L'affaire de la sablière est passée, hier, devant le juge. Toutes les parties impliquées ont été entendues. Pour rappel, l'affaire qui date de quatre ans, met en cause un investisseur qui a bénéficié d'un projet d'exploitation d'un gisement de sable dans la localité de Righia, dans la commune de Berrihane daïra de Ben Mhidi (El Tarf). Après le passage d'une commission, celui-ci a été suspendu, conformément à un rapport émanant de six directions de wilaya. Après leur audition, quatre personnes on été placées sous contrôle judiciaire, notamment, les propriétaires de cette sablière, sous le chef d'inculpation de non conformité au cahier des charges. Ce dernier spécifie que l'investisseur exploite le gisement de sable pour transformer la matière en verre et non pour l'extraction de sable. D'autres personnes impliquées dans cette affaire, qui a défrayé la chronique du temps de l'ancien wali, ont bénéficié de citations directes. Notons que cette affaire a été reprise à la suite d'une plaine de l'investisseur. La commission diligentée par les autorités locales a jugé impératif de fermer cette sablière qui causait de nombreux dégâts à l'environnement et aux sources phréatiques. Par ailleurs, plusieurs pans de son environnement ont été emportés du fait de l'extraction à outrance du sable. L'affaire de la sablière est passée, hier, devant le juge. Toutes les parties impliquées ont été entendues. Pour rappel, l'affaire qui date de quatre ans, met en cause un investisseur qui a bénéficié d'un projet d'exploitation d'un gisement de sable dans la localité de Righia, dans la commune de Berrihane daïra de Ben Mhidi (El Tarf). Après le passage d'une commission, celui-ci a été suspendu, conformément à un rapport émanant de six directions de wilaya. Après leur audition, quatre personnes on été placées sous contrôle judiciaire, notamment, les propriétaires de cette sablière, sous le chef d'inculpation de non conformité au cahier des charges. Ce dernier spécifie que l'investisseur exploite le gisement de sable pour transformer la matière en verre et non pour l'extraction de sable. D'autres personnes impliquées dans cette affaire, qui a défrayé la chronique du temps de l'ancien wali, ont bénéficié de citations directes. Notons que cette affaire a été reprise à la suite d'une plaine de l'investisseur. La commission diligentée par les autorités locales a jugé impératif de fermer cette sablière qui causait de nombreux dégâts à l'environnement et aux sources phréatiques. Par ailleurs, plusieurs pans de son environnement ont été emportés du fait de l'extraction à outrance du sable.