Les quinze premiers jours de ce mois de jeûne sont considérés par les consommateurs comme la période de grands achats de produits alimentaires, donc de dépenses excessives. Fruits, légumes viandes blanches ou rouges enregistrent des envolées qui saignent à blanc les consommateurs en particulier ceux aux bourses moyennes. Et comme à El Tarf il y a peu d'associations défendant les consommateurs, les commerçants imposent leur diktat. Ce phénomène est vécu dramatiquement par les citoyens à faible revenu, sans parler des sans emploi qui ne savent plus où donner de la tête. Selon des citoyens rencontrés dans les marchés hebdomadaires des différentes agglomérations, les prix enregistrent des hausses qui dépassent tout entendement atteignant dans certains produits les cent pour cent. Et dire qu'il y a une semaine, le gouvernement a parlé de régulation du marché. Une situation qui n'a pas manqué de soulever le tollé des ménagères piégées par ces augmentations inattendues sous le nez des inspecteurs et contrôleurs de la DCP. Etonnant surtout lorsque l'on sait qu'on entame la deuxième quinzaine du mois de piété. La pomme de terre passe de 25 à 45 dinars voire 60 dinars, les citrons à 300 dinars et les autres légumes frais connaissent des hausses de plus de 50%. Maintenant, il est prouvé que les hausses se font chaque année à l'approche du mois de Ramadhan qui, en principe, devrait être le mois de piété et de clémence. Les prix des produits alimentaires manufacturés sont, quant à eux, restés stables avec une légère hausse quand même. On ne peut imputer ces augmentations aux pénuries, vu la disponibilité des produits. En tout état de cause, l'envolée des prix est devenue une habitude à l'approche du mois du carême. Les quinze premiers jours de ce mois de jeûne sont considérés par les consommateurs comme la période de grands achats de produits alimentaires, donc de dépenses excessives. Fruits, légumes viandes blanches ou rouges enregistrent des envolées qui saignent à blanc les consommateurs en particulier ceux aux bourses moyennes. Et comme à El Tarf il y a peu d'associations défendant les consommateurs, les commerçants imposent leur diktat. Ce phénomène est vécu dramatiquement par les citoyens à faible revenu, sans parler des sans emploi qui ne savent plus où donner de la tête. Selon des citoyens rencontrés dans les marchés hebdomadaires des différentes agglomérations, les prix enregistrent des hausses qui dépassent tout entendement atteignant dans certains produits les cent pour cent. Et dire qu'il y a une semaine, le gouvernement a parlé de régulation du marché. Une situation qui n'a pas manqué de soulever le tollé des ménagères piégées par ces augmentations inattendues sous le nez des inspecteurs et contrôleurs de la DCP. Etonnant surtout lorsque l'on sait qu'on entame la deuxième quinzaine du mois de piété. La pomme de terre passe de 25 à 45 dinars voire 60 dinars, les citrons à 300 dinars et les autres légumes frais connaissent des hausses de plus de 50%. Maintenant, il est prouvé que les hausses se font chaque année à l'approche du mois de Ramadhan qui, en principe, devrait être le mois de piété et de clémence. Les prix des produits alimentaires manufacturés sont, quant à eux, restés stables avec une légère hausse quand même. On ne peut imputer ces augmentations aux pénuries, vu la disponibilité des produits. En tout état de cause, l'envolée des prix est devenue une habitude à l'approche du mois du carême.