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Un facteur de risque
Le mal-être à l'adolescence
Publié dans Le Midi Libre le 02 - 03 - 2008

Leur mal-être est parfois si profond qu'ils tentent de mettre fin à leurs jours. Près de mille jeunes meurent chaque année dans le monde pour quarante mille tentatives de suicide par an. Alors quels sont les signes précurseurs, comment prévenir un tel drame ?
Les signes précurseurs à l'adolescence ne sont pas spécifiques, mais ils marquent tout de même une rupture par rapport à un comportement antérieur et doivent éveiller la vigilance des parents.
On constate d'abord comme symptômes les idées de mort ou de suicide émises par l'adolescent. Le comportement de l'ado devient étrange, mais pas forcément dépressif. Une crise de marginalité poussée par exemple, un ado jusque-là très raisonnable qui commence à sortir fréquemment, fumer, boire, voire fuguer, des résultats scolaires qui se mettent à baisser inexorablement ou l'adoption de conduites à risques : vitesse, drogue, mise en danger de soi. Enfin, l'apparition d'une dépression qu'il ne faut surtout pas négliger et banaliser, petite (désintérêt, fatigue, déprime…) ou grave (insomnies, perte d'appétit, crises de larmes…) doivent attirer l'attention des parents sur l'état du mal-être que ressent l'adolescent.
Les parents doivent se montrer extrêmement attentifs et se mettre à l'écoute de leur enfant.
Il faut parler avec lui, l'amener au dialogue. Mais il n'est pas toujours évident de faire la différence entre la crise d'adolescence classique et un mal-être plus profond. Sauf quand il y a une multiplication et une conjonction de signaux d'alarme. Il faut également se méfier du conflit qui peut cacher une pathologie grave : dans un conflit qui oppose l'adolescent à ses parents, beaucoup d'adultes ne voient que la crise d'opposition, et pas toujours la souffrance réelle qui peut se trouver derrière ce conflit. Si tout cela perdure, augmente, il devient alors indispensable de consulter un spécialiste.
Leur mal-être est parfois si profond qu'ils tentent de mettre fin à leurs jours. Près de mille jeunes meurent chaque année dans le monde pour quarante mille tentatives de suicide par an. Alors quels sont les signes précurseurs, comment prévenir un tel drame ?
Les signes précurseurs à l'adolescence ne sont pas spécifiques, mais ils marquent tout de même une rupture par rapport à un comportement antérieur et doivent éveiller la vigilance des parents.
On constate d'abord comme symptômes les idées de mort ou de suicide émises par l'adolescent. Le comportement de l'ado devient étrange, mais pas forcément dépressif. Une crise de marginalité poussée par exemple, un ado jusque-là très raisonnable qui commence à sortir fréquemment, fumer, boire, voire fuguer, des résultats scolaires qui se mettent à baisser inexorablement ou l'adoption de conduites à risques : vitesse, drogue, mise en danger de soi. Enfin, l'apparition d'une dépression qu'il ne faut surtout pas négliger et banaliser, petite (désintérêt, fatigue, déprime…) ou grave (insomnies, perte d'appétit, crises de larmes…) doivent attirer l'attention des parents sur l'état du mal-être que ressent l'adolescent.
Les parents doivent se montrer extrêmement attentifs et se mettre à l'écoute de leur enfant.
Il faut parler avec lui, l'amener au dialogue. Mais il n'est pas toujours évident de faire la différence entre la crise d'adolescence classique et un mal-être plus profond. Sauf quand il y a une multiplication et une conjonction de signaux d'alarme. Il faut également se méfier du conflit qui peut cacher une pathologie grave : dans un conflit qui oppose l'adolescent à ses parents, beaucoup d'adultes ne voient que la crise d'opposition, et pas toujours la souffrance réelle qui peut se trouver derrière ce conflit. Si tout cela perdure, augmente, il devient alors indispensable de consulter un spécialiste.


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