Prévue initialement début 2009, c'est finalement vers la fin de cette année que l'alimentation de l'ensemble des quartiers de la capitale en eau potable sera assurée 24h/24h. C'est du moins ce qu'a indiqué, samedi dernier, le ministre des Ressources en eau, M. Abdelmalek Sellal. Invité à l'émission « Forum de la télévision », M. Sellal a précisé que cela a été rendu possible grâce à la réception, avant les délais, de plusieurs projets sectoriels au centre du pays à l'image du barrage de Taksebt qui alimentera Alger à partir de la fin février en eau potable à raison de 150.000 m3/jour. En plus de l'apport de 200.000 m3/j à partir de la station de dessalement du Hamma qui sera réceptionnée le 24 février. Dans la foulée, le ministre a tenu à souligner que le prix du mètre cube n'augmentera pas et que l'Etat continuera à subventionner le prix de l'eau, signalant au passage que 35 % des communes ne payaient pas leurs consommation d'eau potable malgré le caractère forfaitaire voire symbolique des factures, a-t-il déploré. S'agissant du projet de transfert d'eau de Ain Salah vers Tamanrasset sur une distance dépassant 700 km, M. Sellal a précisé que ce méga-projet sera d'un apport de près de 100.000 m3/j d'eau potable pour la ville de Tamanrasset et les localités avoisinantes, sur une durée prévisionnelle allant jusqu'à 2040. Précisant que les nappes phréatiques de Ain Salah « relèvent de l'intégrité territoriale de l'Algérie », répondant sans doute aux allégations revendiquant l'origine libyenne des nappes phréatiques de Ain Salah. Aussi, des projets de transfert des eaux souterraines des régions du nord du Sahara comme Laghouat, El-Goléa, Ain Safra vers les Hauts-plateaux ou encore 13 autres barrages seront lancés à partir de 2009. A la faveur de ces projets, M. Sellal a indiqué que « la sécurité hydrique sera à la portée de tous », précisant que cela a été rendu possible grâce à l'orientation vers la diversification des sources d'approvisionnement à l'instar des barrages, des nappes phréatiques et du dessalement. Abordant le cas du barrage de Beni Haroun, confronté au cours de ces derniers mois à des problèmes d'infiltrations préoccupantes pour les agglomérations riveraines, M. Sellal a tenu a rassurer que ce problème technique ne représentait aucun danger pour la sécurité des riverains. Il corrobore ainsi ses propos par les conclusions d'une étude d'un groupe d'experts internationaux qui ont donné le feu vert quant à « l'exploitabilité sans risque » du barrage de Beni-Haroun après avoir effectuer les vérifications nécessaires. Et d'ajouter que le barrage en question a été conçu de manière à résister à des secousses telluriques d'une magnitude de 9 degrés sur l'échelle de Richter. En outre, M. Sellal a affirmé que son département lancera prochainement, en collaboration avec le groupe français Suez un programme d'épuration de l'oued El-Harrach. Il a précisé à cet effet que les premiers tests ont donné entière satisfaction. Prévue initialement début 2009, c'est finalement vers la fin de cette année que l'alimentation de l'ensemble des quartiers de la capitale en eau potable sera assurée 24h/24h. C'est du moins ce qu'a indiqué, samedi dernier, le ministre des Ressources en eau, M. Abdelmalek Sellal. Invité à l'émission « Forum de la télévision », M. Sellal a précisé que cela a été rendu possible grâce à la réception, avant les délais, de plusieurs projets sectoriels au centre du pays à l'image du barrage de Taksebt qui alimentera Alger à partir de la fin février en eau potable à raison de 150.000 m3/jour. En plus de l'apport de 200.000 m3/j à partir de la station de dessalement du Hamma qui sera réceptionnée le 24 février. Dans la foulée, le ministre a tenu à souligner que le prix du mètre cube n'augmentera pas et que l'Etat continuera à subventionner le prix de l'eau, signalant au passage que 35 % des communes ne payaient pas leurs consommation d'eau potable malgré le caractère forfaitaire voire symbolique des factures, a-t-il déploré. S'agissant du projet de transfert d'eau de Ain Salah vers Tamanrasset sur une distance dépassant 700 km, M. Sellal a précisé que ce méga-projet sera d'un apport de près de 100.000 m3/j d'eau potable pour la ville de Tamanrasset et les localités avoisinantes, sur une durée prévisionnelle allant jusqu'à 2040. Précisant que les nappes phréatiques de Ain Salah « relèvent de l'intégrité territoriale de l'Algérie », répondant sans doute aux allégations revendiquant l'origine libyenne des nappes phréatiques de Ain Salah. Aussi, des projets de transfert des eaux souterraines des régions du nord du Sahara comme Laghouat, El-Goléa, Ain Safra vers les Hauts-plateaux ou encore 13 autres barrages seront lancés à partir de 2009. A la faveur de ces projets, M. Sellal a indiqué que « la sécurité hydrique sera à la portée de tous », précisant que cela a été rendu possible grâce à l'orientation vers la diversification des sources d'approvisionnement à l'instar des barrages, des nappes phréatiques et du dessalement. Abordant le cas du barrage de Beni Haroun, confronté au cours de ces derniers mois à des problèmes d'infiltrations préoccupantes pour les agglomérations riveraines, M. Sellal a tenu a rassurer que ce problème technique ne représentait aucun danger pour la sécurité des riverains. Il corrobore ainsi ses propos par les conclusions d'une étude d'un groupe d'experts internationaux qui ont donné le feu vert quant à « l'exploitabilité sans risque » du barrage de Beni-Haroun après avoir effectuer les vérifications nécessaires. Et d'ajouter que le barrage en question a été conçu de manière à résister à des secousses telluriques d'une magnitude de 9 degrés sur l'échelle de Richter. En outre, M. Sellal a affirmé que son département lancera prochainement, en collaboration avec le groupe français Suez un programme d'épuration de l'oued El-Harrach. Il a précisé à cet effet que les premiers tests ont donné entière satisfaction.