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Le monde imagé et imaginaire d'un jeune auteur
«La vie des deux orphelins» d'Ahmed Ararbi
Publié dans Le Midi Libre le 03 - 11 - 2009

«Il était une fois un vieillard et sa femme qui avaient deux petits enfants : une fille et un garçon. Ils habitaient une vieille maison construite en pierres et en terre, située dans un petit village…», C'est par ces mots simples et pourtant chaleureux que commence l'ouvrage d'Ahmed Ararbi "La vie des deux orphelins" édité cette année en France chez la (Société des écrivains). Un recueil de poésie intitulé "les nuits d'enfance" sera bientôt édité chez le même éditeur.
«Il était une fois un vieillard et sa femme qui avaient deux petits enfants : une fille et un garçon. Ils habitaient une vieille maison construite en pierres et en terre, située dans un petit village…», C'est par ces mots simples et pourtant chaleureux que commence l'ouvrage d'Ahmed Ararbi "La vie des deux orphelins" édité cette année en France chez la (Société des écrivains). Un recueil de poésie intitulé "les nuits d'enfance" sera bientôt édité chez le même éditeur.
Ahmed Ararbi est connu pour son intérêt particulier pour la chanson, mais aujourd'hui il entre dans le monde imagé et imaginaire pour les grandes portes de la littérature. Ce roman narre l'histoire de deux enfants qui ont traversé un long chemin semé d'embuches. Une vie cauchemaresque pour les deux orphelins qui cherchent désespérément à se débarrasser du fardeau de la vie qu'ils portaient sans avoir la force requise. Fort heureusement, ils sont assistés et accueillis par un vieux couple qui prend soin d'eux. Par cet acte de bienfaisance, le vieillard veut corriger son erreur d'avoir chassé son propre fils du foyer familial. Le temps passa, le couple se retrouve sous assistance du fils légitime. Celui-ci avec les deux parents se rendent compte enfin de la force du lien qui les unit, au moment où le père est sur son lit de mort. Cet univers romanesque et pittoresque, Ararbi l'a campé aux pieds de la montagne du Djurdjura à Aït ouacif où il est né. Refuge des muses et des poètes, à commencer par Sliman Azem, Ait Menguellet… Le Djurdjura ne cesse d'enfanter des artistes à l'image d'Ahmed Ararbi. Il est auteur de plusieurs poèmes. A l'age de 11 ans déjà, il s'est initié à l'écriture de ses premiers textes poétiques, thèmes et sujets variés: l'identité, l'amour, la misère et d'autres termes : le quotidien algérien. Cette envie de partager l'amour de l'art a été précoce chez ce jeune auteur. Au début, son seul moyen d'expression a été les cordes de sa guitare. Des premiers gratouillés aux véritables sonorités, il réussit à se faire connaître dans la région. A partir de là, il composera ses premiers morceaux de musique qui accompagnent ses textes. A 18 printemps, il s'investit dans le travail de la scène : découvrir le grand public et se découvrir lui-même. Il anime plusieurs galas et soirées : mariages, fêtes estudiantines… Cet artiste a dû attendre jusqu'en 1993 pour éditer son premier album intitulé Lekhbar id id yerzan fell- « la nouvelle qui m'est parvenue», aux éditions Akbou music à Béjaia. Ledit album fut un souffle novateur pour lui, étant donné que cela le propulsa vers d'autres horizons et lui a ouvert les ondes à maintes reprises de la Chaîne 2 (radio amazighe).
Ahmed Ararbi est connu pour son intérêt particulier pour la chanson, mais aujourd'hui il entre dans le monde imagé et imaginaire pour les grandes portes de la littérature. Ce roman narre l'histoire de deux enfants qui ont traversé un long chemin semé d'embuches. Une vie cauchemaresque pour les deux orphelins qui cherchent désespérément à se débarrasser du fardeau de la vie qu'ils portaient sans avoir la force requise. Fort heureusement, ils sont assistés et accueillis par un vieux couple qui prend soin d'eux. Par cet acte de bienfaisance, le vieillard veut corriger son erreur d'avoir chassé son propre fils du foyer familial. Le temps passa, le couple se retrouve sous assistance du fils légitime. Celui-ci avec les deux parents se rendent compte enfin de la force du lien qui les unit, au moment où le père est sur son lit de mort. Cet univers romanesque et pittoresque, Ararbi l'a campé aux pieds de la montagne du Djurdjura à Aït ouacif où il est né. Refuge des muses et des poètes, à commencer par Sliman Azem, Ait Menguellet… Le Djurdjura ne cesse d'enfanter des artistes à l'image d'Ahmed Ararbi. Il est auteur de plusieurs poèmes. A l'age de 11 ans déjà, il s'est initié à l'écriture de ses premiers textes poétiques, thèmes et sujets variés: l'identité, l'amour, la misère et d'autres termes : le quotidien algérien. Cette envie de partager l'amour de l'art a été précoce chez ce jeune auteur. Au début, son seul moyen d'expression a été les cordes de sa guitare. Des premiers gratouillés aux véritables sonorités, il réussit à se faire connaître dans la région. A partir de là, il composera ses premiers morceaux de musique qui accompagnent ses textes. A 18 printemps, il s'investit dans le travail de la scène : découvrir le grand public et se découvrir lui-même. Il anime plusieurs galas et soirées : mariages, fêtes estudiantines… Cet artiste a dû attendre jusqu'en 1993 pour éditer son premier album intitulé Lekhbar id id yerzan fell- « la nouvelle qui m'est parvenue», aux éditions Akbou music à Béjaia. Ledit album fut un souffle novateur pour lui, étant donné que cela le propulsa vers d'autres horizons et lui a ouvert les ondes à maintes reprises de la Chaîne 2 (radio amazighe).


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