Les couleurs verte, blanche et rouge ont fièrement orné notre pays depuis plus de dix jours. Avant-hier, la joie de tous les Algériens a atteint son paroxysme. la particularité de jeudi dernier 19 novembre fut l'arrivée de nos héros de l'équipe nationale. Les supporters étaient au rendez-vous, encore une fois, pour les accueillir à bras ouverts et pour leur montrer la fierté et l'amour qu' ils portent à leur égard. Spontanément, les femmes se joignent aux hommes et partagent avec eux cette euphorie nationale en dansant sur des rythmes festifs. Au milieu du défilé, des hommes et beaucoup de femmes klaxonnaient au volant de leurs voitures à bord desquelles leurs enfants maquillés aux couleurs nationales agitaient le drapeau algérien. A l'aéroport Houari-Boumediene, un raz de marée humain était déjà présent avant-même les premières lueurs matinales. Impossible de rejoindre l'aéroport, même pour les voyageurs qui devront reporter leurs vols à un notre jour, nationalisme oblige. Vers 17h20, les Fennecs en compagnie du staff technique sont arrivés à bord d'un vol spécial en provenance de la capitale soudanaise Khartoum qui nous a largement porté bonheur. Le représentant du président de la République, Abdelaziz Belkhadem, était au pied de l'appareil pour recevoir, avec des bouquets de fleurs, les héros du jour. Vêtus de survêtements de l'EN, les compagnons de Saifi ont rejoint leur entraineur Saadane ainsi que le président de la Fédération algérienne de football Mohamed Raouraoua dans un bus aménagé à l'occasion. Sur les rythmes de chansons patriotiques exécutées par l'orchestre de la Garde républicaine, ce bus décapotable, a démarré pour aller à la rencontre des plus grands fervents supporters des Verts, le peuple algérien. Des centaines de milliers de personnes étaient debouts, entassées, perchées sur des arbres, des poteaux électriques à attendre impatiemment les joueurs. Acclamant leurs héros, ils n'arrêtaient pas de scander les fameux slogans à l'instar de «One, twoo, three viva l'Algérie», ou encore «Djeich, chaab, maak ya Saadane, djebnaha fi Soudane» Avec cette marée humaine, le bus a eu du mal à bouger. C'est l'euphorie ! Places, ruelles, autoroutes par lesquelles devait passer le cortège des Verts étaient envahies par les supporters. La joie se lisait sur les visages des supporters et joueurs, un moment inoubliable et historique pour eux et pour toute l'Algérie. Les joueurs ont été acclamés par la foule, mais deux noms, qui ont marqué la rencontre de mercredi soir, furent les plus scandés : Antar Yahia et Fawzi Chaouchi. Plusieurs escales ont été observées après l'aéroport : cité de la Concorde civile à Bab Ezzouar, puis l'avenue de la Libération et enfin l'ultime halte, celle du 1er-Mai. Ce furent des moments qui resteront à jamais gravés dans la mémoire collective, et des moment de liesse pareils, les jeunes Algériens en redemandent. Les couleurs verte, blanche et rouge ont fièrement orné notre pays depuis plus de dix jours. Avant-hier, la joie de tous les Algériens a atteint son paroxysme. la particularité de jeudi dernier 19 novembre fut l'arrivée de nos héros de l'équipe nationale. Les supporters étaient au rendez-vous, encore une fois, pour les accueillir à bras ouverts et pour leur montrer la fierté et l'amour qu' ils portent à leur égard. Spontanément, les femmes se joignent aux hommes et partagent avec eux cette euphorie nationale en dansant sur des rythmes festifs. Au milieu du défilé, des hommes et beaucoup de femmes klaxonnaient au volant de leurs voitures à bord desquelles leurs enfants maquillés aux couleurs nationales agitaient le drapeau algérien. A l'aéroport Houari-Boumediene, un raz de marée humain était déjà présent avant-même les premières lueurs matinales. Impossible de rejoindre l'aéroport, même pour les voyageurs qui devront reporter leurs vols à un notre jour, nationalisme oblige. Vers 17h20, les Fennecs en compagnie du staff technique sont arrivés à bord d'un vol spécial en provenance de la capitale soudanaise Khartoum qui nous a largement porté bonheur. Le représentant du président de la République, Abdelaziz Belkhadem, était au pied de l'appareil pour recevoir, avec des bouquets de fleurs, les héros du jour. Vêtus de survêtements de l'EN, les compagnons de Saifi ont rejoint leur entraineur Saadane ainsi que le président de la Fédération algérienne de football Mohamed Raouraoua dans un bus aménagé à l'occasion. Sur les rythmes de chansons patriotiques exécutées par l'orchestre de la Garde républicaine, ce bus décapotable, a démarré pour aller à la rencontre des plus grands fervents supporters des Verts, le peuple algérien. Des centaines de milliers de personnes étaient debouts, entassées, perchées sur des arbres, des poteaux électriques à attendre impatiemment les joueurs. Acclamant leurs héros, ils n'arrêtaient pas de scander les fameux slogans à l'instar de «One, twoo, three viva l'Algérie», ou encore «Djeich, chaab, maak ya Saadane, djebnaha fi Soudane» Avec cette marée humaine, le bus a eu du mal à bouger. C'est l'euphorie ! Places, ruelles, autoroutes par lesquelles devait passer le cortège des Verts étaient envahies par les supporters. La joie se lisait sur les visages des supporters et joueurs, un moment inoubliable et historique pour eux et pour toute l'Algérie. Les joueurs ont été acclamés par la foule, mais deux noms, qui ont marqué la rencontre de mercredi soir, furent les plus scandés : Antar Yahia et Fawzi Chaouchi. Plusieurs escales ont été observées après l'aéroport : cité de la Concorde civile à Bab Ezzouar, puis l'avenue de la Libération et enfin l'ultime halte, celle du 1er-Mai. Ce furent des moments qui resteront à jamais gravés dans la mémoire collective, et des moment de liesse pareils, les jeunes Algériens en redemandent.