Le gouvernement kényan et l'opposition étaient hier, dans l'attente d'un début de semaine crucial pour les pourparlers, qui pourraient, selon Kofi Annan, déboucher sur une solution politique à la crise au Kenya, notamment grâce à l'éventuelle formation d'un gouvernement d'union. Depuis le début de la médiation de M. Annan le 29 janvier, aucune avancée concrète n'a cependant été obtenue sur la question sensible et fondamentale du partage du pouvoir entre le camp du président kényan réélu Mwai Kibaki et celui de l'opposition. Le gouvernement kényan et l'opposition étaient hier, dans l'attente d'un début de semaine crucial pour les pourparlers, qui pourraient, selon Kofi Annan, déboucher sur une solution politique à la crise au Kenya, notamment grâce à l'éventuelle formation d'un gouvernement d'union. Depuis le début de la médiation de M. Annan le 29 janvier, aucune avancée concrète n'a cependant été obtenue sur la question sensible et fondamentale du partage du pouvoir entre le camp du président kényan réélu Mwai Kibaki et celui de l'opposition.