions du gouvernement, de 250.000 emplois chaque année. Dans ce cadre, le Conseil du gouvernement a adopté, hier, un projet de décret exécutif présenté par le ministre du Travail, de l'Emploi et de la sécurité sociale. Globalement, ce décret, qui vient en application de la loi 06. 21 du mois de décembre 2006, s'articule essentiellement autour d'une série de mesures incitatives en direction des employeurs. Ainsi, ces derniers auront, désormais, à payer moins de charges vis-à-vis de la sécurité sociale (CNAS). Selon le ministre en charge de ce département, Tayeb Louh qui, a animé hier une conférence de presse en compagnie de Abderrachid Boukerzaza, la réduction de la quote-part de l'employeur va atteindre 20% pour charque nouveau employé qui a déjà travaillé. Elle sera un peu plus élevée, à hauteur de 28%, si l'employeur recrute un employé qui n'a jamais travaillé auparavant. Le ministère n'a pas omis de faire un clin d'œil en direction des entreprises qui s'installent dans les hauts plateaux et la région du Sud, puisque cette quote-part sera réduite de 36%. Tayeb Louh a estimé que l'Etat apportera aussi une aide conséquente aux entreprises qui inscrivent la formation des travailleurs comme priorité. De ce fait, l'employeur sera totalement déchargé de son obligation vis-à-vis de la sécurité sociale pour chaque employé à condition toutefois que cette formation ne dépasse pas trois mois. Les avantages qu'offre ce nouveau décret ne s'arrêtent pas à ce stade puisque, précisera le ministre, il y'a aussi une réduction de 8% des charges pour les patrons qui doublent le recrutement de leur personnel. Tayeb Louh dira que «ce décret est un des instruments de la nouvelle politique d'emploi que nous nous préparons à mettre en œuvre». Il a, à ce titre, annoncé qu'une rencontre aura lieu aujourd'hui avec les jeunes de la région centre. Une rencontre qui entre dans le cadre des recommandations de la dernière conférence-gouvernement-walis et qui verra la présence du ministre de la Jeunesse et des Sports. En plus de ces mesures, ce décret tend à favoriser les CDI (contrat à durée indéterminée). Il a ainsi révélé que pour chaque nouveau recrutement, l'Etat s'engage à verser à l'employeur 1.000 DA par mois durant une période de 3 ans. A une question relative aux incidences négatives que pourrait engendrer ce décret sur les équilibres financiers de la CNAS, Tayeb Louh a indiqué que la loi de 2006 prévoit l'intervention de l'Etat dans ce cas précis. Le ministre, qui a souligné que la part de l'employé et de l'employeur vis-à-vis de la CNAS s'élève actuellement à 34,5 %, a déclaré que cette nouvelle approche est en mesure de lutter efficacement contre le chômage qui touche principalement la frange juvénile. Louh a fait une révélation de taille, hier, à l'occasion de la traditionnelle conférence de presse hebdomadaire qu'il a conjointement animée avec le ministre de la Communication, Abderrachid Boukerzaza. Il a, en effet, annoncé que le gouvernement est en train de préparer un projet à travers lequel il compte octroyer un salaire pour une période qui reste à déterminer pour chaque travailleur ayant perdu son emploi et ce en attendant qu'il trouve une nouvelle activité. En d'autres termes, et même si Tayeb Louh ne l'a pas dit explicitement, il s'agit tout simplement de l'allocation de chômage. Une revendication que ne cessent de formuler des partis politiques et des syndicats depuis longue date. Apparemment, avec l'aisance financière que connaît le pays, le gouvernement a fini par souscrire à cette demande. Louh n'a pas, cependant, précisé quand ce projet verra le jour. Ainsi, la nouvelle politique du gouvernement en matière d'emploi commence peu à peu à apparaître au grand jour avec, notamment, la mise en place d'une batterie de mesures à même de favoriser la création, selon les prévisions du gouvernement, de 250.000 emplois chaque année. Dans ce cadre, le Conseil du gouvernement a adopté, hier, un projet de décret exécutif présenté par le ministre du Travail, de l'Emploi et de la sécurité sociale. Globalement, ce décret, qui vient en application de la loi 06. 21 du mois de décembre 2006, s'articule essentiellement autour d'une série de mesures incitatives en direction des employeurs. Ainsi, ces derniers auront, désormais, à payer moins de charges vis-à-vis de la sécurité sociale (CNAS). Selon le ministre en charge de ce département, Tayeb Louh qui, a animé hier une conférence de presse en compagnie de Abderrachid Boukerzaza, la réduction de la quote-part de l'employeur va atteindre 20% pour charque nouveau employé qui a déjà travaillé. Elle sera un peu plus élevée, à hauteur de 28%, si l'employeur recrute un employé qui n'a jamais travaillé auparavant. Le ministère n'a pas omis de faire un clin d'œil en direction des entreprises qui s'installent dans les hauts plateaux et la région du Sud, puisque cette quote-part sera réduite de 36%. Tayeb Louh a estimé que l'Etat apportera aussi une aide conséquente aux entreprises qui inscrivent la formation des travailleurs comme priorité. De ce fait, l'employeur sera totalement déchargé de son obligation vis-à-vis de la sécurité sociale pour chaque employé à condition toutefois que cette formation ne dépasse pas trois mois. Les avantages qu'offre ce nouveau décret ne s'arrêtent pas à ce stade puisque, précisera le ministre, il y'a aussi une réduction de 8% des charges pour les patrons qui doublent le recrutement de leur personnel. Tayeb Louh dira que «ce décret est un des instruments de la nouvelle politique d'emploi que nous nous préparons à mettre en œuvre». Il a, à ce titre, annoncé qu'une rencontre aura lieu aujourd'hui avec les jeunes de la région centre. Une rencontre qui entre dans le cadre des recommandations de la dernière conférence-gouvernement-walis et qui verra la présence du ministre de la Jeunesse et des Sports. En plus de ces mesures, ce décret tend à favoriser les CDI (contrat à durée indéterminée). Il a ainsi révélé que pour chaque nouveau recrutement, l'Etat s'engage à verser à l'employeur 1.000 DA par mois durant une période de 3 ans. A une question relative aux incidences négatives que pourrait engendrer ce décret sur les équilibres financiers de la CNAS, Tayeb Louh a indiqué que la loi de 2006 prévoit l'intervention de l'Etat dans ce cas précis. Le ministre, qui a souligné que la part de l'employé et de l'employeur vis-à-vis de la CNAS s'élève actuellement à 34,5 %, a déclaré que cette nouvelle approche est en mesure de lutter efficacement contre le chômage qui touche principalement la frange juvénile.