Une jeune ado âgée de 13 ans s'est donné la mort par pendaison après avoir lu un mail méchant transféré par un jeune garçon avec qui elle était en relation virtuelle depuis trois semaines. Une jeune ado âgée de 13 ans s'est donné la mort par pendaison après avoir lu un mail méchant transféré par un jeune garçon avec qui elle était en relation virtuelle depuis trois semaines. La jeune fille, comme de nombreux ados souffrant de difficultés relationnelles, se sentant incompris par leur entourage, s'est tournée vers le site de socialisation «My Space», connu pour ses vertus socialisantes en vue de se faire des amis et rompre sa solitude. Malheureusement, il semblerait, selon les procureurs, que la fille soit tombée dans le piège d'un canular mortel. En effet, sur la toile, la jeunette a rencontré un garçon âgé de 16 ans du nom de Josh avec qui elle a entamé une relation virtuelle. Le jeune garçon, avec qui elle flirtait virtuellement et qui lui faisait part de son admiration et de son affection, n'était autre que la voisine méchante, qui a eu accès illégalement au site My Space et s'était inventée une identité via le net, pour des raisons identifiés par les enquêteurs après le suicide de la jeunette. La femme en question, une mère de famille âgée de 49 ans, est accusée de complot et d'accès, sans autorisation, au réseau My Space. En s'inventant une nouvelle identité, la femme qui n'était autre que la voisine de l'ado, n'avait pour objectif que d'infliger une souffrance émotionnelle à la jeune fille. Une souffrance qui a débouché sur un suicide puisque après trois mois de liaison virtuelle, la jeunette reçoit un jour, un message émanant de son ami Josh, lui signifiant que le monde se porterait mieux sans elle. La rupture de cette relation virtuelle de cette façon brusque a tellement anéanti la jeunette au point de se pendre dans sa chambre une heure après la réception du mail fatal. Selon la chaîne ABC, la victime qui était la voisine de l'auteur des faits, était en conflit avec l'une de ses filles. Ce qui n'annule pas, selon des sources, le motif de vengeance. La mère encourt, selon les procureurs, 20 ans de prison ferme. Partant de ce fait divers, nous sommes tentés de penser que cette ère technologique marquée par l'invasion d'Internet et des moyens high-tech semble donner naissance à une autre forme de criminalité. Dans le cas de cette jeune ado, sa solitude, sa fragilité, les moments difficiles qu'elle endurait, et la vulnérabilité de son âge y ont contribué dans son suicide. Cependant, ce qui l'a menée droit vers la mort est la désillusion. Josh était pour elle une échappatoire, une roue de secours, une oreille attentive, une voix valorisante. Elle se sentait admirée, aimée, comprise. Mais, du jour au lendemain, toute son existence bascule avec une phrase des plus méchantes, choisie dans le but d'engendrer une vraie souffrance psychologique à la jeune personne. Détruite, en raison de l'indifférence du seul ami en qui elle avait confiance, la jeune fille sombra dans le désespoir qui donna lieu à un passage à l'acte rapide et irréfléchi. La voisine, jugée actuellement, sera certes sévèrement puni, mais la question est : combien de jeunes personnes dans le monde se trouvent prises, via le net, dans le piège d'individus insensibles, malintentionnés, dont le seul but est leur causer des dommages ? Les enfants sont exposés, à travers Internet, à de multiples dangers que les adultes négligent ou ignorent. La manipulation, le harcèlement psychologique, le traumatisme lié à la violence que véhiculent certains sites, sont des situations fréquentes via ce moyen et qui risquent d'avoir des conséquences funestes. Le contrôle parental, la communication et la sensibilisation de la société civile aux dangers du net sont essentiels pour la prévention. La jeune fille, comme de nombreux ados souffrant de difficultés relationnelles, se sentant incompris par leur entourage, s'est tournée vers le site de socialisation «My Space», connu pour ses vertus socialisantes en vue de se faire des amis et rompre sa solitude. Malheureusement, il semblerait, selon les procureurs, que la fille soit tombée dans le piège d'un canular mortel. En effet, sur la toile, la jeunette a rencontré un garçon âgé de 16 ans du nom de Josh avec qui elle a entamé une relation virtuelle. Le jeune garçon, avec qui elle flirtait virtuellement et qui lui faisait part de son admiration et de son affection, n'était autre que la voisine méchante, qui a eu accès illégalement au site My Space et s'était inventée une identité via le net, pour des raisons identifiés par les enquêteurs après le suicide de la jeunette. La femme en question, une mère de famille âgée de 49 ans, est accusée de complot et d'accès, sans autorisation, au réseau My Space. En s'inventant une nouvelle identité, la femme qui n'était autre que la voisine de l'ado, n'avait pour objectif que d'infliger une souffrance émotionnelle à la jeune fille. Une souffrance qui a débouché sur un suicide puisque après trois mois de liaison virtuelle, la jeunette reçoit un jour, un message émanant de son ami Josh, lui signifiant que le monde se porterait mieux sans elle. La rupture de cette relation virtuelle de cette façon brusque a tellement anéanti la jeunette au point de se pendre dans sa chambre une heure après la réception du mail fatal. Selon la chaîne ABC, la victime qui était la voisine de l'auteur des faits, était en conflit avec l'une de ses filles. Ce qui n'annule pas, selon des sources, le motif de vengeance. La mère encourt, selon les procureurs, 20 ans de prison ferme. Partant de ce fait divers, nous sommes tentés de penser que cette ère technologique marquée par l'invasion d'Internet et des moyens high-tech semble donner naissance à une autre forme de criminalité. Dans le cas de cette jeune ado, sa solitude, sa fragilité, les moments difficiles qu'elle endurait, et la vulnérabilité de son âge y ont contribué dans son suicide. Cependant, ce qui l'a menée droit vers la mort est la désillusion. Josh était pour elle une échappatoire, une roue de secours, une oreille attentive, une voix valorisante. Elle se sentait admirée, aimée, comprise. Mais, du jour au lendemain, toute son existence bascule avec une phrase des plus méchantes, choisie dans le but d'engendrer une vraie souffrance psychologique à la jeune personne. Détruite, en raison de l'indifférence du seul ami en qui elle avait confiance, la jeune fille sombra dans le désespoir qui donna lieu à un passage à l'acte rapide et irréfléchi. La voisine, jugée actuellement, sera certes sévèrement puni, mais la question est : combien de jeunes personnes dans le monde se trouvent prises, via le net, dans le piège d'individus insensibles, malintentionnés, dont le seul but est leur causer des dommages ? Les enfants sont exposés, à travers Internet, à de multiples dangers que les adultes négligent ou ignorent. La manipulation, le harcèlement psychologique, le traumatisme lié à la violence que véhiculent certains sites, sont des situations fréquentes via ce moyen et qui risquent d'avoir des conséquences funestes. Le contrôle parental, la communication et la sensibilisation de la société civile aux dangers du net sont essentiels pour la prévention.